Ouvert aux commentaires.
Je vais mettre quelques morceaux auxquels je pense, mais nous allons faire comme les Italiens qui chantent tous ensemble par la fenêtre : aidez-moi par vos suggestions !
*Godot est mort !*
Ouvert aux commentaires.
Je vais mettre quelques morceaux auxquels je pense, mais nous allons faire comme les Italiens qui chantent tous ensemble par la fenêtre : aidez-moi par vos suggestions !
une pensée pour nos pauvres amis anglais…
Pour ceux qui ignorent d’où ça vient, c’est l’une des chansons de la comédie musicale (en français : « opérette »), Carousel (1945) de Rodgers et Hammerstein.
(Ne vous apitoyez pas trop sur le mourant : c’est un bandit et un voyou qui la bat [une autre de ces choses qu’on trouvait « relativement normales » en 1945]).
Bonjour
Personne
« un requiem allemand ».. Très bon choix.
« rigoletto ».. Pas trop.
Quelle horreur… pitié ! Non…pas ces c… anglosaxonnes, de grâce !Vous êtes tous aliénés ou quoi ? Comment Pouvez-vous pécher de la sorte ? C’est invraisemblable. C’est comme Lupus qui nous assomme avec ses merdes amerloques à chaque article… Vous aggravez l’aliénation avec ces zinzins horribles… Hommage à L’Italie MINA !
Ah ça, je suis d’accord avec vous : la chanson italienne c’est 24.000 fois mieux que la daube anglo-saxonne !
Si je dois mourir du Covid19 j aimerais revoir avant Ornella Muti sorir de la piscine sur l’air de Ti Amo dans les nouveaux monstres. Je partirai tranquille ensuite
« Voir Ornella Muti et puis mourir »… Un vrai connaisseur !
Aaah Ornella Muti, que d’émois. Troublante dans « Conte de la folie ordinaire » de Marco Ferreri.
https://olivierpere.files.wordpress.com/2012/07/conte-de-la-folie-ordinaire1.jpg
Un peu d’espoir ?
Breton, punk et anti-fa, Tagada Jones « Mort aux cons ».
Où sont passés les camarades?
Les meneurs, les grèves générales
Ceux qui avant faisaient front et osaient crier « Mort aux
cons »
Où sont passés les camarades?
Les slogans et les palissades
Fraîchement repeintes de couleur sombre
Des mots de lutte et de ralliement?
Ils sont bien loin les camarades!
Leur musique militaire est de retour, la chemise brune au
gout du jour
Ils sont bien loin les camarades!
Le rouge vire au bleu marine et je dégueule leur doctrine!
Je les ai vu au Hellfest 2017. Il faisait une chaleur à crever et on étouffait sous la poussière, le tout dans l’ambiance MadMax de la Warzone. Un grand moment – à condition d’aimer le punk 😉
D’étonnante actualité :
Allez c’est pas une chanson mais ça donne la pêche 😀
Ou une belle rencontre relaxante ?
Ou encore un virtuose planant ?
Un autre disparu (en local) à la vista aiguisée :
Vous n’êtes pas seuls 🙂 Nous sommes des millions 🙂
Le nombril du nombre
Lionel Suarez / André Minvielle
Que sommes nous face au nombril du nombre
Que de la surface en sondages d’ ombre
Des statistiques et de l’ audimat
Des numéros d’ ordre , du p’tit personnel
Misère de concert , plus il y a de nombre
Et plus son crédit a de subventions.
Que sommes nous face au nombril du nombre
Des faces à faces en nombreux décombres
Pour la première fois , un et un Dieu
La spéculation boug’ de la raison
Si je ne m’abuses d’puis l’ docteur Mabuse
C’est en stocks-options qu’on fait du poison
Deux et deux vingt Dieu , c’est pour du pognon
Que M’sieur Tartempion presse son citron
Plus il y a d’jus , plus , ça se chiffre à plus
C’est qu’on va tous puces payer leurs astuces
Que sommes nous face au nombril du nombre
Nous sommes chacun face au péril du nombre
Qui se nomme en nombre
Déforestation, climatisation et inondations
On entend des voix du pareil au même
Chanter les louanges
De la table de…multiprivations
De la table des…localisations
Il était une fois trois et trois sans fois
Le docteur marteau qui fait son grand show
Du chiffre qui dit :
“J’ fais mon numéro de vox populi , c’est pour mon crédo
Je fait du profit , pas de p’tits profits
C’est pour ma survie sans philantropie
Que j’donn’ le tournis à tous mes amis “.
