Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (IV) La réinvention du mot « néo-libéralisme » en France

Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », préface de Serge Audier – Penser le « néo-libéralisme », éditions Le bord de l’eau, 2012. Madeleine Théodore nous propose un résumé en plusieurs parties de cette réflexion essentielle. Ouvert aux commentaires.

La réinvention du mot « néo-libéralisme » en France.

Que pouvait évoquer le mot « néo-libéralisme » à un individu des années 1930 ?

Une des toutes premières apparitions de théorisation au plan international est celle d’un Allemand, le socialiste modéré Karl Marlo. Il parle de l’école « néo-libérale » dans son livre monumental sur l’organisation du travail, publié entre 1848 et 1859. Il évoque une série d’économistes qui ont rompu avec certains dogmes du libéralisme classique, dont la critique du capitalisme a joué un rôle important dans la conscience sociale de leur époque, comme Jean Charles Léonard Simonde de Sismondi, qui influença notoirement l’histoire du socialisme ou encore le chrétien social Alban de Villeneuve-Bargemont, connu pour sa critique des conditions de travail des ouvriers. L’ouvrage distingue 1° le monopolisme dans l’ordre politique et social 2° le libéralisme qui se divise chronologiquement en vieux libéralisme (école mercantile), libéralisme pur (école d’Adam Smith), néo-libéralisme (l’auteur écrivait en 1848) 3° les communistes divisés en demi-communistes et en communistes 4° le fédéralisme dans l’ordre politique et dans l’ordre social.

Le mot « néo-libéralisme » ne connaîtra toutefois pas dans ce milieu du XIXe siècle une très grande fortune. En grande-Bretagne, ce sera le terme « New Liberalism » qui apparaîtra. Dans la France de la 3ème République, au temps de l’affaire Dreyfus, une formulation très confidentielle apparaîtra sous la plume de Mécislas Goldberg, un militant dreyfusard proche des milieux anarchistes. Il s’agit du « libéralisme nouveau ».

Un cas intéressant est celui de l’historien Sébastien Charléty, dans sa contribution à l’ouvrage collectif dirigé par Ernest Lavisse, « Histoire de France contemporaine depuis la révolution jusqu’à la paix de 1919 ». Le spécialiste du pré-socialisme saint-simonien, qui traite de la période de la Restauration, consacre tout un chapitre de son livre au « néo-libéralisme ».ll s’agit pur lui de décrire la nébuleuse intellectuelle réunie autour du journal Le Globe, avec Théodore Jouffroy et Pierre Leroux, avant le tournant socialiste de celui-ci. Ce néo-libéralisme lui paraît exprimer toutes les insatisfactions de la jeune génération face au vieux libéralisme dominant. Il soutient que « le mouvement saint-simonien eut les mêmes causes morales que le néo-libéralisme, à savoir « le dégoût inspiré par les insuffisances doctrinales du libéralisme officiel ». Sans doute les saint-simoniens, par leur projet  audacieux, dépassent le néo-libéralisme selon Charlety mais leur geste participe d’une tentative commune de critique du libéralisme alors hégémonique.

Le  néo-libéralisme connaîtra bientôt une résurrection indissociable de la grande vague du « néo » qui se déploie entre le milieu des années 1920 et les années 1930, dans un climat de révision généralisé des doctrines, comme le marxisme : Charles Gide parle de « néo-marxisme ». Dans sa synthèse « Les systèmes socialistes », Hubert Bourgin parle de « néo-guesdisme », pour désigner une fraction des successeurs de Jules Guesde. Il parle plusieurs fois de « néo-syndicalisme » qui emprunte un chemin depuis les origines du marxisme jusqu’au bord de l’anarchisme. Dans le champ esthétique, après le « néo-romantisme » et le « néo-impressionnisme », on voit surgir le « néo-plasticisme », théorisé par Piet Mondrian.

