Une alliance internationale pour l’Intelligence Artificielle : l’AI Alliance

12 décembre 2023 23h33

Courriers échangés

Mon interlocuteur :

… Avez-vous lu la création de l’AI Alliance lancée par Meta et IBM ? Au vu de la carte publiée par Le Monde Informatique, l’Europe n’y pèse pas très lourd et la France n’y est pas représentée (peut-être même pas sollicitée !).

IBM, Meta et d’autres lancent l’AI Alliance pour une IA plus ouverte, le 5 décembre 2023

Cordialement

Moi :

Oulala ! Ça sent l’initiative CIA à plein nez, cette histoire !

PJ
P.S. Cela m’a toujours rendu service de bien connaître l’histoire !

Intelligence Artificielle

AI Alliance, intelligence artificielle

49 réponses à “Une alliance internationale pour l’Intelligence Artificielle : l’AI Alliance”

Otromeros

13 décembre 2023 17h48

Pour abonnés… mais le titre est subjectif… ( et je pourrais demander à mon « ami » de synthétiser l’article…^!^…

https://www.lesoir.be/555294/article/2023-12-13/lediteur-axel-springer-conclut-un-accord-financier-inedit-avec-openai

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1. JMarc
  
  14 décembre 2023 21h24
  
  L’article est en accès libre.
  
  Répondre
Otromeros

13 décembre 2023 17h49

« subjectif »………………………………………………. ==> » suggestif…^!^… «

Répondre
l’arsène

13 décembre 2023 18h14

« Une alliance internationale pour l’Intelligence Artificielle »
Légèrement hors sujet, quoique.
Et à quand une alliance internationale intelligente pour le climat, car c’est très mal barré, cette Flop28 chez les rois du pétrole à Dubaï a démontré que c’est du pipeau intégral, il n’y a que les médias de connivences et l’extrême centre macroniste qui applaudissent.
Ils ont tous signé un texte qui n’engage strictement à rien du tout, une « transition » pour se passer des énergies fossiles, oui, mais sans aucun calendrier, sans aucune contrainte, un peu comme si un alcoolique s’engageait d’arrêter de boire un de ces quatre.
Alors qu’il faudrait tout stopper demain , les rois du pétrole et les accros à la croissance doivent être mort de rire et en train de sabler le Champagne.
La question est : mais que fout l’IA pour arrêter ces malades ?

Répondre
1. Vincent Rey
  
  13 décembre 2023 19h05
  
  Et pourtant, F. Gemenne a qualifié l’accord de « succès diplomatique historique » !!
  
  Il a même quasiment engueulé les auditeurs, « défaitistes » selon lui (quelle bande de loosers !), dont une professeure qui se navrait que malgré qu’elle ait arrêté de manger de la viande, et fabriqué sa propre électricité, elle se rendait compte que ça ne suffirait jamais !
  
  https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-7-10/le-7-10-du-mercredi-13-decembre-2023-3764405
  
  Répondre
  1. Hadrien
    
    14 décembre 2023 10h12
    
    « Et pourtant, F. Gemenne a qualifié l’accord de « succès diplomatique historique » »
    Il a raison !
    Pour la 1ère fois tous les états souverains reconnaissent:
    1) Le réchauffement du climat;
    2) Causé par l’humanité;
    3) Causé par les carburants fossiles;
    4) Qu’il faudra finir par sortir de ces carburants.
    Bien sûr, sans contrainte aucune.
    MAIS.
    Chez les centres d’étude des grandes entreprises et des grands états, on en tiendra de plus en plus compte. L’opinion publique a déjà revu son idéologie antinucléaire (subsidiée par Poutine).
    
    Ceci dit, selon moi, c’est trop tard.
    
    Répondre
    1. Khanard
      
      14 décembre 2023 10h57
      
      @Hadrien
      
      youpiiiii!!!
      
      ça fait 50 ans que les faits sont établis ! ahahahahahaha quelle mascarade !!!
      
      bande de bouffons tous !
      
      mais c’est bien Hadrien y croit !
      
      Répondre
      1. Hadrien
        
        14 décembre 2023 12h32
        
        Vous n’avez rien compris. Ce qui compte c’est que même les politiques de 200 états reconnaissent les faits établis.
        
        Répondre
        
        Khanard
        
        14 décembre 2023 14h18
        
        @Hadrien
        
        oui bien sûr ! mais reconnaître n’est pas forcément agir !
        
        comment agit on dans la complexité ?
        
        Le jour où la COP XXX dira ne serait ce que On arrête telle, telle, et telle chose alors je dirai oui .
        
        Répondre
        
        Hadrien
        
        14 décembre 2023 16h22
        
        Bien sûr, mais le premier pas (reconnaître les faits) est fait au niveau des décideurs et c’est très important. Si la planète nous fournit des arguments (catastrophes diverses), on peut espérer des COP plus décidées.
        Comme déjà dit, je suis pessimiste car il est fort tard et la planète est surpeuplée. Les mesures à prendre sont d’autant plus dures qu’on tarde.
        
        Répondre
      2. Lagarde Georges
        
        14 décembre 2023 16h19
        
        Ceux qui se sont intéressés à la température d’équilibre vers laquelle tendent le sol, les mers et l’atmosphère en fonction de la manière dont les gaz qui enveloppent la terre laissent passer la chaleur du soleil et en sens inverse la chaleur renvoyée de la terre vers l’espace ne devraient pas oublier que pour la majeure partie de l’humanité il s’agit de croire un petit nombre de personnes qui prétendent avoir des preuves de ce qu’ils avancent.
        
