Les problèmes de serveur de l’autre jour semblent liés à Seesmic. En attendant que la question soit clarifiée, la vidéo est hors service.
Vous pouvez cependant la trouver ici.
Qui sommes-nous ?
L’article de Lordon dont je parle se trouve ici.
*Godot est mort !*
Macron ? Le roi est nu, voyez comme il est maintenant mal à l’aise ; comme en dix ans il…
Question. Il y a aussi des risques de morts collectives suite à des conflits dans lesquels on ne veut pas…
La « stratégie du choc » version macronienne ?
Thom : « Il est typique de voir que la cellule immortelle, la cellule prokaryote, comme disent les biologistes, la cellule…
Merci pour votre retour. T.Prévost fait partie de ces journalistes-penseurs nécessaires en ces temps qui conjuguent l’accélération techno avec le…
Même Ghandi n’aurait pas réussi, avec les moyens de propagande d’aujourd’hui. Les chaînes de télé en continu l’aurait traîné dans…
Ça me fait penser à un cours sur la fonction respiratoire. Le pneumologue nous disait qu’une simple exploration fonctionnelle respiratoire…
Cioran, mort d’une rupture d’aphorismes.
Ahn est son nom de famille. Son prénom est Gwi-ryeong. Reuters : Korean party spokesperson who grappled with martial law…
Et si c’était inscrit : » demain » … je ferais quoi…^!^…?? (( et il est 23h54..! ))
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234 réponses à “Le temps qu’il fait, le 21 août 2009”
« Faire », « agir », cela commence où , comment ? Il me semble que c’est dans la réflexion, le changement de regard, cette transformation intérieure, plus ou moins profonde et rapide, qui amène à envisager sa vie, son environnement, son monde social d’une nouvelle manière et à ne plus pouvoir faire autrement que commencer à s’y comporter différemment, en réinterrogeant de proche en proche tout ce à quoi on est mêlé, tout ce que l’on peut appréhender. Il y a de longs cheminements souterrains, il y a des déclencheurs, il y a des éclaireurs et il y a les compagnonnages que peu à peu on découvre ou suscite, plus ou moins organisés et reliés. Pour ce qui me concerne, vous faites partie de mes éclaireurs, avec François Leclerc et certains contributeurs du blog, m’aidant à mieux cerner à quoi je m’affronte lorsque j’ »agis » dans mes différentes activités militantes, à mieux entrevoir ce que pourrait (devrait ?) être un autre mode d’être au monde à faire pousser au milieu des ronces de notre société actuelle et malgré les périls qu’elle engendre. Faudrait-il un mouvement plus structuré à partir du blog ? Je ne sais pas, en tout cas je ne vois pas à l’heure qu’il est ce qu’il pourrait être. Mais j’ai le sentiment que de l’ »action » se génère et se diffuse déjà à travers l’autre regard et la réflexion collective qu’apporte ce blog.
Grand merci, d’ores et déjà, pour cela.
Parmi les contributeurs aux apports riches de lumière et de chaleur, que devient Pierre-Yves D. ? J’espère que son absence n’est pas due à des problèmes de santé.
Bonjour Paul,
Je sais que tu me connais, et je te reconnais aussi dans ta démarche « solitaire ensemble » comme un compositeur en somme..
Tu nous fais réfléchir, tu draîne notre énergie, mais surtout, toi, tu tente de trouver des solutions neuves à un vieux souci commun: Comment vivre ensemble dans un espace économique donné.
Je voudrais que tu saches que ton influence ne s’exerce pas qu’au travers d’une action commune restant à créer, une constitution, une pétition ou d’autre choses encore évoqués dans ton blog, mais aussi par le fait que tu balise ma vie quotidienne sans le savoir, par des reflexions, des écrits, des idées, que je mets en pratique dans la gestion de mon patrimoine. La conscience que j’ai maintenant du mariage de l’intérêt général et du particulier, me sert dans mes prises décisions. Je voulais te le signaler simplement et te remercier.
Quand on exerce une vocation publique, on est toujours surpris de l’interprétation que nos actes générent.
Je te suggére d’organiser une rencontre des amis de Paul Jorion. Nous nous connaîtrons mieux. Je peux t’aider concrétement.
Vives amitiés.
Et bien chiche, venez parler de nouveau sur Paris, vous serez plus que 55, c’est quasi certain. Je suis sur que vous trouverez une salle. Histoire d’être concret je lance une petit appel :
Cherchons salle pour acceuillir Paul Jorion sur Paris fin octobre (2 mois c’est réaliste). Capacité souhaitée entre 250 et 500 personnes.
On ne sait toujours pas qui est ce « on » mais on avance 🙂
M. Jorion,
Votre personne n’est rien, votre message est tout.
Il est reçu, voilà l’important.
Votre modestie est votre force.
Votre humilité vous rend crédible…et la confiance est tout dans cette affaire.
Vous avez déjà trouvé la qualité, ne cherchez pas le nombre, restez simple, c’est votre simplicité qui vous fait aimer.
(ainsi que votre élocution, hésitante, fragile…).
Vous ne savez pas qui vous lit…et alors ?
Vous savez pourquoi on vous lit, c’est l’essentiel.
