Un souvenir de Neil Diamond

Je m’étais arrêté un soir à Oceanside sur la côte californienne, dans un restaurant balnéaire qui se trouvait avoir petit orchestre et toute petite chanteuse extrême-orientale. Et ce qui était tout à fait remarquable, c’est qu’elle ne chantait que des chansons du répertoire de Neil Diamond, et qu’au lieu de les « interpréter », elle les reproduisait à l’identique et à la perfection.

Bien entendu, chaque fois que j’entends une chanson de ce bon faiseur, me revient en mémoire la voix qui émergeait de ce corps minuscule de femme asiatique.

Apparemment, les femmes aiment bien chanter Neil Diamond (il faut dire qu’il parle d’elles en termes flatteurs) :

P.S. Le nom historique (mais post-colombien) de « Oceanside » est « San Luis Rey », dont j’ai la faiblesse de considérer que cela a davantage de gueule.

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Une réponse à “Un souvenir de Neil Diamond

  1. Avatar de François M
    François M

    Effectivement, San Luis Rey est bien plus joli.

    Bon, tout cela m’a donné envie d’aller revoir Pulp Fiction du coup.

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