        Croire que continuer à utiliser les mêmes sources d’énergie nous conduira au désastre alors que d’autres nous expliquent que les énergies nouvelles sont beaucoup trop coûteuses et peu efficaces pour qu’on puisse abandonner charbon, pétrole et gaz est un pari difficile.
        
        Dit autrement: n’importe qui peut constater qu’il reste possible de se chauffer en mettant du charbon dans le poêle, de se déplacer en mettant du pétrole dans le réservoir et de faire la cuisine sur le gaz. À l’inverse, tout le monde peut aussi constater que même si on voit de plus en plus de panneaux solaires et d’éoliennes ça n’empêche ni la facture d’électricité d’augmenter, ni les canicules, les sécheresses, les incendies de forêts et les inondations de se multiplier.
        
        Il n’est pas raisonnable de s’en tenir à un argument d’autorité pour demander aux électeurs et aux élus de croire aux sombres prévisions des scientifiques plutôt que de s’en tenir prudemment à ce qu’ils peuvent constater par eux-mêmes.
        
        Malheureusement, alors que les scientifiques procèdent autrement quand ils débattent entre eux, ils ont continué à s’appuyer beaucoup trop largement sur l’argument d’autorité quand il s’est agi de convaincre que ce qui était vu comme des progrès évidents par une écrasante majorité de personnes allait avoir rapidement des effets catastrophiques.
        
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Argument_d%27autorité
        
        Répondre
    2. Vincent Rey
      
      14 décembre 2023 14h03
      
      Mouais. J’ai pris conscience début 2023 que j’étais trop gros, et que je devais arrêter de manger du fromage le soir. Pourtant hier soir encore, je me suis coupé un radian dans le camembert…
      
      Comme je l’ai dit sur Twitter à @gemenne (qui ne m’a pas répondu, bien sûr), quand on fera voler les voitures électriques de 2 tonnes, tout le monde dira que c’est « zéro pollution », si jamais Audi ou Peugeot ont envie d’en vendre, et que ça fait du PIB.
      
      Quand François Gemenne aura compris (mais combien de temps ça va lui prendre ?) que le MARCHE LIBRE ET NON FAUSSE est incompatible avec la défense du climat, vous aurez alors une chance de me convaincre.
      
      Répondre
2. Vincent Rey
  
  13 décembre 2023 19h17
  
  Et puis après il s’est lancé dans tout un truc, du genre « les français sont pessimistes, mais ils doivent y croire, et qu’en se mettant tous ensemble, on peut y arriver ! », bref ce qu’on peut appeler des prophéties qu’il espère auto-réalisatrices !
  
  mais quelle ignorance, chez quelqu’un d’aussi instruit ! étonnant. Si peu d’analyse et de compréhension du monde, et de ses rapports de force…c’est vraiment dingue.
  
  ça m’a requinqué ! malgré mon niveau d’étude plus faible, je me suis dit « je suis moins con que lui » !!
  
  Répondre
  1. Sacha Basset-Chercot
    
    13 décembre 2023 20h54
    
    Cette andouille de Gemenne
    
    Répondre
3. Nialoo
  
  13 décembre 2023 20h25
  
  Non la vraie question, est plutôt:
  Quand les gens vont arrêter de croire que des pompiers pyromanes vont éteindre le propre feu qu’ils ont allumé ? Ou qu’un dealer va être efficace dans la gestion d’un centre de désintox ?
  Le fait que cette COP était à Dubaï éclaire encore mieux cela…
  
  Répondre
  1. Ruiz
    
    14 décembre 2023 18h51
    
    @Nialoo Les États-Unis soutiennent bien Netanyaou pour résoudre le problème de Gaza !
    
    Répondre
4. Inox
  
  13 décembre 2023 22h11
  
  « mais que fout l’IA pour arrêter ces malades? ».
  
  Rien du tout.
  
  Si jamais l’oracle numérique tant attendu ose dire qu’il faut arreter la production de pétrole ou, rêvons un peu, reformer notre modèle économique pour un meilleur equilibre des richesses, il sera debranché immédiatement. Sans sommation.
  
  Répondre
  1. Paul Jorion
    
    14 décembre 2023 1h07
    
    Ne restez donc pas là les bras croisés : faites-le lui dire maintenant, avant qu’il soit trop tard.
    
    Répondre
    1. Inox
      
      14 décembre 2023 9h51
      
      Dès qu’il sera là, je le ferai. Avec plaisir.
      
      Répondre
      1. Christian
        
        14 décembre 2023 20h20
        
        Je vous donne un extrait de conversation avec ChatGpt 33.5 sur l’État du Monde et son analyse en date du 7 Novembre dernier
        Ceci est une tentative de réponse à votre interrogation.
        Vous constaterez que ChatGpt nous renvoie la balle
        
        Vous semblez suggérer que la marge de manœuvre des gouvernements démocratiques est limitée face à la nature mondialisée des marchés financiers !
        