Au sein du champ politique, il y a le néo-socialisme défendu par Marcel Déat. le mot se répand au cours des années corrélativement à un autre mot, celui de révision, sous l’influence en Belgique de de Man et de Paul van Zeeland. En 1933 », le philosophe catholique Jean Lacroix, membre majeur de la rédaction de la revue Esprit, publie un article sur le socialisme de de Man : il porte le titre « Révision du socialisme » et évoque le dernier livre de de Man : « Le libéralisme constructif ».

En 1932, le groupe de jeunes réformateurs planistes au sein de la SFIO, autour de Georges Lefranc, Claude Lévi-Strauss, Pierre Boivin et Robert Marjolin, futur membre du colloque Lippmann, se faisait connaître aussi sous la formule de « Révolution constructive ».

Plus tard, quand Louis Rougier, père de l’offensive dite « néo-libérale » défendra ses positions, il reprendra le même vocabulaire en diffusant les concepts de « libéralisme constructif », ou encore de « libéralisme constructeur », et en parlant de « révision du libéralisme ». On parlait également de « néo-marxisme », « néo-saint-simonisme », « néo-babouvisme », de « néo-syndicalisme », de « néo-radicalisme ». Ainsi le « néo-libéralisme » était-il dans l’air, mais son sens restait à définir.

Un de ses ancêtres directs est sans doute le « néo-capitalisme », dont Pirou explique dans sa synthèse sur les « néo », ce qu’il représente. Il s’agirait, pour cette doctrine portée surtout par quelques patrons, de procéder à une révision doctrinale afin de redéfinir le libéralisme et le vieil individualisme. Porté surtout par Edmond Giscard d’Estaing, dans son article « Le néo-capitalisme », publié en 1932 par la Revue des deux mondes, ce courant entend moderniser la doctrine en lui donnant un contenu plus social. Par exemple, le néo-capitalisme rejette la méfiance envers l’action collective des syndicats. Selon Henri de Peyerimhoff, « l’individualisme anarchique doit céder progressivement la place à la discipline de la profession organisée ».

C’est aussi dès la fin des années 1930 que le concept de néo-libéralisme fait une apparition assez importante en France, sous la plume du libéral conservateur Alfred Fabre-Luce, dans « Europe nouvelle », dirigée par Louise Weiss, revue représentant l’un des lointains foyers intellectuels du néo-libéralisme et comptant parmi ses plus fidèles collaborateurs deux importants futurs membres du colloque Lippmann, Roger Auboin et Robert Marjolin. Fabre-Luce va dégager une philosophie nouvelle, qui se veut centriste, en quête du dépassement des oppositions entre libéralisme et socialisme. Il prend en exemple les Etats-Unis, qui selon lui développent ensemble les bénéfices du capitalisme et le salaire de l’ouvrier. De son côté, le mouvement socialiste est la proie de fortes contradictions liées au démenti que le capitalisme a apporté à la doctrine de Marx : il est déchiré entre réforme et révolution, comme en atteste le fait que « ceux des projets socialistes qui sont susceptibles d’améliorer le sort de la classe ouvrière impliquent toujours pour leur réalisation un développement du capital ». De même, il est apparu que « l’assainissement des finances publiques importait aux classe laborieuses », alors que «  le réaliser, c’était de fait consolider le régime capitaliste ». Pour Fabre-Luce, le vieux socialisme comme le vieux libéralisme sont morts.

Le traducteur d’un livre important paru en 1922, « Socialisme libéral », du militant socialiste et antifasciste Carlo Rosselli emploie le mot néo-libéralisme pour la forme italienne « libéralisme renouvelé », pour expliquer que « la social-démocratie tendait vers une nouvelle synthèse entre les Lumières bourgeoises et le socialisme prolétarien ».

