En apothéose………. : https://www.rtbf.be/article/expulser-deux-millions-de-gazaouis-vers-la-libye-l-ethiopie-et-l-indonesie-un-plan-d-israel-11579167
*Godot est mort !*
Cocorico ? Non…
Il n’a pas parlé de génocide, mais de crise. Il a évoqué les victimes, mais pas les coupables.
Le discours royal, en vertu de la « royauté constitutionnelle », est toujours validé par le ministre (ici des affaires étrangères..). qui s’est abstenu à l’Europe sur les sanctions, autant que la Commissaire Belge…
Ce discours est une concession, et rien de plus, à l’opinion belge qui s’est largement exprimée dans de nombreuses manifestations à Bruxelles et ailleurs.
Cela ne change rien à l’inertie occidentale qui ne reconnait toujours pas l’Etat palestinien, reconnu par plus de 130 pays à travers le monde. Pendant que 30 pays de l’occident font une « déclaration courageuse » sur la situation en Palestine, 30 pays du Sud réunis à Bogota prennent des décisions d’agir, par le boycott.
@Chabian
« Ce discours est une concession…à l’opinion belge… »
Hé ben ça, de mon point de vue(de manifestante), ce n’est pas rien!
À noter que « l’opinion belge » n’est pas unanime à ce sujet… sans compter le nombre de belges qui n’ont pas d’opinion, sont indifférent-e-s, et surtout ignorant-e-s de la situation réelle de la Palestine(comme la plupart des habitant-e-s du monde entier, habilement désinformé-e-s, même ceux et celles qui croient savoir).
Mais quand le Roi(de tou-te-s les belges) choisit de défendre les plus faibles, il représente une partie-sensible et intelligente-de la population de son tout petit pays qui fut régulièrement envahi au cours des siècles par les empires environnants et s’est constitué(en tant qu’État de Droit) pour tenter d’éviter la répétition d’une telle situation.
Et, ce faisant, il influence le gouvernement(voir les déclarations de ce matin du ministre des affaires étrangères, qui siège au Conseil de l’UE).
Grand-mère Michelle,
« sans compter le nombre de belges qui n’ont pas d’opinion, sont indifférent-e-s, et surtout ignorant-e-s de la situation réelle de la Palestine(comme la plupart des habitant-e-s du monde entier, habilement désinformé-e-s, même ceux et celles qui croient savoir). »
Pardon, mais à moins d’habiter sur une île déserte, comment de nos jours « être ignorant » de la situation à Gaza et en Cisjordanie ? Si l’on déclare être ignorant, l’honnêteté intellectuelle serait de dire que l’on s’en fout ! Et pourquoi pas, après tout on peut avoir d’autres chats à fouetter.
Non, personne n’ignore que les gazaouis sont décimés, affamés et réduits à l’état de zombis errants, tandis qu’en Cisjordanie les colons poursuivent leur colonisation.
Que l’on s’écharpe sur le nombre exact de morts ou sur les raisons de cette guerre, c’est de la com et – ou – de la propagande. Nous voyons les destructions de bâtiments publics et privés, nous voyons les attroupements de gens près des distributions de nourriture…
Nous le savons, tout le monde le sait ! Et pourtant nous fermons les yeux.
Pourquoi ? Parce que l’on s’en fout !! Ce sont des arabes qui meurent et franchement dans notre échelle de « valeurs » un Ukrainien vaut 100 Palestiniens, au moins.
Aujourd’hui, 18 ième train de sanctions contre la Russie, ce dont se félicite notre ministre des affaires étrangères.
Contre Israël ? Pas même un pédalo de sanction, juste des remontrances : C’est pas bien ce que vous faites !
De qui se moque-t-on ?
Et ça, le monde entier le sait et l’entend car avec les chaines infos et les réseaux sociaux mondiaux, personne n’ignore rien de ce qui se passe chez son voisin ou à l’autre bout de la planète. Du moins pour qui désire s’informer.
@Konrad
« Du moins pour qui désire s’informer ».
Oui, voilà, c’est ce ce que voulais dire en accolant « indifférent » et « ignorant ».
