Sur les bateaux où j’ai appris la pêche en mer, quand ça tournait mal, le français disparaissait instantanément : il n’y avait plus de jurons, plus d’ordres, plus de mots du tout en français. Il n’y avait plus que le breton et il y avait intérêt à le comprendre !
Après, une jeune fille de Lignol, près de Guémené-sur-Scorff, m’a enseigné cette langue posément, comme sur les bancs de l’école. Mais comme disait Nietzsche, ce qu’on apprend dans les cris et la fureur, on ne risque jamais de l’oublier !
Si j’ai bien suivi votre démonstration, j’abonde… Voici un commentaire/expérience, une lucarne sur le lien IA/Humains : https://www.pauljorion.com/blog/2025/11/03/ma-soiree-avec-claude-sonnet-4-5-iv-%ed%83%90%ea%b5%ac-doit-inclure-la-voie-poetique-pas-seulement-la-tolerer-par-claude-roux/comment-page-1/#comment-1109154