Ce que vous dites est vrai, ça intéresse tout le monde, ça fait réfléchir, que voulez-vous de plus ?
Des milliers de petites lumières s’allument dans les cortex cérébraux.
Alors, patience…et surtout ne changez RIEN.
Amicalement.
Monsieur Jorion,
Tout le commentaire de Dalembert contredit sa première phrase : « votre personne n’est rien ». Je vois très bien ce qu’il veut dire – et il a raison : vos idées nous importent plus que votre personne, précisément parce que vos idées VOUS importent plus que votre personne. Et cependant, c’est ce que vous êtes (assez humble et simple pour vous montrer tel que vous êtes, fragilité, hésitations, en somme pensée en marche) qui fait que l’on revient à votre blog – et qui fait peut-être que les journalistes vous apprécient. Votre commentaire du papier de Lordon, et de son débat avec Cori m’a passionnée. Nouvel éclairage d’un sujet que je n’avais abordé que sous l’angle très pointu du chercheur qu’est Lordon (et croyez bien que je déplore de ne pas le rencontrer plus souvent sur le ouèbe..).
Et pour finir, agaçons encore un peu Dalembert : « surtout ne changez RIEN », drôle d’injonction à un homme dont la persévérance et le renouvellement dans les idées agrègent à ses interventions (blog, interviews, etc.) de plus en plus de monde, même si vous montrez avec beaucoup de pertinence à quel point il est difficile de savoir qui nous sommes.
Comme disait Raymond Queneau (ou plutôt un des personnages de Zazie) « On s’lave jamais deux fois les pieds dans l’même bidet » (ça a moins de gueule qu’Héraclite, mais je trouve ça très drôle) .
Merci pour le temps qu’il fait aujourd’hui : un vent chargé de fraîcheur et d’espoir
Je dis ne changez RIEN.
Ce site a acquis un succés d’audience inespéré en trés peu de temps.
La méthode est bonne, le discours aussi.
Alors…Pourquoi changer quelque chose qui marche bien ?
Voilà le travers,
le paradigme du « toujours plus », plus vite, plus grand, qui pointe son nez, même ici ! Mauvais présage.
Patience.
@ Paul Jorion
Dans l’hypothèse où vous venez à Paris, je serais présent et j’encouragerais mes proches et camarades de classe à venir.
Tocqueville vantait les vertus civiques de l’association (De la démocratie en Amérique), et si l’on en crée une dont le rôle serait de promouvoir vos idées ? vos livres ?
Reste à trouver le nom, « l’association pour une constitution économique » ?
C’est parce que nous en voulons souvent plus que nous nous montrons continuellement insatisfait cognitivement, nous sommes jamais contents de quoi que ce soit, relatif à notre propre manière habituelle de voir les choses à la moindre petite broutille de plus.
En plus si vous rencontrez davantage de gens fonctionnant comme vous vous n’êtes pas prêt de retrouver le sourire.
http://www.youtube.com/watch?v=3SJPkHMsaXY
Rien à branler des économistes ?
http://www.youtube.com/watch?v=FJvT-s4l8qw&feature=related
@ Paul Jorion
Pour nous connaitre, il faudrait modifier encore un peu ce blog, après le changement apporté par les avatars (qui ont provoqués de tels commentaire) donnez-nous la possibilité de laisser une sorte de CV, voir la possibilité de laisser des coordonnées.
J’habite en campagne, dans mon coin je connais peu de gens intéressés par les sujets traités sur ce blog, alors qu’il y a peut-être un autre blogueur non loin de chez moi avec qui je pourrais faire connaissance.
Si nous étions assez nombreux, nous pourrions même envisager de nous réunir régulièrement, à l’instar des cafés repaires de Daniel Mermet, c’est une idée…
Si en cliquant sur l’avatar, nous avons accès a un mini portrait de nous, nous apprendront à mieux nous connaitre mutuellement.
Personnellement je serais également intéressé par les cartes dont vous parlez et que vous avez déjà posté sur votre site. Voir la fréquentation du blog en ayant des élément géographiques, c’est plus révélateur que des chiffres de fréquentation brut.
Un lien ou on parle de vous en mal……. et en bien.
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/crise-systemique-usa-game-over-60369#commentaires
Bonjour Paul,
Malgré un pseudo moqueur attribué par mes proches (en référence à l’aïkido et au film « Un indien dans la ville »), vous m’avez déjà fait l’amitié de répondre directement à mon adresse mail explicite. Je comprends votre besoin, comme un écrivain ou un journaliste, de rencontrer vos lecteurs, . Je suis même prêt à vous adresser un mini CV pour mieux faire connaissance. Mais ne vous découragez pas, votre parole passe malgré l’anonymat, je conseille votre blog à toutes mes relations. Vous m’avez permis de mettre en perspective ce tsunami économique et de m’affranchir des média dominants. Frédéric Lordon ne semble pas avoir confiance dans la taille de la cuillère pour discuter avec le diable, malgré les excellents arguments de Nicolas Cori. Pourquoi ne pas lui servir de « doxosophe » ? Il dispose de la caution scientifique, et vous de l’oreille des média. Un ticket Lordon-Jaurion, ça aurait de la gueule !