Vous seriez surpris, si vous sortiez un peu de votre « milieu »(intello?), si pas de votre « bulle », (par ex en circulant dans les transports en commun ou en écoutant les conversations aux terrasses des cafés) de constater le genre de choses(de « chats à fouetter ») qui intéressent quotidiennement la plupart des gens… et tiennent plus généralement du domaine du « divertissement »…
C’est pourquoi je voulais rectifier quelque peu l’expression « opinion belge » qui me semble inexacte.
D’ailleurs, je serais curieuse de savoir dans quelle proportion le « peuple belge » a écouté (je ne dis pas « entendu » ou « vu ») le discours du Roi Philippe…
Ce qui ne veut pas dire que je ne me réjouis pas qu’il ait prononcé le mot « honte »,probablement susceptible d’alerter et de réveiller beaucoup de consciences éprises de « fierté » (nationale ou autre).
@Grand-mère Michelle,
« Vous seriez surpris, si vous sortiez un peu de votre « milieu »(intello?), si pas de votre « bulle », (par ex en circulant dans les transports en commun ou en écoutant les conversations aux terrasses des cafés) de constater le genre de choses(de « chats à fouetter ») qui intéressent quotidiennement la plupart des gens… et tiennent plus généralement du domaine du « divertissement »… »
Je n’imaginais pas ce mépris de classe venant de vous. 😉
Bien sur qu’en cette période de soldes et de vacances les gens parlent de « divertissement », et puis il y a aussi la dette avec son corolaire d’austérité à venir et les émeutes urbaines qui gagnent même Limoges !!
Limoges ?! Vous vous rendez compte…
Mais si vous interrogez tous ces gens, aucun n’ignore ce qui se passe à Gaza. La télé, la radio, les journaux et les réseaux sociaux en parlent assez souvent. Personne ne peut ignorer ce qui se passe là-bas.
Mais dans le fond, mon propos vise surtout nos dirigeants qui ont le pouvoir de faire et pas simplement de dire.
Ils parlent beaucoup et agissent peu. Ils bombent le torse face à la Russie et se couchent devant Israël. Cette attitude, dénoncée comme un « deux poids deux mesures » devient de plus en plus injustifiable et intolérable.
Tout le monde sait et nous regardons ailleurs. Il y eut des moments de l’histoire où beaucoup ont dit : « On ne savait pas ». C’était une époque où les médias étaient balbutiants, on peut donc laisser une place pour le doute.
Aujourd’hui nous ne pouvons plus nous voiler la face.
J’ai peur que cela ne nous soit comptabilisé avec des intérêts dont nous ne soupçonnons pas le montant.
Le ministre a souligné ce matin que l’appel (royal et européen) porte sur « le droit humanitaire ». Nuance. Mais que l’unanimité n’est pas faite, ni au sein du gouvernement ni au sein de l’Europe, pour agir. Impuissance…
Ma foi, une bonne analyse, bien balancée/nuancée….Vive le Roi…^!^…
https://www.lalibre.be/debats/opinions/2025/07/22/un-roi-postnational-4JRFTBLKCZBQPNLCIEDQPOCR64/
Encore et toujours GAZA…. ( avec tout mon respect/admiration pour l’héroïque résistance du peuple ukrainien … malgré, en rappel vital, un rapport ultra-défavorable de populations … 30 millions contre 140… )
Constatons que le Roi n’a rien dit sur les otages toujours détenus par les terroristes, qui , en les libérant , enlèveraient toute justification à cette guerre.
@Hadrien
Et si la plupart des otages toujours détenus par les terroristes n’étaient plus que des « disparus »(pour ne pas évoquer l’horrible image de cadavres déssèchés,démembrés,éparpillés parmi les décombres )?
Ceci expliquerait peut-être la réticence du Hamas et d’Israel à avouer/reconnaitre leur défaite…
Car dans la guerre, il n’y a que des perdants…
Pourquoi le territoire de Gaza est-il interdit aux journalistes? Pourquoi l’extermination de tout ce qui y bouge(à commencer par les journalistes locaux, particulièrement visés) devient-elle aussi urgente?
« Pourquoi l’extermination de tout ce qui y bouge(à commencer par les journalistes locaux, particulièrement visés) devient-elle aussi urgente? »
1) 2.5 Millions de personnes survivent à Gaza, +- 50.000, dont des terroristes qui se cachent selon leur habitude parmi les civils seraient morts. Difficile de parler d’extermination urgente de « tout ce qui bouge ».