Que sommes nous face au nombril du nombre
Ou s’ arrêtera cette surenchère
On est comm’ des rats à deux pieds sous terre
On va se fair’ taire aprés nos “ hartères “
Le jour où le nombre sera seul à terre
Le jour où la terre sera seule au nombre
Que sommes nous face au nombril du nombre
Que de la surface en sondages d’ ombre
Que sommes nous face au nombril du nombre
Des faces à faces en nombreux décombres
Que sommes nous face au nombril du nombre
Nous sommes chacun face au péril du nombre
A c’qui nous fait face, au nombril du nombre
Qui fait que des chiffres dépassent des chiffres
Qui s’écrivent en lettres bien plus grand que l’être
Qui disent tout net qu’un jour la planète
S’arrêtera net
Toute seule au nombre.
Hello DJ Jorion,
quelle bonne idée !
je glisse sur la platine la plus belle interprétation (Madeleine Peyroux)
de la plus pertinente des chansons (Linton Kwesi Johnson)
au regard de l’actualité qui nous immobilise :
Well we marching out the old towards the new century
Armed with the new technology
We getting more and more productivity
Some say things looking up for prosperity
But if everyone is going to get a share this time
Old mentality must be left behind
(…)
We need More time
And we need it now
Ce n’est pas l’ambiance du carnaval de Dunkerque mais bon …
Concert for Bangladesh – 1971 – George Harrison – Ravi Shankar – Ringo Star – Eric Clapton – Leon Russell – Jim Horn – Bob Dylan – Billy Preston – Mick Jaggar – Keith Richard – Jerry Lieber – Mike Stoller – Pete Ham – Carl Radle – etc.
Bonne écoute à tous.
Swing, swing, swing !!!
Tina ! Oh Baby ! Un autre connaisseur !
Born to be WILD ! Yepa !
Gypsy Eyes
Voodoo child
On va quand même pas se laisser faire non ?
Même si l’heure est parfois à la désespérance
Attendu que la frime gouverne et fait sa loi
Même si les années dans lesquelles on s’avance
Ont la couleur du triste et du chacun pour soi
Même si le bonheur n’est plus une évidence
Mais semble s’éloigner à chacun de nos pas
Même si l’on me dit que c’est perdu d’avance
Que le monde est ainsi et qu’on n’a pas le choix
Je me bats
Même si maintenant c’est être en résistance
Et risquer d’être seul que d’élever la voix
Pour dire sans relâche l’incroyable arrogance
Des plus riches que tous, des maîtres d’ici-bas
Même si le normal, c’est l’infinie souffrance
Des enfants décharnés aux yeux vidés, sans joie
Même si le correct se nomme indifférence
Même s’ils parlent fort ceux qui baissent les bras
Je me bats
Je suis d’un temps d’espoir, d’un temps de délivrance
Où l’on osait rêver, et les peuples là-bas
Faisaient tomber leurs chaînes et brisaient le silence
Oh les jolis printemps au parfum de lilas
Devant nous se levaient des matins d’innocence
Plus jamais il n’y aurait d’humiliés, de parias
Plus jamais d’esclavage, et plus de violence
N’était-ce pas simplement raison, dites-moi?
Annonce
Je me bats
Aujourd’hui les passants sous les néons sinistres
Vont chacun dans leur bulle et pressent un peu le pas
Les voyous brassent l’or, les bornés sont ministres
Et l’on met chapeau bas devant les renégats
L’époque est au commerce l’époque est aux combines
L’homme n’est qu’un objet que la finance broie
Le futile et l’idiot remplissent les vitrines
Cependant qu’au lointain ricane l’argent roi
Je me bats
Avec mes pauvres mots, qui sont mes seules armes
Avec les sacrifiés, les vaincus d’autrefois
Tous ceux qui n’avaient rien que leur sang et leurs larmes
Les mineurs, les canuts, les pioupious, les sans-droits
Avec les femmes usées, petites sœurs de misère
Des bas quartiers de boue où se terrent les rats
Avec tous ceux d’ici qu’habite la colère
Avec les méprisés et ceux qui n’oublient pas
Je me bats
Si longtemps que j’aurai la force, qu’on le sache
De me tenir debout, de chanter, d’être là
Tant qu’il me restera une once de panache
Tant que dans mes veines un sang rouge coulera
Je me battrai encore et toujours et sans cesse
Pour saluer la vie qui palpite et qui bat
Et quand je m’en irai ce sera sans tristesse
Puisque d’autres viendront qui diront après moi
JE ME BATS
Michel Buhler
Au cas où, Damien Saez, « J’veux qu’on baise sur ma tombe »
Temps que j’y pense, une collègue et amie décédée récemment avait préparé une playlist pour ses obsèques. Nous avons eu droit à un ironique « Au suivant » de Brel.