Pas d’accord avec vous maître Dong, Paul ne peut être le « doxosophe » de Lordon, tout simplement parce qu’ils appartiennent tous les deux à la même catégorie (dans le contexte général de ce qu’il nomme la division du travail), ils sont tous les 2 chercheurs.
Le doxosophe n’a d’utilité que comme transmetteur ( vulgarisateur) de la pensée et des travaux du chercheur.
Qui sommes- nous ?
Ce qui nous rassemble, c’est votre blog. Une très grande partie de ce qui fait son intérêt, sa valeur, vient à mon avis de la variété des thèmes de réflexion que vous proposez et à votre manière, très ouverte, de lancer les débats. En conséquence, chacun en fonction de ses préoccupations (elles sont très variées et nombreuses actuellement mais en général focalisées sur le futur) peut intervenir pour dire ce qu’il pense où pour exprimer ses interrogations. Votre blog, tant qu’il ne cherchera pas à écarter tel ou tel type d’intervenant afin de drainer un corps social ou politique ou professionnel particulier, aura le succès mérité qu’il connaît même si sa connotation actuelle est déjà marquée, mais sans sectarisme.Tant que chacun d’entre-nous n’aura pas l’impression de s’enrôler sous une bannière trop colorée en participant aux échanges, votre blog conservera son statut actuel : une sorte de salon d’échange et de réflexion sur les problèmes de notre temps.
Avec l’ECCE, c’est un atelier de production qu’il faut mettre en route et là, il faut des compétences pointues. Il n’en serait peut être pas de même si vous proposiez d’élaborer un travail plus général sur une « Déclaration des droits ET DES DEVOIRS de l’humanité » dont découlerait l’ECCE.
Qui suis-je ? Mes interventions m’ont décrit, mais si vous voulez une synthèse, je peux la faire. J’ai votre email il suffit de me le dire.
A Bruxelles l’accès internet se fait beaucoup par le cable.
Majoritairement via Brutélé dont l’adresse IP est localisée à Ixelles … comme les institutions de l’UE.
J’habite au sud de Bxl (Forêt de Soignes) et mon IP est aussi localisée à Ixelles.
Ce fait modèrera peut-être votre interprétation des Google Statistics : la part des institutions de l’UE sera plus faible.
Vous avez techniquement parfaitement raison, mais je peux vous confirmer qu’un nombre non négligeable de fonctionnaires de la Commission et du Parlement Européen suivent ce qui se dit sur ce blog. Et si je peux le dire avec certitude, c’est parce que pour un certain nombre d’entre eux, c’est sur ma recommandation. L’intervention de Paul devant le Parlement européen le 4 mars dernier a également suscité beaucoup d’interrogations qui se sont certainement traduites par de nouveaux visiteurs.
Pour être plus sérieux par rapport à mon commentaire précédent, il est possible que celle vienne que la plupart des gens sont continuellement affairés pris dans un tourbillon afin de pouvoir s’en sortir au quotidien, ne trouvant plus guère le temps de pouvoir mieux entendre un autre son de cloche, de plus vous allez au devant de la propagande officielle battant encore son plein dans la plupart des pays riches, dans les pays pauvres et plus modestes vous bénéficierez sans doute d’une meilleure caisse de résonance médiatique afin d’être mieux entendu et compris, mais est-ce tellement si important pour vous ?
La France actuelle n’est pas non plus le pays le plus humble et modeste de ce monde elle est si semblable à l’Amérique, je me réjouis néanmoins de vous voir d’aussi bonne humeur… Peu importe qui nous sommes, qui je suis, qui vous êtes, l’important c’est de pouvoir encore entendre des gens penser différemment en société.
Paul, le « nous » n’a aucune importance. Moins il est défini, et plus tu es « transversal ». L’essentiel c’est la rigueur, l’honneteté intellectuelle, et la simplicité qui se dégagent de tes interventions. Ne laisse personne arranger ton look si tu te présentes dans une émission TV. Tu risquerais de faire « expert » ou d’être « standardisé »… il est très bien comme il est. Ne laisse personne te ranger dans une catégorie prédéfinie (marxiste, socialiste, alter, républicain (c’est pas pour rien que Marianne t’apprécie…)). Tu es simplement un chercheur connaissant très bien le monde de la Finance, soucieux du bien public (libre ensuite aux différents activistes, quel que soit leur bord, de reprendre ou pas tes idées à leur compte…).
Pour le reste, le « nombre » n’est pas très important. Ce n’est qu’un moyen parmi d’autres pour faire pression sur les décideurs. Il y a d’autres modèles stratégiques/tactiques plsu appropriées dans ce genre de configuration (cas d’école du rapport du « faible » au « fort » en situation de guerre informationnelle…). Je suis curieux de savoir ce qui se passerait, en terme de fréquentation, si ceux qui s’intéressent à ton « blog » s’astreignaient à mettre en signature l’adresse du site dans leur courriel ou sur leurs forums préférés…
Paul,
le « nous » a-t-il une importance réelle ? N’est-ce pas justement la magie d’internet: de pouvoir regrouper des personnes d’endroits différents et de vies différentes juste parce qu’ils partagent une passion. Il y de nombreux projets sur internet qui voient le jour grâce à des passionnés se retrouvant tout simplement. Un exemple, certes qui n’a rien avoir avec ce blog ou ce que vous revendiquez, un wiki fait par le bloggeur Korben sur la vie privée et les droits sur internet (disponible à cette adresse: http://free.korben.info/). C’est petit et sans grande prétention, mais de nombreuses personnes y participent, et petit à petit ça avance, sans que personne ne se connaisse.