En 1932, un futur membre du Colloque Lippmann, Bernard Lavergne, professeur d ‘économie respecté, disciple libéral du grand théoricien de l’économie coopérative Charles Gide, contribue à diffuser le mot dans le monde savant. Il participe à de nombreux combats en faveur du socialisme coopératif et s’intéresse aux travaux de Gaëtan Pirou, collaborateur de la « Revue des études coopératives », que Gide et Lavergne ont fondée. Dans un compte-rendu du livre de Pirou, « Les doctrines économiques en France depuis 1870 », il relève la montée des différents «  néo » dont aucun ne le satisfait pleinement.

Lavergne n’aime guère le « néo-capitalisme » mais il se méfie aussi du « néo-socialisme » et surtout du « néo-radicalisme ». En 1932,il propose un autre mot, le « néo-libéralisme » ou plutôt il parle favorablement des thèses d’un économiste allemand de renom, Julius Bonn, et de son livre sur « La destinée du capitalisme allemand ». Un peu comme plusieurs de ses collègues de l’époque qui deviendront des chefs de file de l’« ordo-libéralisme », Bonn dressait le bilan du capitalisme allemand à l’ère de l’interventionnisme et des cartels et, plus largement, des liens incestueux entre les groupes d’intérêts économiques et l’Etat. Lavergne essaie de tirer les leçons doctrinales de cette recherche. En tant que défenseur des consommateurs, le coopératisme socialiste libéral Lavergne est choqué, à la lecture de Bonn, par les connivences désastreuses -notamment en Allemagne – entre l’Etat et les groupes d’intérêts formés par les monopoles, les cartels, les trusts, etc. Pire, à la façon de l’U.R.S.S., l’Allemagne serait sur une pente interventionniste dangereuse. Il appelle de ses voeux un libéralisme renouvelé, sorte de nouvelle synthèse entre l’école libérale et l’école interventionniste.

Le mot de « néo-libéralisme » lancé par Lavergne dans l’« Année politique française et étrangère » sera repris ensuite, notamment dans la « Revue d’économie politique ». Avec le « néo-libéralisme », il s’agit de substituer à une économie autocratiquement dirigée une économie concertée à l’amiable entre les intéressés. Le néo-libéralisme groupe la plupart des économistes français, et le mot commence à apparaître dans l’idéologie politique. C’est Pierre-Etienne Flandin, homme de centre-droit, qui défend la formule dans le journal conservateur « Le temps » : «  la doctrine du néo-libéralisme, qui ne dissocierait plus l’économie du politique ». Il évoque, en tendant à rétablir dans l’économie un maximum de liberté, une « doctrine libérale-nationale ».

A la même époque, le mot commence à se diffuser dans le champ politique en Suisse et en Belgique avec des sens différents.

Côté suisse, c’est autour du Parti libéral vaudois, au coeur des années 1980, que la thématique néo-libérale connaît un certain succès dans une perspective chrétienne conservatrice. Le programme de 1934 prône le retour à l’homme, la personne plutôt que l’étatisme, dans un contexte de dialogue et de concurrence avec le mouvement d’extrême-droite Ordre et Tradition.

Le « néo-libéralisme » belge, qui perce entre 1934 et 1936, a un sens tout à fait différent. Pour son numéro d’août 1936, la rédaction de « l’Europe nouvelle » salue le travail important de « gestation » qui s’effectue au plan idéologique en Belgique. La revue donne ainsi l’occasion de s’exprimer à Marcel-Henri Jaspar, cadet des membres du gouvernement van Zeeland, qui serait le chef et le porte-parole brillant et incisif du néo-libéralisme, ainsi qu’à son collaborateur et secrétaire particulier Henri Janne un sociologue disciple d’Eugène Dupréel, situé plutôt à gauche, qui rejoindra le Parti socialiste en 1946, lui aussi promoteur du « jeune libéralisme ». A Bruxelles, à Liège ou à Gand, des Comités de Vigilance des Intellectuels Antifascistes avaient  poussé à la constitution d’une concentration antifasciste, baptisée « Front populaire » qui visait à regrouper des communistes, des libéraux et des démocrates chrétiens. En 1935, lors d’un meeting tenu au Cirque Royal de Bruxelles, Jaspar, Janne et Henri Mot avaient pris la parole. Jaspar insista sur deux dimensions à propos des thèses du « mouvement néo » : d’abord la valorisation de l’Etat comme gardien des règles du marché, ensuite l’élévation du pouvoir d’achat et les correctifs sociaux. Enfin, il insiste sur le fort contenu social et moral du message néo-libéral mis en oeuvre par le gouvernement van Zeeland, afin de couper l’herbe sous le pied à la réaction rexiste.