2) Les informations qui nous parviennent sont principalement de deux sources (et affidés): Le gouvernement Israélien que je ne crois pas et les terroristes du hamas, qui mentent et sont tout à fait capables de fabriquer les martyrs à leur cause.
Ceci dit, si le Roi tente l’équilibre entre les deux, je déplore que la politique belge le dissuade de parler des otages israéliens.
Très bonne allocution. Souhaitons que cela soit suivi avec beaucoup plus d’effets de la part des pays européens et de la France. Une « honte »…Et qui porte un effet sur tous les pays du monde, car l’injustice ici contamine l’injustice là….
GAZA , toujours et encore. Attention… émotion!
————————Médiapart du jour—————————–
Chronique de Gaza Chronique….Quitter Gaza pour la venger
La journaliste et poétesse palestinienne Nour Elassy vient d’être évacuée de Gaza . Dans sa nouvelle chronique écrite à Paris, elle raconte la douleur extrême de quitter les siens ainsi que son périple jusqu’à la France. Elle fait une promesse : venger Gaza.
» » « J’écris ceci depuis Paris, avec sa pluie de juillet qui arrose doucement mes joues. Comme si elle s’excusait pour moi de la douleur que je ressens. Comme si elle pouvait sentir à quel point je suis fragile, après avoir quitté tout mon monde pour poursuivre mon rêve.
Les jours précédant l’évacuation ont été les plus sanglants que nous ayons jamais vus. Le ciel brûlait plus fort. La terre s’est fissurée plus profondément. Le nombre de bombardements, d’ordres d’évacuation et de massacres a dépassé ce que l’on peut compter.
Le consulat français a déclaré qu’il était temps d’évacuer, pas parce que c’était sûr, mais parce qu’Israël avait finalement donné son autorisation, et nous avons déménagé à Deir al-Balah pour attendre le départ.
Je n’ai pas dormi. J’ai regardé ma famille respirer, mémorisant les voix des miens comme si elles allaient disparaître. Parce qu’elles allaient disparaître.
J’ai quitté Gaza sans rien d’autre que les vêtements que je porte, ma carte d’identité et la douleur insupportable de savoir que ma mère et ma petite sœur, tout mon monde, resteraient derrière, dans une guerre conçue pour nous effacer.
Les discussions sur un cessez-le-feu imminent et les grands espoirs de mettre fin à cette guerre m’ont rendue un peu plus calme, mais aujourd’hui, ces mensonges sont gelés. C’est un spectacle récurrent, et nous tombons dans le panneau à chaque fois. Non pas parce que nous sommes idiots, mais parce que nous sommes désespérés.
Le consulat de France nous a dit quelques jours avant : « Préparez-vous, si vous voulez toujours partir. » Pour poursuivre mes études, j’ai été admise à étudier les sciences politiques à l’EHESS (l’École des hautes études en sciences sociales) à Paris.
Comment plier ses souvenirs dans un sac à dos que l’on n’a pas le droit de porter ?
Les cils de ma sœur, le regard de ma mère
La nuit précédant mon départ, j’ai essayé de mémoriser les cils de ma sœur. J’ai dormi entre elle et ma mère, toutes enlacées comme si c’était la dernière fois.
Une grande partie de moi et d’elles voulait tellement le nier.
Elle était silencieuse. Trop silencieuse. Ce genre de silence terrifiant que font les enfants lorsqu’ils en savent plus que ce que vous voulez qu’ils sachent.
Elle m’a juste regardée et m’a serrée encore plus fort dans ses bras. Et ce regard me suivra plus longtemps que cette guerre.
Quant à ma mère, je n’ai pas la force d’écrire cela : je ne peux pas oublier son regard et la façon dont elle a pleuré de tout son cœur en me poussant hors de la pièce pour partir.
Je suis partie comme une voleuse, non pas en volant, mais en laissant derrière moi tout ce que j’aimais.
Nous avons attendu à Deir al-Balah, où nous avons été forcés d’évacuer ; on nous a dit que le Sud était plus sûr. Au point de rencontre convenu par le consulat, nous nous sommes regroupés avec d’autres personnes choisies par compassion. Trente d’entre nous, peut-être plus.