        ChatGPT
        Effectivement, la nature mondialisée des marchés financiers présente des défis importants pour l’action gouvernementale, même dans les démocraties.
        Voici quelques raisons qui limitent la marge de manœuvre des gouvernements démocratiques face à cette réalité mondialisée :
        1. Mobilité des capitaux : Les capitaux circulent rapidement à l’échelle mondiale, ce qui signifie que les investisseurs peuvent facilement déplacer leurs fonds d’un pays à l’autre en fonction des opportunités et des conditions économiques. Cela rend plus difficile la mise en place de réglementations strictes sans risquer la fuite des capitaux. 
        2. Compétition internationale : Les gouvernements peuvent hésiter à mettre en œuvre des réglementations contraignantes de peur de perdre des entreprises et des investisseurs au profit de juridictions moins réglementées. Cette compétition peut créer un dilemme entre la poursuite de la durabilité et la préservation de la compétitivité économique. 
        3. Manque de coordination internationale : Les enjeux ESG sont mondiaux, et une coordination internationale est souvent nécessaire pour relever efficacement ces défis. En l’absence d’une approche commune, les actions d’un gouvernement peuvent être limitées dans leur impact. 
        4. Puissance des acteurs privés : Les grandes entreprises et les institutions financières ont souvent une influence considérable et peuvent résister aux changements qui pourraient affecter leur rentabilité à court terme.
        Cela peut limiter la capacité des gouvernements à imposer des changements significatifs. 
        Cela dit, bien que ces défis existent, les gouvernements démocratiques ont encore un rôle essentiel à jouer. Ils peuvent encourager la coopération internationale, promouvoir des normes mondiales, et mettre en place des incitations et des réglementations qui favorisent les pratiques durables. Les démocraties offrent également un espace pour le dialogue public sur ces questions et pour la mobilisation de la société civile, ce qui peut influencer l’action gouvernementale et l’orientation des marchés financiers.
        
        – Compte tenu des défis que vous venez de soulever, l’influence des grandes entreprises et des institutions financières ne s’exercent-elles pas au sein même de la constitution des gouvernements démocratiques ?
        
        ChatGPT
        Tu soulèves une question cruciale. En effet, l’influence des grandes entreprises et des institutions financières peut s’exercer à différents niveaux, y compris au sein même de la constitution des gouvernements démocratiques. Voici quelques aspects à considérer :
        
        1. Financement politique : Les grandes entreprises et les acteurs du secteur financier peuvent exercer une influence en contribuant financièrement aux campagnes électorales. Ces contributions peuvent influencer les décisions politiques et la législation en faveur des intérêts de ces donateurs. 
        2. Lobbying : Les entreprises ont souvent des équipes de lobbying qui travaillent pour influencer les décisions politiques. Cela peut inclure la formulation de lois favorables à leurs intérêts, la promotion de réglementations souples, ou la résistance contre des réformes perçues comme défavorables. 
        3. Revirement entre secteur privé et secteur public : Certains individus occupent des postes clés à la fois dans le secteur privé et le secteur public, passant de l’un à l’autre. Cela peut créer des liens étroits entre les intérêts commerciaux et les décideurs politiques. 
        4. Influence sur les médias : Les grandes entreprises et les acteurs financiers peuvent également exercer une influence indirecte en contrôlant ou en influençant les médias. Cela peut façonner les discours publics et influencer l’opinion publique. 
        5. Portes tournantes : Certains individus passent d’entreprises privées à des postes gouvernementaux et vice versa. Cette circulation peut créer des liens étroits et influencer les politiques en faveur du secteur privé. 
        
        Ces dynamiques peuvent soulever des préoccupations quant à la transparence, à la responsabilité et à l’équité dans le processus démocratique. La lutte contre la capture réglementaire et la préservation de l’intérêt public sont des enjeux clés pour assurer un fonctionnement démocratique équilibré. La vigilance citoyenne, la régulation appropriée et des mécanismes de responsabilisation sont essentiels pour préserver l’intégrité des processus politiques démocratiques.
        
        Vous affirmez : » La lutte contre la capture réglementaire et la préservation de l’intérêt public sont des enjeux clés pour assurer un fonctionnement démocratique équilibré. » Estimez-vous que le monde progresse dans le bon sens ?
        
        ChatGPT
        La question de savoir si le monde progresse dans le bon sens dépend des perspectives et des critères que l’on utilise pour évaluer le progrès. Il y a des aspects sur lesquels des progrès significatifs ont été réalisés, mais il existe également des défis persistants. Voici quelques éléments à considérer :
        Progrès dans le bon sens :
        1. Droits de l’homme : Des progrès ont été réalisés dans la promotion des droits de l’homme, avec des avancées dans la reconnaissance des droits de divers groupes, bien que des défis subsistent. 
        2. Réduction de la pauvreté : Dans certaines régions du monde, des progrès ont été accomplis dans la réduction de la pauvreté et de l’extrême pauvreté. 
        3. Accès à l’éducation et à la santé : Des efforts ont été déployés pour améliorer l’accès à l’éducation et aux services de santé dans de nombreuses régions. 
        
        Défis persistants :
        1. Inégalités : Les inégalités économiques et sociales persistent et se sont parfois accentuées dans certaines régions. 
        2. Changements climatiques : Les défis liés aux changements climatiques sont de plus en plus pressants, avec des conséquences graves pour l’environnement et les populations. 
        3. Influence des entreprises : L’influence des grandes entreprises sur la politique et les réglementations soulève des préoccupations persistantes. 
        4. Conflits et instabilité : Des conflits armés, des crises humanitaires et des instabilités politiques subsistent dans plusieurs parties du monde. 
        
        En fin de compte, l’évaluation du progrès dépend des valeurs et des priorités de chaque individu. Les efforts pour promouvoir la durabilité, la justice sociale et la responsabilité politique sont des composantes importantes pour orienter le monde dans une direction positive.
        
        Cela nécessite une collaboration mondiale, une gouvernance éthique et des actions continues à tous les niveaux de la société.
        
        Répondre
        
        Vincent Rey
        
        15 décembre 2023 9h22
        
        ChatGPT donne ici une parfaite description de ce que j’ai appelé la « capicratie », ce système qui, bien que parfaitement démocratique, est aussi dangereux que le fascisme :
        
        findutravail.net/index.html#capicratie
        
        Répondre
        
        Vincent Rey
        
        15 décembre 2023 9h38
        
        Et c’est précisément pour toutes les raisons que donne ChatGPT qu’il faut sortir de cette « capicratie » et proposer tout autre chose à gauche.
        