Un an plus tard, le terme revient dans le débat français, mais plus conservateur, sous la plume de Louis Salleron, écrivain de sensibilité catholique, paysanne et traditionaliste. Dès 1937, dans « Un régime corporatif pour l’agriculture », il souligne que « si le libéralisme est impuissant face au problème agricole, il peut évoluer en associant les organisations professionnelles ». Il voit dans le néo-libéralisme une synthèse combinant corporatisme et protectionnisme, sorte de troisième voie entre économie dirigée et « pur libéralisme ».

Dans la même période, le mot se diffuse avec une nuance péjorative chez les néo-socialistes. Marcel Déat accuse le Front populaire de vouloir trouver une sorte de compromis entre interventionnisme social et libéralisme. Le risque auquel s’expose le Front populaire, selon lui, est de céder aux « apologies du néo-libéralisme » et de perdre ainsi la gauche de son électorat.

Le mot « néo-libéralisme » n’est pas bien perçu non plus dans les cercles « personnalistes » du groupe Ordre Nouveau mais il commence à pénétrer dans la littérature des non-conformistes des années 1930. Dès 1933, dans « La Révolution nécessaire », Armand Dandieu et Robert Aron le mobilisent pour renvoyer à l’idée d’une refonte doctrinale. C’est encore plus le cas en 1935, quand Aron redéfinit les positions d’Ordre Nouveau dans « Dictature et Liberté » : Aron cite un discours de Robespierre sur la réégilibilité des députés du 16 mai 1791, qui contraste avec son intervention antérieure sur la liberté de presse du 24 août 1789. Alors que l’Incorruptible s’était fait le défenseur d’une liberté intégrale, il souligne cette fois la nécessité de la protéger et de la restreindre au besoin. Pour Aron, on touche là à un type d’évolution comparable à celle menant, dans les années 1930, du vieux libéralisme au néo-libéralisme : « Ce texte de Robespierre fait pressentir tout l’effort que, jusqu’à nos jours, tentèrent les libéraux pour se sauver eux-mêmes et se sauver d’eux-mêmes. Il introduit deux notions nouvelles dans la recherche de la liberté : une hiérarchie des libertés d’une part, une technique de la liberté d’autre part ». Aron conteste le fait que la liberté puisse être assurée par un principe hiérarchique externe ou par des moyens techniques. Au nom d’Ordre Nouveau, il plaide pour une réforme intérieure de l’individu et pour des communautés locales et autres groupes spontanés en soulignant que « le rôle de la France, c’est d’organiser un Etat social qui maintienne la tension nécessaire entre discipline et liberté.

En 1938, Henri Noyelle met le terme en valeur et souligne que « l’économie dirigée connaîtrait trois modes principaux: le mode néo-libéral, le mode communiste et le mode planiste ».

Dans d’autres milieux, à gauche, René Capitant, futur protagoniste de la Résistance, défend « un néo-libéralisme qui adapterait à notre époque et à nos conditions sociales la pensée et les principes de ses fondateurs du 18ème siècle et qui se rapprocherait sans doute beaucoup plus d’un néo-socialisme ».