Pour moi, même si cela ne vous intéresse surement pas, voici ma situation: Je suis un jeune lecteur de ce blog, que je viens de surcroit de découvrir, puisque j’ai 17 ans. Je m’intéresse un peu à tout, par curiosité, et mes connaissances en économie étant très limitée (je fais une série Scientifique au Lycée) j’ai souhaitait en lire un peu sur internet. Il faut l’avouer, je ne comprends pas tout, il y a beaucoup de notions qui me manquent pour que ce soit le cas.
Pour ce savoir qui nous sommes, ou plutôt qui viendrais à une prise de parole, pourquoi ne pas faire un sondage tout simplement, ici, sur le blog ?
Je repense au temps qu’il fait de tout à l’heure, étonnant que nos ami(e)s Suisses, Banquiers et autres éprouvent
de temps en temps le besoin de venir consulter votre blog c’est donc peut-être alors que vous n’êtes pas trop à coté
de la plaque, même s’il éprouvent parfois le besoin de faire petite cabale contre vous, je comprends mieux alors certaines choses maintenant surtout lorsque commencez à devenir trop exigeant et explicite en matière de clarté comptable ou par rapport à votre propre vécu personnel au sein d’une grande institution financière Américaine. C’est toujours fort réellement instructif pour l’opinion publique à qui on préfère souvent bourrer le mou … Ma mère s’est encore fait avoir et bourrer le mou par un autre vendeur de camelote vous aussi de votre coté en Suisse ? Que pensez encore de la sacro sainte discrétion des banquiers suisses… Bien le bonjour à nos banquiers Suisses …
La voie de presse est le meilleur moyen pour atteindre le public, ou plutôt une partie du public. Les gens ne comprennent pas l’économie ni ses termes, la trouvent ennuyeusement prosaique. Je pense qu’il y a là un marché à saisir. Je ne vois pas d’autres possibilités, sauf monter sur une caisse à bananes, comme au Hyde Park, mais je doute que ce soit le propos ici. Par contre, l’idée de Guillaume de faire un sondage paraît assez séduisante. Mais il ne faut se faire d’illusions: De nombreux lecteurs n’y répondront pas.
Nous ne sommes peut-être que de simples personnes (pour la majorité) qui par les aléas de la vie, l’intelligence, les relations, le métier, la curiosité … avons décidé de nous sortir la tête du sable pour regarder la réalité en face….(c’est mon cas mais pas uniquement pour des questions d’économie…)
Je crains que pour le moment « nous » ne sommes pas encore très nombreux…
@ P.J :
Qui sommes nous ? 45 ans, au chômage avec un bac + 5, ce qu’on appelle un « déclassé », avec un léger handicap en plus. Mais il n’est guère possible d’écrire son pédigrée complet sans s’étaler en longueur, complaisance, etc. et, est ce bien le sujet…
L
Bonjour Paul,
Vous m’avez invité un jour à publier un billet. Ensuite, vous avez, je ne sais par quel biais, trouvé mes coordonnées et je vous les ai confirmées et ajouté un CV très sommaire pour vous permettre de mieux cadrer ma personne et, par conséquent, mes interventions.
Aussi je partage l’idée de maître Dong : permettez-nous de vous fournir d’une manière précise un CV plus complet de sorte à ce que vous puissiez faire appel à nos compétences en cas de besoin. Je vous vois mal entamer seul une base de données dans ce contexte.
Le gros de votre travail consiste en une réflexion d’où vous distillez des pistes et solutions. Chacun d’entre nous, qu’il soit d’accord ou non, peut y contribuer, par la critique, la technicité, la connaissance ou tout autre aptitude. Cela ne fera qu’accélérer votre projet et nous donnera, à nous, vos invités, la satisfaction d’avoir contribué à une cause commune.
Depuis que je vous suis sur ce blog, signalé par un ami canadien, je partage en gros vos préoccupations. Mais j’estime que vous êtes le plus compétent d’entre nous pour mener cette tâche à bien, parce que votre champ d’intérêt et votre expérience sont nettement plus vastes que les nôtres – trop concentrées sur notre activité professionnelle et sans bagage suffisant pour le reste. De plus, le fait que vous soyez « libre » de toute contrainte professionnelle garantit une liberté totale d’esprit. Ne sous-estimez pas ce gage. Vous le perdriez partiellement une fois inclus dans une structure professionnelle.
D’aucuns se défouleront probablement via votre blog, mais ne pourront jamais défendre professionnellement les idées qu’ils véhiculent ici. Vous devez en être conscient, non ?
De grâce, persévérez !
C’est plus simple : vous aviez involontairement signé de votre nom.
Qui sommes nous ? Il suffit de lire nos interventions pour dé-couvrir nos « faces » (selon Goffman » )plus et mieux exposés que sur les meilleurs des CV .
Ta position est tragique . Choisir entre etre émetteur ou récepteur . Le grand écart est peu possible …Matériellement .
