Les obligations se vendent à la pelle, non pas parce qu’elles ne sont pas une denrée précieuse, qu’il serait judicieux…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
*Godot est mort !*
Les obligations se vendent à la pelle, non pas parce qu’elles ne sont pas une denrée précieuse, qu’il serait judicieux…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
Sujet sur lequel on risque toujours de toucher le fonds (monétaire international, s’entend).
que Chomsky ait serré la patoune à Epstein n’est pas plus choquant ni moins choquant que de voir au niveau…
G A Z A …. le son et les images horribles que le monde entier regarde… MAIS que les FRANCAIS…
“La tournure de la phrase laisse penser …” Non, l’anaphore est cohérente tout au long de la phrase : le…
Parfois M Jorion, je ne comprends pas le fil de votre pensée : comment glissez-vous de « je n’ai pas rencontré…
« Quand la journaliste lui a demandé s’il savait que le personnage avait déjà été condamné à l’époque pour délits d’ordre…
La scientifique dit que les prévisions sont que le débit d’Amoc pourrait passer de 18Mm3 actuellement à 12 d’ici 2100…
🌍 Une nouvelle ère glaciaire en Europe ? Faux espoir, vraie menace L’Europe s’apprête-t-elle à entrer dans une nouvelle ère…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
4 réponses à “Hémorragie sur le marché obligataire”
Et les centaines de milliards promis par les gouvernement vont couter d’autant plus cher !
Le risque systémique que vous avez très longtemps évoqué n’est-il pas de retour ? (mais avait-il réellement disparu).
Il ne vient pas d’où on aurait pu le penser ! Dans une crise financière les états réagissent et soutiennent l’économie. Aujourd’hui l’état enfin nos impôts doivent soutenir les entreprises mais aussi les particuliers alors que la production de richesse a été mis a l’arrêt pour endiguer cette crise sanitaire. Comment fait-on ?
Est-ce que 3% du capital immobilier ne suffit pas « in vitro » aux subsistances de tout le monde ?
En gros, la fortune privée représente qqs années de PIB, disons 10 (rendement à 5% cf Piketty au XIXème siècle donnerait 20 ans, mais c’est « grévé » par le travail), et la subsistance pour la population pour 3 mois, c’est max 10% du PIB (le « nourri logé blanchi », avec entretien eau, énergie, agro-alimentaires, santé de base, rien de plus). Donc sur le papier, ces 10% sur 3 mois à « bridger » sont 2,5% du PIB. Donc moins de 1% de la fortune immobilière.
Compte tenu de dégâts et nombreuses imperfections dans ce transfert, je colle un facteur 4 ou 5, et mon estimation au doigt très mouillé donne les 3%.
Si ce n’est pas cela, c’est qu’il y a beaucoup de nonlinéarité, de chaines éco-financières détruites, etc., de plans sur le futurs remis en cause (ne serait-ce que les vacances d’été que les systèmes éducatifs vont raccourcir d’un mois sans doute).
Coronavirus : Bruno Le Maire n’exclut pas des nationalisations – Le ministre français de l’économie et des finances est prêt à voler au secours des grandes entreprises du CAC 40 malmenées en Bourse. – lemonde.fr ce 18 mars
J’ai peut-être mauvais esprit (ou au contraire le pressentiment que c’est pas forcément aussi simple que ça) mais ne s’agirait-il pas d’indemniser les actionnaires avant de reprivatiser les mêmes entreprises au cas où la conjoncture se redresserait?