RADIO SUISSE ROMANDE, Haute définition, dimanche 2 octobre à 12h40

02 octobre 2011 16h22

Un entretien en deux épisodes avec Manuela Salvi dans Haute définition, sur le sujet : « Les périodes prérévolutionnaires ».

Deux fois 15 minutes : la première tranche se trouve ici, la seconde tranche aujourd’hui à 12h40 (l’émission repasse à 22h40).

Si vous n’habitez pas la Suisse, en direct sur internet.

Le podcast se trouve ici.

blog

15 réponses à “RADIO SUISSE ROMANDE, Haute définition, dimanche 2 octobre à 12h40”

renou

01 octobre 2011 12h06

@Sisouvan, c’est la mort Hal…
Un Belge

01 octobre 2011 13h31

15 minutes de résumé limpide, dense, fertile !
Jmemeledetout

01 octobre 2011 16h09

Mince… je ne savais pas que vous étiez dans la ville où je vis, sinon… vous aurais peut-être bien demandé de me prêter un quart de l’un de vos neurones pour quelques jours :-)))

Voici les liens du podcast, pas encore en ligne, mais cela ne saurait tarder :

http://www.rsr.ch/la-1ere/programmes/haute-definition/podcast/?flux=rss

http://itunes.apple.com/podcast/id191684246

http://www.rsr.ch/la-1ere/programmes/haute-definition/podcast/?flux=rss

JMMDT
taratata

01 octobre 2011 16h46

Je ne sais pas où je pourrais écouter la conférence de P. Jorion au Parlement européen …
Stephane

01 octobre 2011 17h34

Les indignés de Wall street en direct live!

http://www.livestream.com/globalrevolution
1. GL
  
  01 octobre 2011 19h43
  
  Une « opinion » sur le site du New York Times à propos des indignés de Wall Street. Les très nombreux commentaires des lecteurs sont probablement encore plus intéressants que l’article, savoir si c’est une action pré-révolutionnaire ou pas est bien ce dont on y discute.
pierrot123

01 octobre 2011 18h31

Très bon entretien, très bonne journaliste, très bon Jorion…
bertrand

01 octobre 2011 20h52

Quand allez vous reprendre l’idée de la déspéculation , de la marche arrière , de l’imputation des dettes à ceux qui en ont profité ?????????
Tant que vous n’en ferez pas la publicité je considérerais votre blog comme une excroissance du libéralisme , un faux contre pouvoir.
A vous lire.
1. telquel
  
  02 octobre 2011 3h44
  
  Bonjour d’abord je pense qu’il vous appartient de le considerer comme vous l’entendez,et que le travail remarquable du blog de Paul Jorion nous permez de decripter les mecanismes economico-societal(???)a travers une analyse intellectuelle et a l’eclairage d’une experience :laissant tout a chacun ses propres choix d’engagement.
  Maintenant jeune homme si vous considerer ce blog comme une excroissance du liberalisme,vivre aujourd’hui, ne doit pas etre tous les jours droles pour vous!
  Amities a tous
2. Amsterdamois
  
  02 octobre 2011 20h30
  
  @ Bertrand
  Vla t’y bien un jugement balancé de quelqu’un qui savons de quoi z’y cause!
  Vous n’avez pas dû souvent fréquenter ce blog et les thématiques de son auteur, pour pondre pareil oeuf!
  Car qu’est ce que réclamer l’interdiction des paris sur les fluctuations de prix, sinon exiger la fin de la spéculation an sich?
leo poulain

01 octobre 2011 22h50

Bonjour!!!

http://stjornlagarad.is/other_files/stjornlagarad/Frumvarp-enska.pdf -> La nouvelle constitution islandaise en anglais. 🙂 HAPPY!
jérôme

01 octobre 2011 23h02

@ Léo poulain,

bonsoir;

vive les référendum fréquents et pertinents !!

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/06/16/democratie-participative-lislande-reecrit-sa-constitution-avec-facebook-et-twitter/

Chaque génération devrait avoir une période d’instruction, de réflexion collective et participative au textes et institutions majeures des ensembles auxquels elle participe, tous les mi-mandats par exemple.