Rester Emetteur c’est choisir le messianisme . C’est toujours suspect , surtout qd on vise une palette élargie .
Choisir le « Recepteur » , c’est admettre n’etre qu’un interface . Un truchement .
Pourtant c’est ce modèle qui me paraitrait le plus pertinent et surtout productif . Le Net est un outil qui a des possibilités que peu de gens cernent encore .Le modèle forum me paraitrait une « action » bien plus puissante que toute autre moins virtuelle .
Qui , ds la « vraie » vie , peut prétendre suivre 10 ou 20 « fils » de discussion de bon niveau , simultanément? revenir en arriere pour analyser le sujet et pouvoir intervenir ? (je pense a des conferences en comparaison), etre plus présent sur certains sujets ,rares ailleurs . Créer une branche nouvelle qd une digression est pertinente . Jamais l’etre humain n’a eu acces a une telle possibilité d’ubiquité .
Evidemment Il y a du Bruit , mais comme Dit E Morin « Contrairement aux systèmes humains, ds les systèmes naturels le bruit est constituant du signal » .
Bonjour Paul,
Pour votre information, je viens à peu près quotidiennement sur ton, euh pardon, votre blog depuis l’été 2008 environ, suite à la médiatisation de la crise des subprimes. Je l’ai connu grâce au site contre-infos que j’apprécie beaucoup aussi. Après avoir été à mon compte pendant 18 ans (éditeur de diapos pédagogiques pour les écoles), me voici reconverti désormais comme conducteur de bus à Bordeaux. Je m’intéresse à l’évolution de la « crise » actuelle sous ses différents aspects : économiques, financiers, mais aussi écologiques, sociétaux, perte des anciens repères et émergences de nouveaux (espérant que la solidarité et le bon sens l’emporteront sur la barbarie et la peur). Ce blog (mon préféré !), ainsi que quelques autres, m’aide à prendre du recul face à la soupe de plus en plus fade servie par les médias genre France Inter, Libé, Le Monde etc. qui « divertissent » ou se focalisent trop sur l’écume des évènements. Le problème de ces médias c’est que même si un excellent article ou émission passe, il est noyé dans plus d’articles encore contradictoires ou accordant de l’importance à des sujets futiles au regard de l’importance du défi collectif à relever (il semble qu’à mesure que l’angoisse planétaire monte, augmente aussi le syndrome de la politique de l’autruche, et la recherche de dérivatifs futiles moins anxiogènes 🙂
Autrement, je pratique le jardinage, la découverte de nos (encore) belles régions, la randonnée, l’amour, l’amitié, le yoga, un peu de méditation, je suis adhérent chez les Verts (mais pas du tout l’âme militante ! je suis trop individualiste, je déteste qu’on me colle des étiquettes, et j’ai horreur de distribuer des tracts sur le marché…).
Il me semble que votre proposition pour une constitution pour l’économie pourrait être partagée par ce parti (Cf. Eva Joly en tête de liste lors des dernières élections), quoique la compréhension des rouages de la finance et de l’économie ne soit pas à priori leur point fort historiquement et culturellement (il y a des exceptions, comme Alain Lieptiz). Concrètement, je peux faire connaitre votre proposition à un très bon ami responsable vert au Pays basque (placé en n° 7 sur cette liste : http://lesverts.fr/article.php3?id_article=376.)
Voilà, c’était juste quelques infos pour mieux connaitre un des nombreux lecteurs « lambdas et anonymes » du blog (non, je ne suis pas un banquier déguisé, juste un « gars ben ordinaire » comme chantait Robert Charlebois 😉
Je file, car je dois partir conduire mon bus !
Jérôme
Salut à toi le chauffeur de bus m’étonnerait que tu sois « un gars ordinaire » 😉
Ah ce faire trahir par un IP….heureusement que vous seul y avez accés, sinon je serais déjà pendu si je me réfère aux propos de certains!-)
Votre Position est la bonne. Vous avez accés de plus en plus aux médias : il faut marteler les prévisions et constatations que vous faites au pus grand nombre.
Quand les faits vous donneront raison, le nous sera vraiment impossible à quantifier…..et là commencera le vrai travail de métamorphose.
Pensez à Mr Roubini qui est passé du statut de fou furieux lors de son discours devant le FMI, à celui de quasi gourou de la prévision économique!
Bref, ce moment n’est pas encore arrivé, car nous ne sommes pas encore tombé assez bas!
Les changements seront effectués par les politiques et par l’oligarchie du monde de la finance quand ils ne pourront plus faire autrement…
A vous (et d’autres) de batir les fondations en attendant ce moment.
Je partage l’avis en général et les commentaires en particulier des personnes qui s’expriment sur le sujet du jour, je n’exprimerai donc pas sous une forme différente le fond d’une réflexion qui nous est commune. Ayant du m’absenter du net sur une longue période (3 mois) je retrouve sur le blog une fréquentation plus soudée autour de valeurs plus ciblées, c’est mon impression à cette première reprise de contact.
