En 2016, j’avais écrit dans Le dernier qui s’en va éteint la lumière : « Pensez-y, dirigeants d’entreprises : plus de profit sur une planète morte ».
Merci, j’avais peur vu ma solitude, d’être dans un mauvais jour… La clef de voute, certainement, pour moi, le fascisme…
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