Si cela vous intéresse à votre échelon, contactez-nous !
(à suivre…)
@sextusempiricus La civilisation n’a toujours été qu’une illusion de dominants cherchant à justifier leur pouvoir sur les autres, les « non…
*Godot est mort !*
PRIBOR s’engage dans la bataille des municipales ! II. Ils étaient invisibles jusqu’à PRIBOR.
29 réponses à “PRIBOR s’engage dans la bataille des municipales ! II. Ils étaient invisibles jusqu’à PRIBOR.”
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Pour les André, de nombreuses communautés d’agglomération ont mis en place le Transport A la Demande (TAD). Un exemple:
https://www.ca-paysdelaon.fr/vivre/transports/transport-a-la-demande/Comme je travaille aussi sur un programme pour les municipales, je constate en faisant des recherches que beaucoup de dispositifs existent déjà pour les Léa, les André et les Fatou, mais dont les compétences sont diluées entre la commune, l’intercommunalité, les départements et les régions. Le fameux « mille-feuille administratif » qui fait qu’il devient compliqué de savoir où s’adresser.
Un outil comme Pribor pourrait-il constituer une interface pratique et efficace?-
Oui, il existe déjà des dispositifs. Beaucoup, même.
Mais le vrai problème n’est pas là. Le vrai problème, c’est : qui les connaît vraiment ? Qui peut y accéder facilement ? Et surtout, qui parvient à les activer, au bon moment, pour les bonnes raisons ?C’est précisément à ce niveau-là que PRIBOR intervient. L’objectif n’est pas de remplacer les politiques publiques, ni de recentraliser les compétences locales.
Ce qu’on fait, c’est rendre lisible ce qui est dispersé, compréhensible ce qui est complexe, et accessible ce qui, souvent, reste théorique.Ce projet agit comme un pont entre les institutions et les habitants. Il ne propose pas une solution toute faite, il part du réel : des usages, des parcours, de la vie quotidienne.
Un service de transport à la demande peut exister mais s’il est mal signalé, personne ne l’utilise, une aide sociale peut être prévue mais si elle exige huit pages de justificatifs, elle ne sera jamais demandée et un emploi peut être affiché mais s’il est situé à 20 kilomètres sans aucun transport adapté, il reste hors d’atteinte.
Avec PRIBOR, ces décalages sont détectés, objectivés, cartographiés.
Et grâce au module IMPULSE, les citoyens peuvent eux-mêmes tester des hypothèses en fonction de leur situation, simuler des parcours, comparer des solutions, et prendre part aux décisions.Ce n’est pas un tableau de bord froid. Ce n’est pas un algorithme incompréhensible.
C’est plutôt un outil pensé pour renforcer la démocratie locale, avec des relais humains sur le terrain, des interfaces simples et une logique d’inclusion réelle, même pour celles et ceux qui ne sont pas familiers des outils numériques.-
Evidemment, les entreprises peuvent être les premières intéressées « au bon usage de leur taxe professionnelle ». Elles et leurs salariés en sont les premiers bénéficiaires.
Problème : elles ne peuvent pas participer au financement des municipales en tant que personnes morales, c’est interdit. Seule une personne physique peut donner à une liste à hauteur de 4 600€ par liste et par élection.
Puisqu’il faut bien rémunérer PRIBOR pour son travail au service d’une liste ou de plusieurs listes, comment rassembler les fonds nécessaires à l’échelle des particuliers ? . Comment faire pour « se payer » de tels services dans une petite liste ? Impossible (ou presque) !
Alors comment faire pour résoudre la question suivante, bâtie à partir de données imaginaires mais réalistes , en admettant que les services PRIBOR soient très utiles pour bâtir un programme en amont des élections :
– Les services PRIBOR pour une liste = 30 K€ (admettons pour l’exemple )
– Pour une commune de 38 000 habitants, incluse dans une Agglo de 100 000 hab., la somme MAXIMUM autorisée en frais de campagne = 50 K€ (premier tour > 5% des suffrages) et 60 K€(second tour).
– Pour gagner sa liberté, la liste qui sent bien ses chances emprunte 50 et 60 K€ (en 2 fois selon les résultats)Il faut donc prévoir près de 1/3 du budget pour PRIBOR ? Au « détriment » de la location du PC de campagne ? Du ou des permanents qu’il faut bien rémunérer ? Des frais d’affiches, tracts, réseaux sociaux, créations de com, autres frais de bouches et de campagne, etc. ??