En ce qui concerne ce « nous » plus précisément que vous évoquez, je transmets une information. J’ai fait un site pour un petit village de Bourgogne, http://www.druyes.fr sur lequel il est possible bien entendu de lire les réunions du conseil municipal (;-) mais aussi une page réservée à la « crise mondiale », page où sont mis à disposition un certain nombre de documents ainsi que des liens, dont un vers ce blog indispensable. Par le net on peut aussi jouer un rôle de passeur, sans avoir une carte de presse. C’est un petit geste qui a son utilité. Les petits ruisseaux… comme on dit…
@H. Giraudon
Je propose que France Inter remplace Bernard Maris par Paul Jorion.
Concernant le site du village bourguignon, c’est encore assez « artisanal », on trouve difficilement l’entrée !
Comme le suggère Omar Yagoubi ci-dessus, une réunion du « club des amis de Paul Jorion » me paraîtrait opportune. On pourrait ainsi voir qui sont les simples curieux, qui sont ceux qui ne sont là que « to pick your brains » (je pense aux lecteurs de Neue Zürcher Zeitung, sans doute pratiquement tous des banquiers!) et quels sont ceux, techniquement compétents ou incompétents, qu’intéresse la rédaction d’une constitution pour l’économie, bref, qui ont une conception particulière de votre (et de notre) action. Les modalités techniques d’une telle réunion pourraient être décidées en commun en fonction des divers emplois du temps. Il ne s’agit pas d’établir une association à but non lucratif de type loi de 1901 en France: un club aux frontières floues n’a nul besoin d’une telle formalisation.
Je m’abstiens de commenter les articles sur la finance et l’économie, car, au-delà de ce que m’apprennent Paul Jorion et François Leclerc, etc., je n’y connais rien et ne souhaite pas me ridiculiser. Le débat portant sur ceux qui, par leur activité, CREENT de l’argent me dépasse, en particulier. Pour l’instant, il faut que je me contente de faire confiance aux ingénieurs financiers et autres étudiants en économie, dont je ne suis pas, sauf au sens le plus primitif du terme. Je lis la plupart des commentaires pour essayer de gagner en compétence, mais là s’arrête pour l’instant mon goût pour le savoir. Lire (tous?) les ouvrages de PJ me semble au-delà de mes capacités et peut-être de mon courage. En revanche, il y a belle lurette que je suis convaincu de la non-viabilité du « système » capitaliste et épaté que quelqu’un le dise haut et fort sans être politiquement aligné sur les positions d’une institution existante.
Certains commentateurs se satisfont des seuls liens virtuels qui nous unissent (?) par le présent blog, mais ce n’est pas mon cas. Je crois aux liens concrets entre hommes et femmes de bonne volonté et à la force qu’ils génèrent. Pas question de nous cantonner à une sorte de variante de Facebook, que j’avoue dédaigner quelque peu. Je suis prêt à vous apporter, Paul et les autres, toutes précisions sur ma personne, même si je doute que cela contribue beaucoup à notre « cause », qui, me semble-t-il, doit être portée sur la place publique dès que possible. Ai-je tort de croire que le temps nous est compté?
A quand une page Paul Jorion sur Facebook ? Ca vous permettrait de mieux identifier vos « amis » et d’entrer directement en contact avec eux, tout en donnant davantage de visibilité à certaines de vos initiatives (constitution économique)…
Pour compléter la réflexion de JFF au sujet des dons.
y a t-il une boite postale pour envoyer des chèques ??
Bonjour M Jorion,
Vous vous demandez qui sont vos lecteurs et leurs motifs. je vous réponds
J’ai 58 ans
Actuellement consultant en management dans une grande entreprise – le nom est sur l’adresse mail – je suis votre démarche depuis 3 petits mois.
Je trouve votre démarche intéressante car elle soulève les enjeux d’une Re-institutionnalisation de l’activité économique
En effet, il m’a été donné il y près de 20 ans de soutenir un doctorat de philosophie sur le thème de la Crise de la pensée économique, et dans lequel je soutenais une idée proche ( mais à partir d’un angle d’attaque différent : la question du travail immatériel). En m’excusant d’avance de la goujaterie, je me permets d’en citer la conclusion, car elle me semble toujours d’actualité. La thèse concluait par cette phrase : « il n’est pas possible de rester fidèle aux principes de l’économie de marché sans s’interroger sur le cadre institutionnels qui lui permettra de développer l’échange de biens immatériels. Et c’est affirmer qu’à partir de ce moment on ne pourra pas éviter de rencontrer la philosophie »
(la thèse est publiée en librairie in extenso sous l’intitulé : la connaissance et la loi dans la pensée économique libérale ( classique)
C’est dire si je suis intéressé par votre démarche même si elle n’en est qu’à ses débuts. !
J’ajoute que pour arriver à cette conclusion j’ai été obligé de me plonger dans la contruction des premières institutions financières anglaises ( fin du XVIIème ) . Je me permettrai une contribution à ce sujet si vous n’y voyez pas malice (. A ce popros : Savez vous que leur principal artisan était LOCKE ? Et savez vous que lorsque SMITH parle de la « main invisible » ses flèches sont dirigées contre Locke et contre la banque d’Angleterre ? )
Je suis donc persuadé que vous touchez à des enjeux forts : ce qui veut dire aussi que vous aurez toutes les difficultés du monde à avancer
En vous souhaitant le meilleur
« Savez vous que leur principal artisan était LOCKE ? Et savez vous que lorsque SMITH parle de la « main invisible » ses flèches sont dirigées contre Locke et contre la banque d’Angleterre ? »
Tiens?!
