Billet invité
Selon la presse, le FN monte, mais pas vraiment ou pas tant que ça ; la droite ne perd pas vraiment, ou pas tant que ça, il se pourrait même qu’elle enregistre de gros bénéfices. Dès lors, ce qui se passe, en tout et pour tout, c’est la disparition de la gauche. Du moins, comme force politique. Car les gens qui se situent à gauche, nous par exemple, ne disparaissent pas. C’est pourquoi nous avons tant de mal à nous représenter la situation : vivants, mais inexistants, invisibles et paralysés.
En 2007 son opposition à Sarkozy s’appuyait aussi sur son profil intéressant d’avoir outre une formation un vrai métier d’enseignant…