Je serai vendredi prochain, 7 décembre, à 18h au Vicomte, 1 rue du Bourgmestre, au coin de la chaussée de Boondael, à un bloc (« pâté de maisons ») du boulevard général Jacques, à Ixelles.
Le vendredi à six heures du soir (= 18h), ce n’est peut-être pas le moment de la semaine où il est le plus simple de se rendre dans ce quartier-là, aussi Philippe, le patron, m’a dit : « Écoutez (*) si c’est plus simple pour les lecteurs du blog de venir un samedi, moi j’habite au-dessus, il suffit qu’on me dise et j’ouvre le
café ! ».
Vous avez répondu à l’appel : le quorum est atteint : le Vicomte sera ouvert samedi à partir de 17h, et je serai là.
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(*) Cela fait maintenant presque deux mois que je dis : « Philippe, mon vieux… » et que lui me répond : « M. Jorion… ». Cela doit être à cause de ma barbe. Mais maintenant que je l’ai dénoncé publiquement, il n’osera plus me vouvoyer (oui Piotr, je sais que la forme correcte, c’est « voussoyer »).
19 réponses à “AVIS AUX BRUXELLOIS !, les vendredi 7 et samedi 8 décembre à 18h”
[…] Blog de Paul Jorion » AVIS AUX BRUXELLOIS !, les vendredi 7 et samedi 8 décembre à 18h. […]
Mais en voilà une idée qu’elle est bonne ! Je rameute mes potes et vous tiens au courant 🙂
Philippe, on est déjà 10 pour samedi 18h (sans compter ceux qui viennent vendredi).
vous mettez une webcam pour le 7 ?
ca ferait un joli « temps qu’il fait, live au vicomte » 🙂
Très bonne idée, Cher Rototo
Excellente idée Rototo, « live au vicomte » pour tous ceux qui restent dans la virtualité.
Déjà 10 ! … Bain, C’est Super !
« Se réunir est un début.
Rester ensemble est un progrès.
Travailler ensemble est la réussite. »
Henry Ford
bon sang mais c’est bien sur : il faudrait reunir dorenavant les G8 / G20 / bidulebergue / etc au bistrot, pour que nos grands argentiers et petits telegraphistes se reconnectent à l’humanité.
Puisque les ministres des finances europeens seront demain à Bruxelles, y’a plus qu’à les trainer au Vicomte, sortir quelques futs de la cave, et on va te la regler fissa la crise à coups de chope 🙂
Un cafetier qui n’ouvre pas le samedi ! La Belgique, charmante voisine, est décidément une contrée bien étrange. C’est le jour du shopping, pas le droit à la chopine ?
excellente idée !
Oui, très bonne initiative,
(Ce Piotr est décidément plein de ressources, déjà traducteur …. )
NB je n’y serai pas, mais cela n’empêche pas ……
(donc encore une fois merci à Paul, merci à Piotr, merci …. à tous
Je serai là (samedi) , si j’arrive à entrer (si on me laisse entrer :-))
Avis aux auditeurs de France Culture (s’il en reste que l’habitus a cloués devant leur poste). Marc Voinchet et son équipe se sont surpassés ce matin dans l’incurie journalistique face à François Barouin. Ce dernier peut asséner une énormité pareille : « Le nucléaire ne pollue pas » sans que nul ne la dégraisse illico d’un « Et la Hague, elle retraite de l’huile essentielle de lavande ? » Brice Couturier peut rouler son leitmotiv éculé du défaut de compétitivité de nos entreprises consécutif au « coût du travail » sans que nul ne le tacle d’un « Et le coût de l’actionnariat, il compte pour du beurre ? » bien senti. Même Barouin, qui venait de s’illustrer dans le registre péremptoire, a dû tempérer la charge routinière de Couturier contre le système français, tant elle était caricaturale, et faire l’éloge de la retraite par répartition. Les Matins sont tombés si bas (Matins crépusculaires) que la modération est assurée par les invités eux-mêmes, que le franc-parler « iconoclaste » de certains intervenants indispose. Le Brice se vante de ne pas lignifier sa langue, mais gare à l’enkylose pétrifiante quand on se fait le perroquet de soi-même.
J’ai quelques réticences à l’écrire, mais B. Couturier comme tous les autres vont manger leur chapeau de feutre. Seul le club des auditeurs du 4è age l’écoute, et encore d’une oreille distraite.
Couturier n’aura pas assez soupé du stalinisme de son pays d’origine pour verser dans une autre idéologie tout aussi caricaturale, ce qui est regrettable. Il n’aura appris aucune leçon.
Cette idéologie qui ne cadre pas avec le contour interne de l’homme : Elle stipule qu’il faut toujours attendre la sortie de crise, par le sacrifice, or la vie ne supporte pas l’attente indéfinie. Notamment l’amour, si je puis reprendre une formule de Kierkegaard, la femme (ou l’homme réciproquement) requiert un aparté avec son partenaire, aparté par rapport au lien avec le transcendant, ou si je sociologise K, avec la société, et surtout avec l’économie.
Le cadre économique loin d’offrir la liberté entre en conflit avec la vie privée et ses exigences naturelle inaliénables, temporelles. inutile de le dire mais j’avais envie de séculariser Kierkegaard. La vie privée c’est maintenant et pas plus tard, quand la croissance reviendra, ou lorsque les chinois seront à 3500 E par mois ! C’est ça qu’il faut voir, toutes cette téléologie du sacrifice est inacceptable dans une vie limitée par le temps. C’est maintenant ou jamais.
J’ai allumé le poste sur FC au milieu du billet de couturier . J’ai tenu moins d’une minute .
Finalement je préfère écouter les pubs d’Europe 1 que ce type .
Il y a aussi une autre émission pas mal dans le genre le samedi à 11 h . On n’ y entend que des libéraux pontifier sur l’économie .
couturier a employé les termes de droite réformatrice pour qualifier le dernier gouvernement sarko, qu’il a l’heur de beaucoup regretter…
france cul le matin : un bien vilain mélange d’ultra libéralisme et de libertarianisme, une espèce d’ultra libertarianisme déconfit.
Et à la Sainte-Barbe…
Bonnes Fêtes aux pompiers de la crise de l’euro !
Tiens , au fait !
Philippe , c’est bien l’homme qui aime les » chevaux » ?
..et alors mon message sur la spéculation de la BD il n’est pas recevable? pourtant ce n’est pas méchant? vous me laissez perplexe……