Pour ne pas perdre le moral pour ceux qui vont devoir rester chez eux en raison du coronavirus, voici ce que propose Diario de Cuba pour ceux qui apprécient les rythmes cubains, Son, Bolero, etc..:
https://diariodecuba.com/cultura/1584191827_13868.html
Bonne écoute
Et la plus connue des chansons issue de Cuba: https://youtu.be/blUSVALW_Z4
Warning lights are flashing down at Quality Control
Somebody threw a spanner and they threw him in the hole
There’s rumors in the loading bay and anger in the town
Somebody blew the whistle and the walls came down
There’s a meeting in the boardroom they’re trying to trace the smell
There’s leaking in the washroom there’s a sneak in personnel
Somewhere in the corridors someone was heard to sneeze
‘goodness me could this be Industrial Disease?
The caretaker was crucified for sleeping at his post
They’re refusing to be pacified it’s him they blame the most
The watchdog’s got rabies the foreman’s got fleas
And everyone’s concerned about Industrial Disease
There’s panic on the switchboard tongues are ties in knots
Some come out in sympathy some come out in spots
Some blame the management some the employees
And everybody knows it’s the Industrial Disease
The work force is disgusted downs tools and walks
Innocence is injured experience just talks
Everyone seeks damages and everyone agrees
That these are ‘classic symptoms of a monetary squeeze’
On ITV and BBC they talk about the curse
Philosophy is useless theology is worse
History boils over there’s an economics freeze
Sociologists invent words that mean ‘Industrial Disease’
Doctor Parkinson declared ‘I’m not surprised to see you here
You’ve got smokers cough from smoking, brewer’s droop from drinking beer
I don’t know how you came to get the Betty Davis knees
But worst of all young man you’ve got Industrial Disease’
He wrote me a prescription he said ‘you are depressed
But I’m glad you came to see me to get this off your chest
Come back and see me later – next patient please
Send in another victim of Industrial Disease’
I go down to Speaker’s Corner I’m thunderstruck
They got free speech, tourists, police in trucks
Two men say they’re Jesus one of them must be wrong
There’s a protest singer singing a protest song – he says
‘they want to have a war to keep us on our knees
They want to have a war to keep their factories
They want to have a war to stop us buying Japanese
They want to have a war to stop Industrial Disease
They’re pointing out the enemy to keep you deaf and blind
They want to sap your energy incarcerate your mind
They give you Rule Brittania, gassy beer, page three
Two weeks in Espana and Sunday striptease’
Meanwhile the first Jesus says ‘I’d cure it soon
Abolish Monday mornings and Friday afternoons’
The other one’s on a hunger strike he’s dying by degrees
How come Jesus gets Industrial Disease
L’état des lieux de ces derniers jours :
Et pour ce qui nous attend:
Et ensuite, pour Paul et les autres qui connaissent le néérlandais :
Et pour ceux qui préfèrent ne comprennent pas, voici une alternative anglaise :
Je me méfie de lui comme de la peste ! 😉
Le non-soi Mr Tata vous n’en faites preuve qu’un commentaire sur trois! A ce rythme là Satan a encore de…
Prompt : Donnez les erreurs de Harris et des démocrates qui ont amené à la défaite GPT: La défaite de…
C’est vrai que la promotion canapé de Kamala comparée à Mister orange mécanique qui attrappe les femmes par où il…
« Sommes nous en train de devenir servilement les nouveaux serfs du technoféodalisme ? » Demandes à ton smartphone!! 😎
Que le prisme choisi soit celui de la colère ou un autre, vous trouverez toujours et partout la même idée…
04 novembre 2014 https://www.leparisien.fr/international/etats-unis/jai-confiance-en-ma-prediction-pour-le-nostradamus-des-elections-americaines-the-winner-is-04-11-2024-RZPJNIGZZNFMDKVSNSDAIDLJSM.php « J’ai confiance en ma prédiction » : pour le Nostradamus des élections américaines, the winner…
Après analyse de ces deux photos, on pourrait dire que notre cerveau ressemble plus à l’univers* que l’univers ne ressemble…
A mettre dans le panier de réflexions ! 😉 https://www.youtube.com/watch?v=x6tMLAjPVyo
@Pascal Le servage a été remplacé par le salariat, les entreprises comme les fiefs sont vendues et échangées avec leurs…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
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