Blog de Paul Jorion

15 réponses à “Très tendance, il y a quelque temps”

1. 

   Garorock

   17 août 2022 23h48

   https://www.youtube.com/watch?v=AnkuwfLDsP8
   Vivement une nouvelle crise des subprimes!

   Répondre
   1. 

      Hervey

      18 août 2022 18h38

      Nouriel Roubini ?

      https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-planete-fonce-vers-une-grave-crise-financiere-et-de-la-dette-avertit-un-celebre-economiste-1442536?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2pteFi3HnFuuvRW86frNOB7BRcdvQBW5H8k5Z71PV2VhlaI_a0HPRCOfU#Echobox=1660707457

      Répondre
      1. 

         CloClo

         18 août 2022 19h09

         Avec un nom pareil me suis toujours demandé si il n’était en fait plutôt magicien, ou chiromancien !

         Ce soir sur Capital.fr, le grand, l’unique, le merveilleux, l’extraordinaire, j’ai nommééééééééé : NOURiEL ROUBINI sous vos applaudissements mesdames et messieurs.

         Répondre
         1. 

            gaston

            18 août 2022 19h19

            Une confusion avec Harry Houdini ???😉

            Répondre
      2. 

         gaston

         18 août 2022 19h15

         Du côté de la Chine la situation ne paraît pas très saine non plus :

         https://korii.slate.fr/biz/chine-nouvelles-routes-soie-minees-prets-pourris-crise-dette-emprunts-renegocies-solvabilite

         Répondre
2. 

   Khanard

   18 août 2022 9h29

   j’avoue ne pas comprendre le message .

   Répondre
   1. 

      PHILGILL

      19 août 2022 8h54

      Jiddu Krishnamurti : “Si l’on n’a pas le cœur qui chante, la vie devient très terne.”
      Or, je trouve que ce qu’il y a de commun entre ces trois clips musicaux, c’est que, paradoxalement, alors qu’ils chantent et/ou dansent, leurs visages restent ternes (« trois fois »), et que leurs corps semblent évoluer dans un monde où tout reste figé autour d’eux… 😶
      Why ?

      Répondre
      1. 

         Khanard

         19 août 2022 10h14

         @Philgill merci

         oui effectivement une sorte d’impassibilité dans les têtes et le monde qui nous entoure alors que tout autour s’effondre . Mais cela reste une interprétation .
         Je serai tout de même curieux de connaître les motivations de PJ . Allez ! Ne soyez pas timide !

         Répondre
         1. 

            PHILGILL

            21 août 2022 9h40

            En voilà une au moins, qui n’a pas perdu le sens de la fête. https://youtu.be/xFXgNMTgqMQ

            Répondre
   2. 

      PASQUET Régis

      19 août 2022 9h52

      Ce que je comprends :
       » La pensée citadine  » a tout envahi. Les plus jeunes d’entre nous qui ne savent plus ce que nature veut dire ont imposé leur mode de réflexion, leur imagination, leurs objets dans un monde de béton, d’asphalte et d’acier. Les déserts sont à nos portes et les armées dont les budgets explosent ne défendront bientôt plus que des cauchemars. Le passé et l’avenir capitalistes n’existent plus, seul un air- présent donne encore à quelques humains l’illusion d’exister.
      Plus rien n’a plus de sens, vous avez raison. Plus rien, mais ne faut-il pas vivre malgré tout ?

      Répondre
      1. 

         naroic

         20 août 2022 0h43

         « mais ne faut-il pas vivre malgré tout ? » – non il ne faut pas, la vie n’est pas choix, une situation, un temps donné et une conscience par hasard engendrée mais qui peut refuser et retourner là où elle peut s’oublier.

         Répondre
         1. 

            PASQUET Régis

            20 août 2022 18h15

            Vous croyez ?

            Répondre
3. 

   francis

   18 août 2022 19h21

   djonatane et djénifer les justiciers milliardaires

   Répondre
4. 

   Aulivier

   19 août 2022 1h51

   1 milliard de vues pour 2 types accompagnés de chiens loups qui chantent avec des lance flamme sur des tanks .

   C’est dans Grizzly Man que Werner Herzog affirme que le dénominateur commun dans l’univers est le chaos, l’hostilité et le meurtre.

   Répondre
5. 

   un lecteur

   21 août 2022 19h51

   Ils ont fait un carton sur Youtube en chantant l’impasse de la possession de l’autre et des choses. Une couche de covid-19, une guerre et une récession plus tard, il est peut-être temps d’ouvrir les yeux.
   Plutôt que d’imaginer les justifications d’une hypothétique psychohistoire, l’analyse des « like » des chansons en vogue pourrait indiquer le degré de bonheurs de la population.

   Répondre

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.