Un compte-rendu très rigoureux de mon livre Le prix (Le Croquant 2010) par Bertrand Renouvin.
Morceaux choisis avec Copilot: **Total estimé** : environ **4 700 militaires fédéraux** (Garde nationale + Marines), auxquels s’ajoutent **plusieurs milliers…
6 réponses à “PAUL JORION ET LA « VÉRITÉ » DU PRIX”
Les royalistes aussi s’mettent à aimer Jorion ! Ça sent le plébiscite…
Les britanniques, les belges, les espagnols, les hollandais, etc, sont pour la plupart monarchistes. Ils ne sont ni extrémistes, ni ‘Camelots du Roi’, ni même forcement à droite. C’est vous pour le coup qui montrez vos ‘true colors’ de franco-français républicaniste-ultra
On se calme Maitre Capet. Où voyez-vous que je vitupère contre les camelots du roi ou simplement les caniches à queue pomponnée de la famille d’Orléans ? Quoique si on insiste un peu… J’avais un grand oncle qui avait dressé son labrit à faire le beau quant il criait « Vive la République » et se couchait en montrant son dergeot quant il criait « Vive le pape », alors… surement qu’j’ai été un peu mal éduqué.
La vérité du conflit monétaire international:
Voir la courbe du taux de change Euro/Sterling ou Euro/$ sur la semaine écoulée en se rappelant que le Portugal a demandé 88 milliard d’aide, et que l’Espagne serait éventuellement dans la roue…
L’Anglosphère traverse un trou d’air… ou serait-ce la rencontre avec un syphon?
gdm:
8 avril 2011 22:16
Vous soutenez que l’offre et le demande seraient le résultat d’un rapport de force. Je ne suis pas d’accord. L’acheteur propose sans contraindre le vendeur. le vendeur propose sans contraindre l’acheteur. Il n’existe donc aucun rapport de force entre l’acheteur et le vendeur.
Et s’il existait une contrainte sur l’autre, le consentement à la transaction commerciale serait nul. ce serait un vice du consentement. La vente serait annulée par un tribunal. La vente n’aurait donc jamais eu lieu!
Vous ne pourrez donc jamais voir un rapport de force dans une transaction commerciale. Une proposition commerciale alléchante n’est nullement une contrainte que l’un exerce sur l’autre.
Philippe MEONI:
9 avril 2011 11:59
@ gdm :
Parlez nous donc de l’absence de contrainte dans l’offre et la demande lorsqu’il s’agit de faire le plein de carburant ou se fournir en gaz ou électricité…
Si demain je pouvais et voulais produire de l’énergie et la vendre à 50% du prix moyen marché courant, je n’en aurais pas le droit car des règles ont été crées pour m’en empêcher…
Où est la notion de consentement lorsqu’on nous impose le prix de la baguette de pain à 0,80 € puisque tout est organisé pour qu’on ne puisse le trouver nulle part ailleurs, à qualité égale, à un prix inférieur…
Lire les livres avant de s’imaginer pouvoir se permettre de les critiquer sans les avoir lus.