Je n’ai même pas été autorisée à emporter le carnet de poésie que j’avais rempli pendant la guerre, celui que ma sœur m’avait offert.
Chacun d’entre nous porte des histoires qu’il n’aura jamais fini d’écrire. Nous sommes montés dans les bus comme des fantômes portant des corps, chacun avec des yeux pleurant, bouffis de n’avoir pas dormi, plus tristes et plus confus les uns que les autres.
Je me suis assise près de la fenêtre et je me suis forcée à regarder, à assister à la mort de ce qui était ma maison.
Rafah.
Ou ce qui était Rafah.
Tout avait disparu. Aplati dans une architecture de silence. Des os en béton. Du linge brûlé. Même les oiseaux volaient plus bas, comme s’ils étaient en deuil.
Les camions bloqués là
Je n’ai pas de mots pour décrire l’ampleur de la destruction – et la méconnaissance que j’en avais – sur la route menant à la frontière de Kerem Shalom-Abu Salem. Je n’en croyais pas mes yeux, on aurait dit un film sur la fin du monde, mais ce n’était pas le cas.
Puis nous sommes passés devant les camions, les camions d’aide humanitaire.
Alignés comme des accessoires sur une scène de crime. Il y en avait des dizaines.
Remplis de nourriture. De farine. D’eau.
Parqués à quelques mètres du cadavre de Gaza, ils n’ont jamais été autorisés à y pénétrer. Le pain pourrit pendant que les enfants dans les tentes font bouillir de l’herbe pour le dîner.
Comment appelez-vous cela, si ce n’est un crime de guerre ?
Ce n’est pas un siège. C’est la famine en tant que politique étrangère.
C’est le meurtre par la paperasserie, signée à Washington, appliquée à Tel-Aviv et dont l’Europe est témoin.
Nous avons atteint le poste de contrôle. Après avoir vérifié nos identités, les soldats israéliens nous ont attendus, fusil à la main, comme si nous étions la menace et non les victimes. Ils nous ont dit : « N’apportez rien. » Pas d’ordinateurs portables. Pas de livres.
Je n’ai même pas été autorisée à emporter le carnet de poésie que j’avais rempli pendant la guerre, celui que ma sœur m’avait offert pour mon anniversaire. Les mots, apparemment, sont trop dangereux pour l’occupant.
Ils nous ont fouillés comme si nous portions des bombes ; pas de chagrin.
Ils ont touché notre dos, vérifié nos chaussettes, scruté nos yeux. Un soldat, si c’est ainsi que l’on peut décrire un criminel, a regardé un étudiant qui voyageait avec nous et a commencé à l’interroger sur l’endroit où il vit et sur ses connaissances.
L’équipe du consulat a vérifié nos noms à nouveau et a été si gentille et chaleureuse. Elle nous a donné de la nourriture et nous a informés que leur équipe de l’ambassade de France nous attendrait à notre arrivée en Jordanie.
…(…)…
Nous sommes passés dans les territoires palestiniens occupés.
Quatre heures à travers une terre que je n’avais jamais vue.
Parce que nous sommes de Gaza. Nous n’avons jamais vu notre propre terre. Le reste de la Palestine nous a toujours été interdit.
Et pourtant, c’était là : des montagnes. Des vignes. Des collines couvertes d’oliviers. La mer Morte et, enfin, les stations balnéaires. Les hôtels cinq-étoiles, les Européens qui bronzent en bikini alors qu’à trente kilomètres de là, des enfants sont enterrés à plusieurs sous une tente.
C’est le théâtre cruel de l’occupation : génocide en Méditerranée, cocktails dans la mer Morte.
Nous avons été installés dans un hôtel à Amman, à l’InterContinental Jordan, un hôtel magnifique, dont tous les frais étaient couverts par la France. Il y avait tout ce dont on pouvait avoir besoin, mais jamais ce que l’on voulait.
Chaque nuit, je fixe le plafond et me demande : les ai-je trahis ? Ai-je abandonné ma mère, ma sœur, mon peuple ?