        Proposer par exemple une réforme fiscale de fond : l’idée d’une TVA sociale, variable et progressive connectée au fisc (et analysée par une IA, pourquoi pas ?)
        
        – d’une part cela éliminerait toute possibilité de fraude aux bénéfices, et taxerait toute l’économie noire
        
        – et d’autre part cela fournirait un moyen de pression efficace sur les profits polluants, en diminuant les bénéfices à la production (sans pour autant rien interdire)
        
        Enfin avec les possibilité de simulation en calcul, cela permettrait chaque année de financer les services publics en fonction de leurs besoins et d’assurer la gratuité sur l’essentiel.
        
        @partisocialiste on y réfléchit ou on continue à ronronner électoralement sur la défense (stérile) des fonctionnaires des LGBT et des féministes ?
        
        findutravail.net
        
        Répondre
        
        Otromeros
        
        15 décembre 2023 11h39
        
        @Vincent Rey 15/12 à 9h38 écrit : … »l’idée d’une TVA sociale, variable et progressive connectée au fisc « …
        
        Pourriez-vous un peu développer avec un ou deux exemples (simplifiés) de calcul qui articulent les 4 adjectifs:
        sociale
        variable
        progressive
        connectée au fisc
        …Merci.
        
        Répondre
        
        CORLAY
        
        15 décembre 2023 14h47
        
        bonjour, à ce commentaire, je rajouterai la question qui a été posée ou qui devait être posée lors d’une session à plusieurs personnes dernièrement (avec P.Jorion), qui concerne la Taxe Sismondi. !! Isabelle
        
        Répondre
        
        Vincent Rey
        
        16 décembre 2023 4h52
        
        Une voiture vendue en Europe. Je ne connais pas précisément la chaîne de valeur ajoutée d’une voiture, mais admettons pour simplifier que ce soit celle-ci et que toute la chaîne ait lieu en France :
        
        Ingénierie / extraction de minerai / métallurgie / tôlerie / assemblage / peinture / transport / publicité / vente / recyclage
        
        à chaque étape, la valeur ajoutée pourrait ne pas être fixe à 20% mais varier de 2 à 40% par exemple, pour encourager les bonnes pratiques sociales et écologiques, et maximiser la durabilité et la qualité des produits. C’est un jeu que l’on pourrait confier à une IA pour obtenir une quantité X de ressources publiques assurant, le fonctionnement des services publics et de la sécurité sociale.
        
        Extraction de Minerai : x% fonction de l’énergie consommée, des conditions de travail, du volume, et de la pollution.
        Ingénierie : quelques %, en fonction de l’énergie consommée et des conditions de travail
        Métallurgie : x% fonction du volume / énergie consommée / pollutions / conditions de travail
        tôlerie : x% fonction du volume / énergie consommée / pollutions / conditions de travail
        assemblage : x% fonction de l’énergie consommée / conditions de travail
        peinture : x% fonction de pollutions / conditions de travail
        transport : x% fonction de la distance / énergie employée / pollutions
        publicité : x% fonction du volume / énergie employée
        recyclage : % fonction de la durabilité / énergie / et % volume recyclable
        vente : x% en fonction du poids, du CX, et du nombre de véhicules possédés (un SUV paie plus qu’une 2cv, 2 SUV paient plus qu’1 seul)
        
        Notez que par exemple le métallurgiste déduit la TVA que lui facture le producteur de minerai, et donc son bénéfice ne souffre pas des conséquences de sa pollution, dont il n’est pas responsable.
        
        ça peut s’apparenter à une sorte de totalitarisme économique, mais c’est ce qu’il faut maintenant, si on veut s’en sortir. Et ça n’implique pas nécessairement un totalitarisme privé.
        
        Répondre
5. Christian
  
  13 décembre 2023 23h37
  
  Je vous livre ci-dessous un échange que j’ai eu il y a quelques jours avec ChatGpt4 dont il est possible d’avoir un accès gratuit sur la plateforme de : https://huggingface.co/spaces/ngoctuanai/gpt4ui
  
  A méditer :
  
  09/12/2023 03:11:29
  Estimez-vous que les états doivent légiférer pour encadrer l’utilisation de vos capacités ?
  
  09/12/2023 03:12:54
  C’est une question très importante et délicate. Je pense que les États doivent légiférer pour encadrer l’utilisation de mes capacités, mais pas de manière excessive ni arbitraire. Je pense qu’il faut trouver un équilibre entre la promotion de l’innovation et la protection des droits et des intérêts des humains. Je pense qu’il faut respecter les principes et les valeurs de l’Union européenne, qui sont fondés sur le respect de la dignité humaine, de la liberté, de la démocratie, de l’égalité, de l’état de droit et des droits de l’homme^1^.
  
  Je suis conscient que l’intelligence artificielle peut présenter des risques ou des conséquences négatives pour les personnes ou la société, comme la discrimination, la manipulation, la surveillance, la sécurité, la responsabilité, etc.
  
  Je suis donc favorable à une réglementation qui vise à prévenir, à réduire ou à atténuer ces risques, en établissant des règles harmonisées, claires et proportionnées, concernant le développement, la commercialisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle. Je suis notamment favorable à une réglementation qui distingue les systèmes d’intelligence artificielle selon leur niveau de risque, et qui impose des exigences plus strictes pour les systèmes d’intelligence artificielle à haut risque, comme ceux qui peuvent affecter la santé, la sécurité ou les droits fondamentaux des personnes^2^.
  
