Il faudra que j’écrive un beau billet (plus que ces trois lignes) à propos d’une actrice extraordinaire qui vient de disparaître mais dès la nouvelle connue, je place un signet.
*Godot est mort !*
Il faudra que j’écrive un beau billet (plus que ces trois lignes) à propos d’une actrice extraordinaire qui vient de disparaître mais dès la nouvelle connue, je place un signet.
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18 réponses à “ELIZABETH TAYLOR (1932 – 2011)”
Décidément, nous en apprenons plus, même sur des sujets généraux, en fréquentant votre blog, que par tout autre canal médiatique…
En attendant votre hommage, merci pour ces deux extraits de films.
http://www.youtube.com/watch?v=19SwlnXX-R8
bloquer chez moi (Belgique! )droits d’auteur.
merci quand même
Liz et Richard :
http://www.acertaincinema.com/workspace/media/taylor-burton-sandpiper_opt.jpg
http://www.hollywoodyesterday.com/ET-6.jpg
merci pour les belles photos..
J’ai pas compris ce qu’elle a trouvé en M. Jackson?serais ce un sentiment maternel ?
Elle avait de si beaux yeux, elle avait bien joué dans de très nombreux films de guerre ou pas mais hélas une autre grande étoile du cinéma qui disparaît. Tant de jeunes filles, tant de jeunes gens et qui en ce temps là recherchaient souvent à se faire belle ou beaux pour aller voir le nouveau grand film du moment, c’était par exemple Cléopatre et les Pharaons ou encore autre chose à la dernière séance, le moment est proche à l’image, où ils iront certainement encore plus loin dans le fait de rendre meilleur hommage ou pas envers ceux et toutes celles qui ne peuvent plus guère nous amuser et nous divertir en société.
Et plus ça va vite et plus on se souvient déjà plus de la dernière semaine passée, vous verrez même les grandes Dames plus personne n’y fait mieux attention de s’en rappeler de nos jours.
« Géant », voilà un film que j’ai toujours attendu de revoir.
Époque pendant laquelle tout était encore possible.
Merci pour l’extrait.
ce que vous dites
Époque pendant laquelle tout était encore possible.
voila
et maintenant ?
Il parait qu’une grotte en Grèce,mais c’est des « on dits »
rien à perdre ,rien à gagner mon cher enfoiré c’est le jeu au casino ou les gagnants sont tristes..
Salut Regoris,
Exact. « Geant » est sorti en 1956. Le cachet d’Elisabeth s’éleva à 175.000 dollars.
Cléopatre en 1963, ce fut la première à recevoir 1 million de dollars.
Des dollars qui n’étaient pas dévalués.
Ce n’était pas du casino.
« Les Pierrafeu », son dernier en 1994, 2,5 millions de dollars.
Huit mariages, faut vraiment le vouloir.
Ah ! Les US et les cowboys mythiques des grands espaces, grandiose.
Du fait de ses dernières entreprises, N Sarkozy a été adoubé cowboy, en français « vacher » ça sonne moins fort. La vie politique américaine est étonnante, vue par un français.
Vacher reste une triste célébrité par chez nous ; il est temps de ramener les brebis égarées…
il paraît que Liz taquinait du goulot, sacrée femme !
la je suis prêt à dormir ..
Une actrice belle ,merveilleuse qui abandonne ses films ??
c’est Impardonnable..
On en reparleras ………………………
oui ok la sortie ?
merci
je sort
Finalement Elisabeth Taylor représentait tout ce que l’on adore et déteste dans l’Amérique.
Une envie d’entreprendre mais un arrivisme destructeur.
Une forte personnalité qui s’avère être un colosse aux pieds d’argile.
Une richesse inouie qui ne compense pas une incessante recherche d’amour .
Une indépendance qui se paie en comportements auto-destructeurs.
Elisabeth Taylor représentait à elle seule le système hollywoodien et pourtant lui donnait des sueurs froides.
Elle se montrait capricieuse tout en étant extrêmement généreuse et humaine.
Je retiens surtout sa prestation dans » reflets dans un oeil d’or » de John Huston et puis
Virginia woolf ( dans lequel le couple Burton Taylor se montre tel qu’à la ville , un peu comme celui formé des années plus tard par Scorcese dans » Eyes Wide Shut » par Kidman et Cruise)
ha oui?? Une richesse inouie qui ne compense pas une incessante recherche d’amour . celle-ci, faut pas pousser
L’alcool c’est comme l’argent et le pouvoir plus on y prend goût et plus cela devient difficile
de s’en passer, c’est comme les nouvelles du monde. Trop grande réussite peut également amener plus grand revers, ne plus se sentir aimer, aduler, regarder, écouter, là évidemment c’est bien plus dur à dépasser et à récupérer ensuite. Peut-être bien plus difficile à gérer courageusement pour une femme que pour un homme aussi malin et cartésien soit-il en société, un jour vous brillez, vous vous sentez même tout puissant et puis bizarrement c’est déjà beaucoup moins le cas quelques temps après, ça aussi personne n’y échappe. Et une autre grande étoile du cinéma qui n’est déjà plus là, alors que la détresse est déjà si grande sur terre, comme si le grand cinéma du monde se révélait en fait de plus en plus éphémère, faut pas trop dormir non plus devant la télé et les infos lorsque vous sentez venir de plus en plus le réchauffé.
Pour la 1ère vidéo, excellent choix en ce qui me concerne. C’est effectivement dans Qui a peur de V. Woolf ? qu’E. Taylor m’a le plus marqué. La fureur, la destruction, la folie. A croire qu’elle ne joue plus.
Et merci, Paul, pour la conférence de ce soir !
SES YEUX.
L’iris de ses yeux
Est le disque d’accrétion
L’impitoyable entonnoir
Où mon être s’engouffre
Désintégré mille fois
Et tombe dans le trou noir
De sa pupille au centre.