Si il est possible d’en savoir un peu plus…
Cher Monsieur Jorion, votre audimat et votre notoriété s’accroissent, tant mieux.
J’ai noté 2000 visiteurs réguliers sur votre blog et 2000€ en moyenne de revenu, soit 1€ moyen par régulier. Mince….
Ces visiteurs sont certainement très variés, cadres dirigeants à étudiants. Pour ma part (chef d’une petite entreprise) j’accepte de payer 200€ d’abonnement annuel à LEAP pour leurs analyses. J’accepte de payer une somme comparable à vous mêmes pour la qualité de vos analyses et leur utilité pour améliorer ma « boule de cristal ». Je comprends que des étudiants ne paient rien, mais si seulement 20 personnes régulières sur 2000 payaient 100€ par an, nous aurions les 2000€ avec 10€ pour 200 autres réguliers on en serai à 4000€ au total. Cela veut dire qu’il y a pas mal de gens qui viennent vous lire gratuitement et ils ne sont pas tous étudiants, pas tous sympathisants et pas tous réalistes (il faut rémunérer le bon travail sous peine de n’avoir plus rien de bon, à part la bonne volonté).
On peut espérer que vous ne fassiez pas vos conférences gratuitement. J.M. Jancovici, fait payer 2500€ un exposé (limite des ressources énergétiques) partout en France. Vos interviews devraient être payantes. Si elles sont gratuites, je comprends que les journalistes vous aiment encore plus, mais dans un phase de développement c’est aussi un investissement.
Quel but poursuivez-vous? Ecrire des bouquins sur l’économie n’aura d’intérêt que dans une durée limitée (même longue) de la crise et des incertitudes qu’elle génère. Ecrire une « constitution pour l’économie » entouré d’un petit groupe d’experts ferait date dans l’univers culturel mais quel en serait l’impact?
Je reviens (j’ai l’habitude de répéter) sur un objectif d’impacter la communauté internationale des décideurs, les médias spécialisés, voire l’opinion publique (scandalisée par les évènements financiers).
Je suggère que vous développiez un plan et contenu étoffé de cette constitution pour la soumettre à un certain nombre de spécialistes internationaux de votre choix, renommés ou non mais compétents, et de constituer un groupe d’échange en vue d’en définir les détails. Vous risquez de ne pas trouver beaucoup de monde (j’en sais quelque chose) pour innover, prendre des risques (même intellectuels), mais il y en a et ils sont déjà connus.
Il est clair qu’une majorité d’universitaires ont des préoccupations d’universitaires et que vous leur faites de l’ombre, mais il y en a forcément qui accrocheraient.
Votre audience auprès des entreprises me paraît extrêmement intéressante. Vous toucher les décideurs et une large plage de salariés (à condition de présenter simplement les choses comme vous savez bien le faire). A titre d’exemple, J.M. Jancovici fait régulièrement des conférences dans de grandes entreprises. Le monde industriel (hors groupes financiers d’actionnaires) n’a rien a voir avec l’univers financier. Nous serons nombreux très réceptifs à votre discours. Cela constitue un force de frappe de l’opinion.
J’espère que vos finances vont se développer et que vous pourrez constituer autour de vous une équipe avisée et compétente, diversifiée et rémunérée par vos actions d’informations et bâtir un projet de constitution d’envergure internationale. Cela revient à constituer une entreprise avec une équipe complémentaire pour travailler sur le fond, sur la communication. Les entreprises peuvent vous aider.
Amicalement
@JFF
« Les entreprises peuvent vous aider ». Comme c’est gentil à vous. Il y a de la récup dans l’air…
« le monde industriel (hors groupes financiers d’actionnaires) n’a rien a voir avec l’univers financier. « . Et ben voyons ! Que disiez-vous il y a encore 2 ou 3 ans ?
« On peut espérer que vous ne fassiez pas vos conférences gratuitement ». Tout a un prix c’est bien connu. Gratuit n’existe pas.
@Paul
Problème pour voir la vidéo (IE ou Firefox)
Quand on arrive à l’usine
La gaîté nous illumine
L’idée de faire nos huit heures
Nous remplit tous de bonheur
D’humeur égale et joyeuse
Nous courons vers la pointeuse
Le temps d’enfiler nos bleus
Et nous voilà tous heureux
La ï ti la la la ï ti la la ï hé
(Refrain)
Merci patron merci patron
Quel plaisir de travailler pour vous
On est heureux comme des fous
Merci patron merci patron
Ce que vous faites ici-bas
Un jour Dieu vous le rendra
Quand on pense à tout l’argent
Qu’aux fins de mois on vous prend
Nous avons tous un peu honte
D’être aussi près de nos comptes.