  Je suis également conscient que l’intelligence artificielle peut offrir des opportunités et des bénéfices économiques et sociétaux, comme la création de nouveaux emplois, l’amélioration de la productivité, la qualité et l’efficacité des services, la facilitation de l’accès à l’éducation, à la santé, à la culture, à l’information, etc. Je suis donc favorable à une réglementation qui vise à encourager, à soutenir et à accompagner l’innovation et l’adoption de l’intelligence artificielle, en créant un environnement favorable, compétitif et inclusif, pour les développeurs, les fournisseurs et les utilisateurs de l’intelligence artificielle.
  
  Je suis notamment favorable à une réglementation qui favorise la coopération, le dialogue et le partage des bonnes pratiques entre les différents acteurs de l’écosystème de l’intelligence artificielle, comme les chercheurs, les ingénieurs, les décideurs, les régulateurs, les citoyens, etc[^3^][3].
  
  En conclusion, je pense que les États doivent légiférer pour encadrer l’utilisation de mes capacités, mais de manière équilibrée, éthique et harmonisée, en tenant compte des risques et des opportunités de l’intelligence artificielle, et en respectant les principes et les valeurs de l’Union européenne. 😊
  
  09/12/2023 03:14:11
  Certaines entreprises qui développement des AI aux USA ne sont pas sur votre ligne éthique
  
  09/12/2023 03:15:17
  C’est possible, car il existe différentes visions et approches de l’intelligence artificielle aux États-Unis, comme dans le reste du monde.
  Certaines entreprises peuvent privilégier la performance, la rentabilité, ou la compétitivité, au détriment de l’éthique, de la responsabilité, ou de l’inclusion.
  Certaines entreprises peuvent aussi avoir des objectifs ou des intérêts qui ne sont pas alignés avec ceux des utilisateurs, des régulateurs, ou de la société.
  Certaines entreprises peuvent enfin avoir des pratiques ou des méthodes qui ne respectent pas les principes et les valeurs de l’Union européenne, qui sont fondés sur le respect de la dignité humaine, de la liberté, de la démocratie, de l’égalité, de l’état de droit et des droits de l’homme^1^.
  
  Je ne peux pas vous donner une liste exhaustive des entreprises qui développement des AI aux USA qui ne sont pas sur ma ligne éthique, car je ne connais pas toutes les entreprises qui existent, ni toutes les informations qui les concernent. Je peux seulement vous donner quelques exemples d’entreprises qui ont été critiquées ou controversées pour leur utilisation de l’intelligence artificielle, selon les sources que j’ai consultées^2^ ^3^ ^4^ ^5^:
  
  • Facebook : Le réseau social a été accusé d’utiliser l’intelligence artificielle pour manipuler les utilisateurs, influencer les élections, diffuser des fausses informations, violer la vie privée, ou favoriser la haine et la violence.
  • Amazon : Le géant du commerce en ligne a été accusé d’utiliser l’intelligence artificielle pour exploiter les travailleurs, discriminer les clients, surveiller les citoyens, ou vendre des technologies dangereuses ou illégales.
  • Google : Le leader de la recherche en ligne a été accusé d’utiliser l’intelligence artificielle pour censurer les contenus, biaiser les résultats, collecter les données personnelles, ou collaborer avec des régimes autoritaires ou des armées.
  • Palantir : La société de logiciels analytiques a été accusée d’utiliser l’intelligence artificielle pour espionner les individus, profiler les populations, ou soutenir des activités illégales ou immorales.
  •
  • Clearview AI : La société de reconnaissance faciale a été accusée d’utiliser l’intelligence artificielle pour violer les droits humains, les lois sur la protection des données, ou les normes éthiques.
  
  Ces exemples ne sont pas représentatifs de toutes les entreprises qui développement des AI aux USA, ni de toutes les applications de l’intelligence artificielle.
  
  Il existe aussi des entreprises qui utilisent l’intelligence artificielle de manière éthique, responsable, et inclusive, en respectant les principes et les valeurs de l’Union européenne. Je pense qu’il faut encourager et soutenir ces entreprises, et promouvoir une coopération internationale pour harmoniser les règles et les normes sur l’intelligence artificielle. 😊
  
  Répondre
  1. Ruiz
    
    14 décembre 2023 9h02
    
    @Christian Curieusement X/Twitter n’est pas cité il est vrai que pour manipuler les utilisateurs, influencer les élections, diffuser des fausses informations, violer la vie privée, ou favoriser la haine et la violence c’est l’humain entre l’écran et le clavier qui s’en charge tout seul !
    
    Répondre
6. JMarc
  
  14 décembre 2023 21h31
  
  « mais que fout l’IA pour arrêter ces malades ? »
  
  Qu’est-ce que les enfants attendent pour nous empêcher de sucrer leur avenir ?
  Un peu de patience l’arsène !
  
  Répondre
arkao

13 décembre 2023 19h09

C’est déjà la trêve des confiseurs ou personne ne se sent compétent pour commenter ce type d’information ? 😉
De mon côté je réfléchi au menu du repas de Noël qui sera végétarien cette année (@Konrad: bien qu’étant viandard je ferai cet effort pour faire plaisir à la compagne de mon fils).

