Sur le thème récurrent à mon nouveau livre du très mauvais équipement de l’espèce humaine à assurer sa survie, la pulsion « scopique » de l’homme qui le pousse à « aller regarder ce qui se passe », parfois au péril de sa vie. Cette histoire-ci se termine bien : tout le monde se tirera d’affaire mais ce n’est pas toujours le cas.
Merci pour ces précisions. Quand on joue avec le noyau, ça peut faire mal. Ça me rappelle une de mes…