Tout le monde à la maison
Vous adore avec passion
Vous êtes notre bon ange
Et nos chantons vos louanges
La ï ti la la la ï ti la la ï hé
(Refrain)
Mais en attendant ce jour
Pour vous prouver notre amour
Nous voulons tous vous offrir
Un peu de notre plaisir
Nous allons changer de rôle
Vous irez limer la tôle
Et nous nous occuperons
De vos ennuis de patron
La ï ti la la la ï ti la la ï hé
Nous serons patrons nous serons patrons
À vous le plaisir de travailler pour nous
Vous serez heureux comme un fou
Nous serons patrons nous serons patrons
Ce que vous avez fait pour nous
Nous le referons pour vous
La ï ti la la la ï ti la la ï hé
Clip Video – LES CHARLOTS – Merci Patron
envoyé par guenael76. – Regardez d’autres vidéos de musique.
@ghost dog
Ce fut un plaisir tout patronal !
Bonjour à tous,
De part le principe du blog, ce message sera lu par tous, bien que se voulant une réponse à la question posée par Paul (sans aucune familiarité mais avec énormément de sympathie intellectuelle si cela peut se concevoir) et qui peut renseigner également tous ceux qui y participent.
C’est une émission de radio (France Culture) qui m’a fait découvrir les propos de Paul Jorion. Découvrir Paul Jorion serait bien autre chose. Son parcours et l’angle avec il a abordé l’étude des systèmes économiques m’ont parus particulièrement intéressants. Par la suite, j’ai recherché sur le net d’autres informations concernant Paul. J’ai donc trouvé le blog et ce sont aussi et surtout désormais les propos qui y sont tenu qui m’apparaissent forts intéressants. Ils motivent une consultation quasi quotidienne.
Aujourd’hui, il me semble plus pertinent, plus rapide et plus simple de dire simplement que je ne suis absolument pas impliqué dans quelque institution bancaire ou financière. Pour en dire quand même un peu plus, je ne me satisfait pas de la marche d’un grand nombre de sociétés humaines où règnent depuis les niveaux « inférieurs » (familles), un système hiérarchique où les individus sont mis en compétition. Je m’interroge sur d’autres forme d’organisation et les moyens de parvenir à UNE société humaine qui se donnerait quelques chances de poursuivre son existence sur cette planète, pour le bien être de chacun de ses membres et de ceux à venir.
Ce blog est motivant, riche d’enseignements et de raisons de ne pas désespérer.
Bonjour Paul,
bonjour à tous les autres !
Je suis un des atome de ce NOUS dont tu te demandes de quoi il est composé… Je ne suis qu’un atome, mais un atome agissant !…
Les grandes rivières sont faites de petits ruisseaux, ne l’oublions jamais.
Je suis un modeste retraité et je me suis fait un petit réseau de contacts auprès duquel je me fait un point d’honneur de diffuser les VRAIS informations (notamment issues du présent blog) sur la situation réelle du monde dans lequel nous vivons… C’est un gros boulot pédagogique…
Je peux dire aujourd’hui que ce travail de fond commence à porter ses fruits, et que de plus en plus de personnes commencent à ouvrir les yeux.
Parallèlement, je m’intéresse également de très près au domaine de la santé, domaine dans lequel il existe également des vérités « gênantes » que la presse alignée (et les intérêts financiers de certains lobbies…) (ces deux domaines se rejoignent donc sur un thème commun !…) se garde bien de diffuser sur des informations qui apporteraient beaucoup de bien-être à beaucoup d’individus sur la planète pour un coût très faible (il n’y a pas de hasard, ma pauv’Lucette !…).
Je suis prêt à être contacté pour t’aider (je me permet de te tutoyer…) dans la mesure de mes petits moyens (cf mon adresse e-mail).
citation :
Je peux dire aujourd’hui que ce travail de fond commence à porter ses fruits, et que de plus en plus de personnes commencent à ouvrir les yeux.
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Je n’ai pas l’impression que les gens voient que ce système ne peut rien procurer de plus que ce qu’il a donné juste avant la crise.
Et qu’on se demande d’où vient la valeur de l’argent, le lien de cette question avec celle de l’inflation, etc. Car tout ceci est lié.
Ce que propose Paul Jorion, il me semble, c’est quand même sauver ce système, mais est ce que le résultat sera vraiment meilleur que ce que nous avons connu jusqu’à maintenant ? Non, si l’on ne perçoit pas que le système fonctionne selon certains paramètres et certaines conditions, comme un organisme. Par exemple, la valeur de l’argent implique son manque, et vice-versa. Donc la pauvreté est nécessaire et non accidentelle. Ceci ne peut être atténué que si l’on laisse subsister une inflation conséquente.
Et si je ne dis pas ceci, personne ne le dis.
Comme disait J P Fitoussi sur une radio dans un élan de sincérité, les riches ont besoin des pauvres pour être riche, et ceci est la damnation fondamentale du système.
Ceci dit, je m’intéresse à la question de l’argent à des périodes où l’on n’avait pas idée d’augmenter les prix et de les varier, sur des générations, car toute valeur était constante…. les pièces représentant un poids métal… il aurait été saugrenu de varier le prix du pain subitement dans un monde sans conscience capitaliste, plus stable. ce qui représentait un moment de fixation des prix.
L
Ne pas se laisser bouffer! Rester près de soi, fidèlement… faire ce qu’on sent etre vrai
attention aux « nous » qui finissent tout seul!!! Faire confiance à la force des paroles « vraies »,
elles font très bien leur chemin!!! Doucement mais surement!!!
Confiance!