Nous y avons passé deux nuits, du mercredi 9 au vendredi 11 juillet à l’aube. Ce furent deux jours entiers de silence et de solitude dans une chambre d’hôtel très luxueuse. Nous avons été conduits de l’hôtel à l’aéroport, avec beaucoup d’attente et de vérifications, pour finalement être mis dans un vol pour Paris.
C’était la première fois que je prenais l’avion. J’ai été très malade tout en m’émerveillant de l’immensité du monde. Et de la manière dont un minuscule morceau de terre a permis au monde entier de se réveiller et de comprendre à quel point il se trompait.
Nous avons atterri à l’aéroport Charles-de-Gaulle. Nous avons été contrôlés une nouvelle fois et nous avons obtenu un visa d’étudiant. Mes grands amis m’attendaient avec les plus belles fleurs et une accolade très chaleureuse.
Me voilà à Paris désormais.
En sécurité. Je dors dans un lit chaud très confortable.
Et chaque nuit, je fixe le plafond et me demande : les ai-je trahis ? Ai-je abandonné ma mère, ma sœur, mon peuple ?
La culpabilité me brûle l’estomac et m’empêche de garder quoi que ce soit à l’intérieur, que ce soit de la nourriture ou des larmes.
Mais je sais ceci : je n’ai pas quitté Gaza pour l’oublier. Je l’ai quittée pour la venger avec la langue, avec la politique, avec une mémoire plus vive que les balles.
Je suis partie pour apprendre la langue des tribunaux qui ne nous ont jamais sauvés. Pour utiliser leurs propres outils afin de graver, à nouveau, notre nom dans l’histoire.
Vous, dans vos ambassades, vos salles de rédaction et vos studios de télévision, vous entendrez parler de moi. Je ne serai pas votre histoire à succès, je serai votre miroir. Et vous n’aimerez pas ce que vous y verrez.
J’ai quitté Gaza sans rien. Pas de sac. Pas de livres. Pas de cadeau d’adieu. Seulement de la rage. » » »
Nour Elassy
——————————Merci Nour, merci MDP…^!^… —————————-
un « doublon » dans l’ensemble…. mes regrets…
Aujourd’hui 22 juillet… les gazaouïs « invités » à aller manger du sable… RAS de « spécial »… la routine … SAUF que…. (lire attentivement ce contenu sans équivoque) cette fois « on » est en plein dedans… :
Ce même soir… le « journal » de 20h00 français commence par…. par….???
+++ TF1 : images atroces de malnutrition, de blessures et de morts à Gaza…
+++ FR2 : ‘victoire’ française dans le cyclisme au Ventoux …
(( Les « zéléments de langage » suggèrent d’affirmer qu’ ainsi « on » attire le ‘chaland’ pour les images/commentaires suivants… (parce qu’il ne « zappe » pas (par lassitude ou désintérêt…)) ??
En apothéose………. : https://www.rtbf.be/article/expulser-deux-millions-de-gazaouis-vers-la-libye-l-ethiopie-et-l-indonesie-un-plan-d-israel-11579167
Bon anniversaire Paul Merci encore pour le navire du blog, qui nous aide à traverser les temps qui sont les…
@alvin 18h30 écrit : … » j’ai donc bien compris que je suis un indésirable en sursis » … Erreur, camarade,…
Ce même soir… le « journal » de 20h00 français commence par…. par….??? +++ TF1 : images atroces de malnutrition, de blessures…
Aujourd’hui 22 juillet… les gazaouïs « invités » à aller manger du sable… RAS de « spécial »… la routine … SAUF que…. (lire…
Vous avez raison : ce ne sont pas quelques misérables 79 années qui parviendront à me rendre vieux ! Merci…
Donc c’est votre anniversaire M Jorion et bien bonne fête. Lorsque j’ai vu la date je me suis dis houlà…
@Grand-mère Michelle, « Vous seriez surpris, si vous sortiez un peu de votre « milieu »(intello?), si pas de votre «…
Vous êtes très aimable, merci. Guérassimov, ce n’est pas cela, c’est s’insérer dans tous les débats sensibles d’une nation ennemie…
Cherchez l’erreur …^!^… : https://cdn.pixabay.com/photo/2017/06/27/14/38/anniversary-2447517_1280.png
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