After The Rain KITARO
http://www.youtube.com/watch?v=7nwIa4vyZUA&feature=related
Cécile

02 octobre 2011 18h38

Je ne sais pas de la « révolution », ni de la « pré-révolution »
mais je me demande déjà si les simples citoyens réussissent de discuter, disputer, soit d’exercer leur petit jugement réfléchissant, ici et maintenant en vue de là, en sorte de pouvoir projeter de « légiférer » ensemble à l’échelle européenne

Par contre il me semble fort que le va-t-en guerre, et la propagande de va-t-en guerre qui va avec,
-que perso, je qualifie de populiste, car elle relève du populisme du justicier, de la liberté immuable, celle de la guerre « humanitaire » ou « chirurgicale », celle qui se gausse de sauver les femmes et les enfants, d’abord, cela sous des tornades de bombes ou des averses de bombardement-
est toujours en vogue dans le vent du moment

Ce va-t-en guerre,
-dont désolée si je le critique mais je trouve, cela spontanément tellement ridicule, tellement prétencieux, tellement nulle,
en bref argumenté sous des arguments « populistes » dans le son sens péjoratif, celui de propagande-
est largement plus investi par nos « zélites »
que nous n’en réussissons à faire entendre de cette seule petite mesure, celle de l’interdiction des paris sur les prix

On nous ramène à nouveau, l’argument « populiste » du % de prélèvements obligatoires, qui n’est que l’argument « populiste » dans le mauvais sens du terme pour privatiser la sécu (soit l’assurance maladie et la retraite par répartition) mais encore l’éducation (cela bien que quasi tous les enseignants du privé, autant du primaire que du secondaire soient aussi rémunérés par l’état, car ils sont sauf exceptionnellement, et c’est très rare tous sous contrat simple, voire sous contrat d’association, lequel est encore plus avantageux)
cela comme si de privatiser allait changer quoique ce soit d’avantageux pour le budget des quidams, tels que nous ?

Pour ce que, perso, je comprends cette nouvelle « propagande », c’est idem de la grande mode de la privatisation de l’eau ou des poubelles,
-la privatisation n’opère qu’un changement d’ordre du chèque à payer, pour l’eau ou les poubelles, pour un montant qui avec la privatisation, en est largement augmenté-
la privatisation de la sécu et de l’éducation fera de même
-bien évidemment les prélèvement obligatoires de cette privatisation de tout et de n’importe quoi, dont on nous rabbat les oreilles qu’ils sont tellement excessifs, les plus élevés non seulement de l’Europe, mais du monde vont diminuer,
mais les factures que nous aurons à payer, une fois ces privatisations effectuées, pour l’assurance maladie privée, pour la retraite privée, pour l’éducation privée
(et désormais non sponsorisée du primaire au secondaire car aujourd’hui à des taux de plus de 97% sous contrat simple par l’état )
ce sera toujours à nous de les règler, de cela on sait, enfin si on s’en renseigne et qu’on veut savoir, sinon on écoute béatement la propagande, on entend il faut absolument baisser les prélèvements obligatoires, et on rêve que ce sera tout bénef, mais voilà c’est de la pure propagande « populiste »
(dans le mauvais sens du terme, car je n’en vois strictement rien à espérer pour nous, c’est bien évidemment juste des bons plans à décrocher pour quelques fumeux ploutocrates, dont nous ne sommes pas)
car pour nous simple citoyen, ce sera comme la privatisation de l’eau ou des poubelles, le même service, parfois moins bien mais pour sûre toujours carément plus cher

Quelque part, je pense que la « pré-révolution », commencera en Europe, lorsque les citoyens européens s’accorderont déjà sur l’interdiction des paris sur les prix
(s’ils ne vont pas assez vite, la propagande de va-t-en guerre qui se moque de l’union européenne, cela sans dire qu’elle se moque carrément plus encore de l’union africaine, ce sera là notre seule perspective avancée de nos « zélites » nationales
Leboutte

02 octobre 2011 18h53

La révolte aux EU.
Quelque chose se passe là.
Non seulement ça bouge, mais les flics interviennent bizarrement fort contre ces manifestants pacifiques.
http://www.liberation.fr/economie/01012363268-malgre-les-arrestations-les-activistes-anti-wall-street-ne-desarment-pas
Renard

02 octobre 2011 19h00

Comment les idées progressent-elles ?
On pourrait-estimer que pour elles, comme pour les espèces vivantes, l’évolution se produit par sauts et non par diffusion graduelle.
Ce site, comme d’autres, serait alors un isolat périphérique ou s’élabore une nouvelle façon de penser l’économie prête à remplacer la précédente dés que celle-ci se sera effondrée, victime de son incapacité à évoluer.
Exemple de cette incapacité, celle de vos interlocuteurs sur France Culture à intégrer vos propositions d’une refondation de la science économique à partir des sciences sociales. On dit « Oui, oui, bien sur… » et puis on en revient à ses vieux schémas.
Merci, Monsieur Jorion, de vos efforts pour faire entendre une autre façon d’aborder le problème. Nous tentons de vous relayer.
Un jour, ceux-là même qui vous ignorent ou vous contredisent seront persuadés d’avoir toujours pensé comme vous. C’est, je crois, ce qu’on appelle une révolution.