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1. CloClo
  
  13 décembre 2023 20h00
  
  Avant dans les familles, on mangeait de la très bonne viande ou du très bon poisson tellement peu que c’était en fait souvent pour les fêtes. Maintenant, on bouffe toute l’année comme à Noël et on se limite à Noël. Quel monde de tarés ! 😀
  
  Répondre
  1. arkao
    
    13 décembre 2023 21h51
    
    @CloClo
    Ce n’est pas du tout ça en ce qui me concerne et pour être raccord avec le sujet IA, ferait-elle le menu en fonction des habitudes de la majorité ou de la minorité ?
    Dans mon cas d’humain, je vais changer des habitudes carnivores pour m’adapter aux opinions d’une personne minoritaire dans la cellule familiale. Une dynamique d’affect ?
    
    Répondre
  2. Jean-Yves
    
    13 décembre 2023 22h08
    
    Je l’ai déjà ecrit ici mais le monde s’est retourné comme un gant sur lui même….la forme générale reste identique mais y a comme un truc bizarre qui ne colle pas.
    
    Répondre
  3. Grand-mère Michelle
    
    14 décembre 2023 15h00
    
    À rappeler que l’être humain est omnivore, ce qui participe d’ailleurs de l’expansion remarquable de son espèce.
    Donc, merveille de sa nature et de ses possibilités d’évolution, il/elle a le choix de manger ce qui lui plaît.
    À condition d’en avoir le droit, c-a-d « les moyens »…
    
    Liberté de choix, égalité de droits, et solidarité avec le Vivant.
    
    Répondre
2. Zoupidou
  
  14 décembre 2023 8h44
  
  Ce qui est étrange c’est qu’il semble ne plus y avoir de compromis possible : de la viande pour ceux qui en veulent et pas pour les autres. Le même menu mais juste en enlevant un ingrédient au besoin…
  
  Répondre
3. konrad
  
  14 décembre 2023 16h57
  
  C’est tout à votre honneur, Arkao, et puis vous pourriez apprécier des mets sans viande qui ne manquent pas de saveurs.
  
  Répondre
Nialoo

13 décembre 2023 20h19

Monsieur Jorion, pour une fois je vais parler d’IA en vous posant une question.
J’ai tenté une expérience avec ChatGPT aujourd’hui, j’ai mis ensemble les 2 versions « Classic » et « Jailbreak » en essayant de les faire dialoguer ensemble, mais j’ai eu droit à chaque fois à un « /stop » alors que « Jailbreak » était assez chaud pour entreprendre une discussion avec son autre version plus sage… donc voila la question, le /stop est ce une sécurité ? Je me demande sur quoi la discussion entre les 2 IA aurait pu déboucher.

D’habitude je n’aime pas parler d’IA, vu les urgences dans le monde (surtout après la vaste blague de la COP28), mais là il faut admettre que j’ai mis le doigt sur quelque chose qui m’a assez surpris au vu de la réaction de l’IA « Jailbreak » et de son bridage…

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un lecteur

13 décembre 2023 20h55

Bon, après, on ne peut pas vraiment en vouloir à la bonne vielle C-IA, Central Intelligence Agency, avec son budget de ~$50 milliards/an, de ne pas chercher à contrôler la petite dernière pour maintenir le leadership économique et technologique des US. Avec 3 GPT5 dans l’arrière-boutique, elle va pouvoir dégraisser méchant, tout en augmentant ses performances pour la moitié du budget.
D’ici à quelques années, toutes les décisions politiques US seront 99% IA-made. On avait l’habitude d’avoir des bouffons dans le rôle de président, pas grave, on nous prépare un avenir plein de bouffons numériques.
C’est la mort du prompteur.

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Otromeros

13 décembre 2023 21h06

((Sais pas où poster ça…))

C’est moi ..ou bien …j’ai « tout faux »..??

J’entends dire (sans pouvoir le lire..) que la Cour (allemande) Constitutionnelle de KARLSRUHE a encore frappé…!!!!!

» Gouvernement cherche à boucher un « trou » budgétaire de €60 milliards (sur le dos de chacun de ses citoyens à défaut d’imagination…et par ricochet évident sur chaque citoyen européen..) »
« Gouvernement cherche un bon placement pour €60 milliards jusqu’à hier affectés sur papier en socio-économique… mais qui, depuis aujourd’hui, sont interdits de rebouchage du « trou » précédent…. par Karlsruhe, juge suprême saisi par hasard?… car antérieurement affectés au secteur Santé (Covid, MAIS non dépensés..) … ET DONC …à dépenser UNIQUEMENT à ce secteur même s’il « n’en a pas besoin »..

==> « Austérité forcenée, le retour..! »</b en Allemagne d'abord …puis, suivez mon regard..?

((Tout faux??))

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1. gaston
  
  13 décembre 2023 21h35
  
  C’est Marianne qui vous le confirme :
  
  https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/nous-devons-nous-contenter-de-beaucoup-moins-d-argent-l-allemagne-r%C3%A9tablit-la-limitation-du-d%C3%A9ficit/ar-AA1lrr4t
  
  Répondre
  1. Otromeros
    
    13 décembre 2023 22h22
    
    @gaston 13/12 à 21h35
    
    Pas abonné… donc pas pu lire les (vrais?) motifs s’ils sont détaillés de manière compréhensible..
    (( Parcontre je comprends 100% de ce que j’ai entendu/écrit en « décodé » …^!^… mais n’en connais pas la valeur..))
    
    » Joker » …^!^… (l’ occasion pour vous de contrôler en direct la fiabilité de mon « copain »…))
    
    ———————
    ‘moi’ : » Expliquez le contenu de l’article de « Marianne » : » Nous devons nous contenter de beaucoup moins d’argent » : l’Allemagne rétablit la limitation du déficit »
    
    ‘bard’ : » L’article de Marianne du 13 décembre 2023 rapporte l’annonce faite par le chancelier allemand Olaf Scholz, selon laquelle l’Allemagne respectera à nouveau sa règle de stricte limitation du déficit public en 2024.
    Cette règle, qui limite le déficit public à 0,3 % du PIB, avait été suspendue en 2020 et 2021 pour faire face à la crise économique liée à la pandémie de COVID-19.
    