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8 réponses à “Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (IV) La réinvention du mot « néo-libéralisme » en France”

  1. Avatar de FuckdaSystem
    FuckdaSystem

    Autant la remarque générale d’Aron sur les libéraux français sonne assez juste à mons sens (après tout, ils sont français, et donc républicains, avant d’être libéraux), autant la « contradiction » qu’il percevrait chez Robespierre me parait, de loin, assez douteuse.
    Je n’ai pas les 2 textes sous les yeux, mais je suis près à parier qu’une lecture attentive n’y laissera voir aucune contradiction quant à l’étendue souhaitable des libertés publiques.

    1. Avatar de FuckdaSystem
      FuckdaSystem

      « Aron conteste le fait que la liberté puisse être assurée par un principe hiérarchique externe ou par des moyens techniques. »
      Qu’appelle t-il « moyens techniques » exactement?
      Qu’appelle t-il « principe de hiérarchie externe »? S’agit-il de l’existence de critères d’arbitrage objectivables à partir desquels organiser la primauté de libertés entre-elles? Ou bien d’un principe qui contreviendrait à l’idée qu’il n’y a de peuple libre que de peuple qui obéit aux lois qu’ils s’est lui-même données? Ou bien est-il + individualiste encore, l’idée étant qu’un individu n’est pas libre s’il doit obéir à des règles qui n’ont pas été décidées par lui seul, et qui lui sont d’imposer « d’en haut » (y compris du peuple)?

      1. Avatar de FuckdaSystem
        FuckdaSystem

        erratum. dernières ligne : « et qui lui sont imposées »

  2. Avatar de FuckdaSystem
    FuckdaSystem

    Vos articles sont très intéressants et permettent de remettre en cause et/ou de clarifier pas mal d’a priori sur l’histoire du label « neo-libéral ».
    Il s’agit, si je puis me permettre, d’un véritable foutoir, ce qui rend votre démarche d’autant plus méritoire!
    A moins de disposer, pour chaque doctrinaire, de la raison pour laquelle celui-ci pense mériter le label « neo-libéral » ou bien pense s’inscrire à bon droit dans la filiation/tradition du libéralisme (ce qui implique un examen 1/ de la place que cet élément occupe dans sa propre doctrine 2/ de la place qu’il pense que cet élément occupe dans la doctrine libérale et de la raison qui l’amène à le penser et 3/ de la place que cet élément occupe réellement dans la doctrine libérale, ce qui implique qu’il existe quelque chose de tel qu’un corpus libéral objectivable, ou a minima quelques points de doctrines relativement stables), il est difficile d’en tirer quelque chose de « solide ».
    Je veux dire par là qu’il semble plus tentant d’aller directement aux problèmes (et à l’évaluation pratique des solutions proposées, quand c’est possible), plutôt que de chercher un fil conducteur dans ce nœud de croyances inextricable. On ne peut décidément s’appuyer sur aucun « -isme » sédimenté par la tradition.

  3. Avatar de vigneron
    vigneron

    Corriger au plus vite.
    Ce n’est pas Raymond mais Robert Aron qui écrivit La Révolution nécessaire avec Arnaud Dandieu (et Le Cancer américain et La Décadence de la nation française…).
    Lien de famille très très éloigné avec le grand Raymond…
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Robert_Aron

    1. Avatar de Paul Jorion

      Effectivement ! Désolé. La correction a été faite.

  4. Avatar de FuckdaSystem
    FuckdaSystem

    Merci… je trouvais ça bizarre. Raymond, d’une grande finesse analytique, étant particulièrement difficile à prendre en défaut.

  5. Avatar de Gudule
    Gudule

    L’argent « mode d’emploi », itou 😉 : 2400 milliards de dollards.

    L’équivalent de trois ans de réformes APL.
    https://www.youtube.com/watch?v=JLAaOeHRXPo

    Ce Français qui a œuvré dans l’ombre pour faire condamner Google
    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20170706.OBS1767/ce-francais-qui-a-uvre-dans-l-ombre-pour-faire-condamner-google.html

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