En mutualisant PRIBOR pour plusieurs listes, ça peut le faire.
Mais comment s’assurer de la disponibilité de l’équipe et de ses outils ? Premier arrivé, premier servi ?
Avec 10 listes que se passe-t-il ?-
Chez PRIBOR, nous savons combien il est aujourd’hui difficile, pour de nombreuses initiatives locales, d’accéder de manière équitable à des outils d’analyse et d’aide à la décision.
C’est pour répondre à cette réalité que nous imaginons de nouvelles formes d’intelligence publique, conçues pour accompagner une démocratie plus ouverte, plus inclusive.Avant même le début officiel des campagnes, certains services essentiels peuvent être soutenus par des fonds citoyens ou coopératifs.
Nous développons aussi des outils de diagnostic et de visualisation que chacun peut s’approprier qu’il s’agisse d’un·e seul·e candidat·e ou de plusieurs dynamiques locales.Le tout, toujours dans le respect de l’indépendance politique de chacun.
Dans certains cas, nous sommes également ouverts à des accords à paiement différé, lorsque des remboursements publics sont envisageables.
Les revenus issus de ces services mutualisés ne sont pas destinés à enrichir une structure, mais à la faire vivre et surtout, à nourrir de nouveaux communs.
Simulateurs citoyens, plateformes ouvertes, outils partagés, une partie des recettes est systématiquement réinvestie dans des ressources accessibles à tous.
Tout cela se fait de manière transparente, en lien étroit avec nos partenaires, dans une logique simple, ce que la communauté rend possible, elle doit pouvoir le retrouver et s’en servir à son tour
PRIBOR est une structure engagée dans la responsabilité sociétale et peut aider à construire des infrastructures démocratiques et transparentes !
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La difficulté que nous rencontrons en ce moment, c’est que les listes qui nous contactent ont toutes le même message : « Nous sommes dans l’opposition et n’avons bien entendu pas de budget : travaillez pour nous gratos « pour la bonne cause » (= Le bon Dieu vous le rendra !). » Ce qui débloquerait la situation c’est que la pompe soit amorcée par une liste déjà au pouvoir, qui nous passe commande.
« Vous avez bien entendu M’sieurs, Dames ! j’ai dit « UNE » liste. Je n’ai pas dit « QUELQUES », je n’ai même pas dit « UNE OU DEUX », j’ai dit « UNE » liste suffirait à amorcer la pompe ! « UNE », « UNE seulement », M’sieurs, Dames ! ». Pas « TROIS », pas « DEUX », « UNE » – comme dans Pampelune ! ».
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L’équipe au pouvoir n’a pas plus de budget pour une campagne électorale.
Là il faudrait une inscription de la dépense PRIBOR au projet de budget de la collectivité pour 2026, qu’elle passe le Débat d’orientation budgétaire (DOB) pour un vote au plus tard le 15 avril.
Comme il y a de très grosses incertitudes sur le budget de l’État et ses dotations aux collectivités, tout le monde est dans une position attentiste, peu propice aux projets d’investissements.-
Et on s’étonne que rien ne bouge 🙁 .
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Parlez-nous d’impulse SVP. Comment envisagez-vous d’y accéder pour un citoyen à l’échelle municipale ?
Par le portail digital de la mairie ? Ca va exclure pas mal de personnes, non ? Justement notre cible.On sait par exemple que de très nombreux ayant-droits du RSA ne le réclament jamais. Peut-on imaginer améliorer le système avec l’IA de PRIBOR combinée à des services « humains », physiques, rapprochés des populations concernées ?
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Salut Arkao ! Quel taille ta commune par curiosité ?
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Quelle rhaaaaaaaaaa ! 😩
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C’est pas là où j’habite mais celle où je milite (chef-lieu de département).
Commune: 24 000 habitants
Agglo: 42 000 habitants-
C’est comment la vie de militant ? Stimulant ?
Tu nous partages des moments sympas ou moins sympa ? (anonymisés, of course).
A moins d’un an des municipales, c’est normalement maintenant que ça grouille et s’agite, non ?-
@ThomBillabong
Pour l’instant nous en sommes encore au stade des discussions avec les représentant locaux du PCF, de P.S. et des Écologistes sur l’éventualité d’une liste commune et ça s’enlise.