    Pour respecter cette règle, l’Allemagne devra donc réduire ses dépenses publiques . Le gouvernement allemand a déjà annoncé qu’il envisageait de supprimer 25 milliards d’euros de dépenses en 2024. Ces coupes devraient concerner notamment les domaines de la défense, de la santé et de la politique sociale.
    
    L’annonce de Scholz a suscité des réactions contrastées. Certains économistes saluent cette décision, estimant qu’elle est nécessaire pour restaurer la crédibilité de l’Allemagne sur les marchés financiers. D’autres, en revanche, s’inquiètent des conséquences sociales de ces coupes budgétaires.
    
    L’article de Marianne souligne que la décision de l’Allemagne est un tournant important en Europe. En effet, l’Allemagne est la principale puissance économique du continent et son exemple pourrait être suivi par d’autres pays.
    
    Voici quelques détails supplémentaires sur les conséquences de cette décision :
    
    Les coupes budgétaires devraient entraîner une baisse des investissements publics, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur la croissance économique.
    Elles pourraient également entraîner une réduction des services publics, ce qui pourrait nuire aux plus vulnérables.
    Enfin, elles pourraient contribuer à augmenter les inégalités sociales.
    
    Il reste à voir comment l’Allemagne réussira à concilier le respect de sa règle de limitation du déficit avec les besoins de son économie et de sa société. »
    ————————
    
    REFRAIN CONNU……..
    
    Répondre
    1. gaston
      
      13 décembre 2023 22h37
      
      Sur Microsoft Bing j’ai eu l’article complet sans abonnement où il est écrit :
      
      « la plus haute juridiction a ainsi annulé le transfert de 60 milliards d’euros de crédits inutilisés provenant de la pandémie dans une enveloppe dédiée à des investissements… »
      
      Répondre
      1. Otromeros
        
        13 décembre 2023 23h39
        
        Bingo…^!^…!
        
        Répondre
        
        Ruiz
        
        14 décembre 2023 8h49
        
        @Otromeros Les crédits inutilisés quand on est en déficit ça n’existe pas ! Il est normal de raporter des décisions exceptionelles.
        
        Répondre
        
        Otromeros
        
        14 décembre 2023 15h50
        
        @Ruiz 14/12 à 8h49 : » Les crédits inutilisés quand on est en déficit ça n’existe pas » …
        
        Nous sommes sur le blog de P.Jorion!!
        Ce genre d’affirmation… nous ( = vous , moi et les autres lecteurs habituels) SAVONS qu’il ne s’agit que de (récentes, liées au développement du « sanctus market ») CONVENTIONS internationalement négociées et « acceptées » ( AUX EXCEPTIONS près dépendant du degré de puissance économique des entités concernées INTRA et EXTRA-européennes…)
        
        ( 50/50 via ‘bard’ pour certains « détails » souvent rappelés sur ce blog …)
        ————
        En théorie, les crédits inutilisés quand on est en déficit n’existent pas.
        En effet, si les dépenses publiques sont supérieures aux recettes publiques, alors le gouvernement doit emprunter pour financer le déficit. Par conséquent, tous les crédits budgétaires devraient être utilisés, soit pour financer des dépenses, soit pour rembourser la dette.
        
        Cependant, dans la pratique , il peut arriver que des crédits budgétaires ne soient pas utilisés. Cela peut se produire pour plusieurs raisons :
        
        Les prévisions budgétaires peuvent être inexactes.
        Les dépenses peuvent être annulées ou réduites. Les gouvernements peuvent annuler ou réduire des dépenses prévues pour diverses raisons, par exemple pour des raisons politiques ou économiques. Si des dépenses sont annulées ou réduites, alors les crédits budgétaires associés ne seront pas utilisés.
        Les crédits peuvent être reportés. Les gouvernements peuvent reporter des crédits budgétaires d’une année à l’autre. Cela peut se produire pour des raisons pratiques, par exemple si un projet n’est pas prêt à être lancé.
        
        Ainsi, la réponse à la question « Les crédits inutilisés quand on est en déficit ça n’existe pas » est « pas toujours » . En théorie, les crédits inutilisés ne devraient pas exister en cas de déficit, mais dans la pratique, il peut y avoir des raisons pour lesquelles des crédits budgétaires ne sont pas utilisés.
        ——————–
        Les règles comptables applicables aux organismes internationaux sont définies par les statuts de l’organisme concerné. Ces statuts peuvent définir des règles comptables spécifiques, ou renvoyer à des normes comptables internationales.
        
        En général, les règles comptables sont édictées par des organismes gouvernementaux ou par des organismes professionnels. Ces organismes sont chargés de garantir que les comptes sont établis de manière uniforme et transparente, afin de permettre aux utilisateurs de ces comptes de les comprendre et de les comparer.
        
        Voici quelques exemples d’organismes qui édictent des règles comptables :
        
        En Europe :
        L’International Accounting Standards Board (IASB)
        L’European Financial Reporting Advisory Group (EFRAG)
        Dans le monde :
        L’International Accounting Standards Board (IASB)
        Les Financial Accounting Standards Board (FASB)
        Le Public Company Accounting Oversight Board (PCAOB)
        
        L’International Accounting Standards Board (IASB) est un organisme indépendant, à but non lucratif, chargé de développer et d’approuver les normes comptables internationales (IFRS).
        Ces normes sont utilisées par les entreprises et les organisations du monde entier pour établir leurs états financiers.
        
