Dans Quand le Financial Times perd ses nerfs, François Leclerc évoque l’éditorial ce matin du quotidien britannique, qui dénonce la critique du néo-libéralisme présente dans un récent article du Fonds monétaire international. Je n’ai pas pu m’empêcher bien entendu d’aller mettre mon grain de sel.
Je ne pense pas qu’il aurait décliné une invitation au manoir, en bon ogre qu’il est, attiré par la chair…