Ce qui s’agite ce sont surtout les petites ambitions personnelles.
Notre objectif est surtout de faire élire les plus jeunes camarades afin qu’ils apprennent « le métier » pour être prêts au prochain scrutin.-
arkao
Bon courage camarade, se farcir le PS ne doit pas être très simple, vu son histoire, difficile de discuter avec ceux qui trahissent la gauche depuis toujours.
Mais bon, faut essayer, au cas où certains socialos ouvriraient les yeux, on ne sait jamais.-
Alvin, les municipales de mon point de vue, c’est pas un truc idéologique, tout au contraire, il faut surtout des personnes qui ont envie de travailler pour les autres, de consacrer leur temps et leur énergie à travailler tous ensemble, à construire et élaborer une vision réaliste et efficace du territoire au service de ses habitants. Bref du dévouement, pas des trous de balles confis d’orgueil à la con, perdus dans des délires dont ils n’ont pas les leviers, qui mélange toutes les échelles, quand ce n’est pas surtout des glands à la recherche de parades et d’indemnités financières.
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@CloClo
Absolument. Il se trouve que la ville en question est dirigée par un jeune maire centriste à sensibilité personnelle écolo qui a déjà réalisé la moitié du programme LFI pour les municipales 😉
Il s’oppose à l’armement des policiers municipaux alors que nos potentiels alliés socialistes sont pour.
Il a installé un petit nombre de caméras de surveillance sous la pression d’une partie des habitants mais il exprime ouvertement en conseil municipal qu’elles ne servent quasiment à rien. Etc.
Bref, il faut raisonner différemment des cadres idéologiques des partis.-
Nous sommes bien en accord sur l’essentiel, c’est quelque chose que je savais avec toi malgré nos anicroches et nos joutes parfois. Les gens de bonnes volontés sont la majorité du genre humain selon moi, mais les commandes sont souvent prises par des arrivistes et des orgueilleux ou des idiots malheureusement. Il me semble que depuis le début c’est la position éclairée de notre hôtes.
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De quoi se plaignent-ils ?
Il y a tellement de gens qui voudraient être moins visibles 😉 : cartes bancaires, téléphones portables, Gps, internet, caméras de vidéo-surveillance, émetteurs de toutes sortes on est constamment pistés et surveillés !
D’après mon IA préférée, qui se réfère à Freud et Jung, « Rêver d’être invisible c’est un appel de l’inconscient à explorer ce qui est tu, caché ou non reconnu. C’est un rêve riche en symboles qui peut ouvrir la voie à une introspection profonde ».
Bien vu !
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Tout à fait , manquerait plus qu’on soit pistés et cartographiés H 24 maintenant ! Déja que l’ia nous appelle sans arrêt pour qu’on achète ces satanés panneaux solaires ! Sinon pour les problèmes de mobilité il suffit d’un simple vélo électrique
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@Gil
Ah…vous trouvez ça simple, vous, un vélo électrique?Euh…de combien de fric faut-il disposer pour en posséder un(sans s’endetter…), ainsi que pour l’utiliser quotidiennement…(recharger sa batterie, l’entretenir et/ou le réparer, acquérir l’équipement pour l’utiliser en cas de pluie ou de grand froid, s’assurer d’un local pour le ranger « à l’abri », prendre une assurance, etc…)?
Ne pensez-vous pas que les transports en commun à horaires réguliers et à des prix abordables sont, de loin, le moyen idéal pour permettre à chacun-e de tout âge et toute condition de se déplacer quand, pourquoi, et où il/elle veut…tout en diminuant considérablement la consommation d’énergies plus ou moins polluantes… et un offrant de l’emploi à la multitude de gens nécessaires pour les construire et les faire fonctionner correctement…?
Un État soucieux de « paix sociale » et du bien-être de l’ensemble de sa population ne devrait-il pas consacrer les « moyens » nécessaires à réaliser des réseaux de mobilité en commun performants?
Ce qui n’empêcherait personne de choisir de faire des efforts pour réussir à se déplacer avec des véhicules personnels, plus rapidement qu’avec ses possibilités « naturelles » et sa propre énergie… pour ceux et celles qui ne supportent pas la proximité « des autres »(« le bruit et l’odeur », comme disait « l’autre »)…-
La question est : Pourquoi un vélo électrique plutôt qu’un simple vélo ?