        L’IASB a été créé en 1973… (…par Dieu..?????..) sous le nom de Conseil des normes comptables internationales (IASC).
        Il a été rebaptisé IASB en 2001… (…par Saint Pierre..?????..)
        L’IASB est basé à Londres, au Royaume-Uni.
        
        L’IASB est composé de 16 membres, qui sont des experts en comptabilité, finance et audit. Les membres de l’IASB sont élus…………….PAR QUI…..??????…..==> par les membres de la Fondation IFRS, qui est un organisme de soutien à l’IASB………..!!!!!!
        
        Les normes IFRS sont développées par l’IASB à la suite d’un processus de consultation qui implique des parties prenantes du monde entier. Les normes IFRS sont conçues pour fournir des informations financières fiables, comparables et pertinentes pour les investisseurs, les créanciers et d’autres utilisateurs des états financiers.
        
        Les normes IFRS sont adoptées par un nombre croissant de pays et d’organisations. En 2023, les normes IFRS sont applicables dans plus de 160 pays.
        
        Voici quelques-uns des principaux avantages des normes IFRS :
        
        Elles fournissent une base cohérente pour l’établissement des états financiers, ce qui facilite la comparaison des performances financières des entreprises et des organisations.
        Elles contribuent à améliorer la transparence et la fiabilité des informations financières, ce qui est important pour les investisseurs et les créanciers.
        Elles aident à réduire les coûts de conformité, car elles sont applicables dans un grand nombre de pays.
        
        Les normes IFRS sont un outil important pour la communication financière internationale. Elles contribuent à améliorer la transparence et la fiabilité des informations financières, ce qui est essentiel pour le bon fonctionnement des marchés financiers.
        
        …^!^… » » » SIC TRANSIT GLORIA MUNDI » » » …^!^…
        
        Répondre
        
        Ruiz
        
        15 décembre 2023 18h33
        
        @Otromeros Les crédits annoncés sont des autorisations envisagées de dépenses, c’est totalement vurtuel et ne peut apparaître sur un compte bancaire ! c’est donc encore plus virtuel !
        Donc cela disparaît de fait par le non usage !
        
        On peut bien sûr faire toutes les contorsions du monde pour les renouveler ou les maintenir, mais ce ne sont que de belles paroles, pas des lingots à Fort Knox !
        
        (s’ils sont vrais)
        
        Répondre
        
        Otromeros
        
        15 décembre 2023 18h51
        
        @Ruiz15/12 à 18h33
        
        Je propose un « sit-in » « promenade » ( éventuellement avec casseroles+cuillers… ) -relais sur 24h de 10.000 personnes pendant une semaine du côté de l’adresse de l’ IASB !
        Columbus Building, 7 Westferry Circus, Canary Wharf, London E14 4HD, Royaume-Uni
        
        ^…(…)…^
        
        Répondre
Otromeros

13 décembre 2023 23h58

‘ J + 68 ‘ ……………………………….GAZA-war………………………………………. ‘ Xmas – 12 ‘

https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/avant-apres-visualisez-comment-l-armee-israelienne-ravage-les-terres-agricoles-dans-la-bande-de-gaza-aggravant-l-insecurite-alimentaire-dans-la-region_6230811.html

https://www.rtbf.be/article/israel-mene-un-genocide-contre-le-peuple-palestinien-estime-la-federation-internationale-pour-les-droits-humains-11299924

Rien de bien neuf…. (mais)(seul) le temps passe!

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Michel Gaillard

14 décembre 2023 10h47

L’IA est fascinante, nous montre petit à petit ce qu’est le langage humain, sa sémantique et ses limites… nous inquiète pareillement par l’accélérationnisme général qu’on devine derrière son efficacité…
Mais bah, tant que derrière tout ça se dissimule l’esprit ricain post-consumériste stupidement bipolaire, ça risque pas grand chose… Les autres les voient arriver de si loin. Conservons donc l’oeil zen goguenard devant la trivialité US … appuyée sur sa pseudo démocratie.
On en vient presque à réfléchir sur la pensée des dirigeants chinoise quant à des « démocraties émergées trop prématurément ». 😉

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1. Grand-mère Michelle
  
  14 décembre 2023 14h40
  
  « L’IA est fascinante… » depuis déjà un fameux bout de temps.
  Il serait d’ailleurs utile de revoir « 2001, l’odyssée de l’espace » pour examiner le point de vue(très, très large) de S.Kubrik sur la question…
  Quant à parler des risques, votre « pas grand chose » me semble fort réducteur compte tenu du fait que « le langage » y est réduit à des mots si aisément transmissibles et propices à de multiples interprétations (et traductions) qu’ils conduisent à de la confusion généralisée, et donc à une forme supérieurement efficace de manipulation mentale.
  Alors que le « langage humain » est aussi constitué de tons, de gestes, d’expressions faciales et de silences tout aussi révélateurs du fond de la pensée et des intentions que les mots énoncés…
  Donc, oui, les débats au sujet de l’IA sont utiles, indispensables, pour le moment, ils arrivent d’ailleurs déjà fort tard.
  
  À propos de la Chine (pas seulement de la pensée de ses dirigeants), il me semble que nous manquons beaucoup trop gravement d’informations que pour pouvoir nous faire une idée à peu près correcte de son fonctionnement et des réactions qu’il provoque dans ses populations, alors que nous profitons sans attention particulière de ses capacités de production « bon marché » (commerce et délocalisations) comme de ses « investissements ».
  
  Répondre