Ray Liotta, qui incarna au cinéma avec le même remarquable talent des mauvais très méchants et des méchants très mauvais.
Ici dans Something Wild (1986) de Jonathan Demme contre (plutôt que « aux côtés de ») Melanie Griffith et Jeff Daniels.
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Ray Liotta, qui incarna au cinéma avec le même remarquable talent des mauvais très méchants et des méchants très mauvais.
Ici dans Something Wild (1986) de Jonathan Demme contre (plutôt que « aux côtés de ») Melanie Griffith et Jeff Daniels.
sans oublier « les affranchis » … le bad du bad !
Les affranchis = Goodfellas (1990) de Scorsese.
merci bien,
pour ma part, je regarde rarement les VO, c’est bien dommage car parfois le doublage est catastrophique, mais je suis pas assez doué avec la langue de Shakespeare…
L’année suivante mourait Klaus Kinski , un autre bad boy à l’écran comme en ville ( et un bon numéro pour un psychanalyste et psychiatre ) .
À la suite de l’accord très favorable aux salariés, intervenu récemment à la SNCF, le ministre Clément Beaune tord le…
Constat lucide, la gauche s’est assoupie et a raté le virage d’un siècle qui changeait radicalement. La production, la mondialisation,…
@Garorock Dans une civilisation musulmanre les non-musulmans paient la taxe pour être acceptés, c’est aussi une pression de conversion, une…
Ils viennent de remplacer le mot « emploi » par le mot « travail », Gaston, c’est pas pour nous faire chômer 5 jours…
« 1. devant l’existence dana la nation d’une importante communauté de foi musulmane, la gauche française est plongée depuis 80 ans…
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Notre poids gourmand pèse sur l’agneau pascal et le fait flageolet.
Quand on est à consacrer chaque année l’équivalent de 38% du PIB de 1973 pour subventionner la croissance et l’emploi,…
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