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@konrad Parce qu’un vélo électrique est pour l’essentiel électro-nucléaire c’est à dire sans contribution importante à l’effet de serre pour les 250 W environ mis en oeuvre, alors que la même puissance développée par un humain nécessite une alimentation supplémentaire qui si elle est carnée, ce qui est le cas dans nos pays provoque par l’élevage (et marginalement par le surcroît de digestion de l’individu lui-même) quelques émissions de méthane fort préjudiciables …
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Ruiz
Sauf que pédaler sur un vélo électrique c’est comme être sur un scooter et de fait cela n’a aucun effet marquant sur le système cardio-vasculaire.
Et in fine , le vélo électrique a très peu d’avantages à part celui d’avancer sans trop se fatiguer tout en consommant de l’énergie électrique , nucléaire ou autre, rien à voir avec l’énergie musculaire qui elle, ne demande pas de puiser dans les réserves de la planète.-
@alvin Jusqu’à plus ample informé l’énergie musculaire n’est pas gratuite, elle est issue avec un rendement médiocre des phénomènes chimiques de la contraction musculaire, de la digestion et d’une agriculture moderne et efficiente abreuvée de machinisme mue par les hydrocarbures, et boostée par les engrais azotés élaborés à base de gaz naturel et l’ajout de phosphates qui ne proviennent pas tous du guano, outre l’aspect élevage impliqué par des Mac-do frites. Tout effort nécessite un accroissement de l’alimentation, et donc une allocation supplémentaire.
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@Ruiz
Parce que vous croyez qu’un-e végétarien-e bénéficie automatiquement d’une puissance musculaire moindre que celle d’un-e carnivore ?
Ou vous voulez nous le faire croire?C’est typiquement le genre d’argument non-fondé qui soutient le système de domination et d’exploitation abusive des ressources terrestres et humaines qui produit les guerres, les destructions(en vue de reconstructions « rentables ») et les déséquilibres environnementaux désastreux que nous subissons sous les injonctions du « progrès ».
De plus, vous faites l’impasse sur les pollutions que suscite la production d’un véhicule électrique et sur celles que causent l’extraction, la construction et le fonctionnement des centrales nucléaires
(celles que E.Macron rêve de vendre et de construire dans la plupart des pays de l’est européen, ainsi qu’en Afrique, avec l’appui, conscient ou non, de gens comme Jancovici).
Et quid des déchets? On les glisse sous le tapis, comme dab…
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@Gil Le pire est qu’en une ville comme Paris qui promeut le vélo électrique et pallie la difficulté du coût d’acquisition individuel et encourage la mutualisation économique en ressources par le système Vélib, l’usage de celui-ci nécessite un smartphone et le traçage GPS et par fadette de tous les déplacements !
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Petite réflexion à propos du cas de Léa en particulier : le lien entre le problème de logement et le problème de l’emploi. Je n’ai pas tellement entendu parlé de la question du logement comme un problème d’emploi. Hors, il me semble que c’est central. Il est très difficile en France de déménager, sans compter quand on s’est saigné pour devenir propriétaire (si on en a les moyens). J’avais entendu que c’est le premier facteur de stress. Sans compter quand on est en couple ce qui rend le problème 4 fois plus difficile. Sans compter que la mobilité professionnelle est désormais la norme. Et les prix de location excèdent de plus en plus couramment les fameux 30% de revenus. Les jeunes sont évidement les plus touchés. D’où la formule de cohabitation qui est un palliatif, jusqu’à des âges de plus en plus avancés. Des trajets quotidiens qui excèdent 2h, parfois 3h, ça pèse beaucoup dans une vie et dans la fatigue quotidienne….Je trouve que les politiques devraient beaucoup plus se préoccuper à ce problème ….
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Exactement !
Combien sont concernés dans telle ou telle municipalité et Agglo (les deux sont très liées désormais) ?
Quel quartier ? Quelle dynamique privilégier pour y répondre ? Agir sur le logement ? Le transport ? Les banques ? La jeunesse et les sports ?
Quel genre d’IA peut aider à défricher ces dynamiques multifactorielles ? Comment appréhendez vous le problème si vous êtes en responsabilité ou si vous voulez y aller ?-
@Emmanuel Intégrer le temps de transport dans le temps de travail et le rémunérer !
Supprimer les cotisations patronales aux transports collectifs et les subventions et abaissement de prix, mais mettre le coût réel du transport au frais de l’employeur.
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