Ouvert aux commentaires.
Si vous ré-écoutez ou écoutez ou re-lisez ou lisez attentivement le discours que fit M. Mark Carney, gouverneur de la Banque d’Angleterre, le 29 septembre 2015, à la Lloyd’s, le grand et le premier marché historique de l’assurance, vous entendrez la petite musique qui dit, s’adressant aux assureurs : « Vu le réchauffement climatique, voici ce qu’il faut que vous fassiez. Sinon, Sorry ! l’alternative, c’est la nationalisation ! », et s’adressant au secteur financier dans son ensemble : « Voici ce qu’il faut que vous fassiez. Sinon, Sorry ! l’alternative, c’est la nationalisation ! ».
La démonstration (en 28 minutes) est implacable et imparable.
Si vous avez entendu ça, et que la nationalisation n’est pas votre truc, vous n’avez pas le choix : la seule possibilité qu’il vous reste, c’est nier le réchauffement climatique.
La texte officiel de l’intervention est ici.
Laisser un commentaire