*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Le spectre de Lehman Brothers
La zone euro
Le bancor
Convaincre les Américains de la fin du dollar
La situation précaire de l’économie américaine
Le crédit et la complexité
Mon billet du 15 septembre 2008 : « On ne va pas pouvoir rabibocher »
Les institutions !
Ayant un faible pour Sophie Binet, je me demande bien ce que doit dire la CGT 222.0 (celle que nous…
On risquerait d’écrire une boulette (keftedes d’Egée ou de Thessalie , köfte de Thrace orientale, de Lydie ou d’Anatolie, voire…
Notre poids gourmand pèse sur l’agneau pascal et le fait flageolet.
Quand on est à consacrer chaque année l’équivalent de 38% du PIB de 1973 pour subventionner la croissance et l’emploi,…
aahhhh qu’est ce que ça fait du bien de lire des trucs comme ça !!!! oui !! mille fois oui…
A ce propos, je viens de vous citer dans un article du Monde (sur le crime organisé en Europe !)…
Ordinairement, dans le cas d’un compte-rendu, c’est une publication qui vous aborde en disant : « On a reçu ce livre,…
ok
De quelle gauche on parle, celle qui accompagne le système capitaliste et qui demande simplement de desserrer les chaînes ou…
« On peut le faire à travers les écrans ou en considérant que « time is money ». » J’ai bien peur…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
254 réponses à “FLASH SPÉCIAL Crise de la dette publique US – Veillée d’armes”
Les échanges suspendus à la Bourse de Tel-Aviv après une chute de 6%.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20110807.OBS8221/les-echanges-suspendus-a-la-bourse-de-tel-aviv-apres-une-chute-de-6.html
Quand la bourse monte trop je n’ai jamais constaté que l’on suspendait les échanges,toujours aussi étonnant le capitalisme non?
Factuellement, je me demande si toutes les Bourses ne vont pas provisoirement fermer. Ou on nous annoncera un bug informatique pour motiver un arrêt des transactions, afin d’arrêter l’emballement, une manoeuvre de retardement en somme.
Pour le bug informatique, nous avons finalisé récemment les tests en réel, tout est prêt.
Cordialement,
l’équipe informatique NYSE-Euronext.
Pousser le bon peuple à produire encore plus de richesses, par la règlementation, l’incantation, certains aveugles le feront même volontairement, afin de payer les erreurs du passé, est, pour l’instant, la seule voie dans laquelle s’engagent nos dirigeants.
Nulle part il est fait acte d’un quelconque début de changement de l’ordre établi.
P J a pourtant bien raison en affirmant que les institutions se doivent d’être le fer de lance du nouvel ordre mondial.
La seule question est de savoir QUI est capable d’en être le leader et l’animateur ?
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=caf74e1755048468ad5cf4127e965e69
A 12 h 15 heure local le TA100 perdait 6,6 %.
Et grand merci bien sûr pour cette intervention du dimanche et les précédentes à Paul Jorion qui fait du bon boulot !
Un avant goût pour demain ?
Le Marché s’affole…suspendons-le !!!
Moi qui croyait encore à l’autorégulation, la main invisible et tout et tout 😉
La Main invisible distribue des grandes taloches et de gros coups de poing
La main invisible, de mon temps on appelait ça les pick-pockets, mais ils ne déshabillaient pas leurs victimes.
Merci beaucoup Paul!!! Mais je t’en prie, dors un peu!!!
Paul, repose toi non de non!! la semaine à venir va être très fatiguante. Amitiés
La solution est de toute façon politique. En cela, j’admire l’argumentaire de S&P. Il est dommage que l’agence ait fait une erreur de calcul au départ, offrant aux détracteurs l’occasion de ne se focaliser que sur cette dernière et d’affirmer l’amateurisme de cette agence. Comme si une prévision économique était fiable …
Parmi les solutions à envisager dans l’immédiat, outre l’interdiction de faire des paris sur la fluctuation des prix, il y a aussi la fixation du prix qui embrume singulièrement les choses. Depuis le big-bang financier de 1986, tous les pays ont adopté le mode anglo-saxon permettant une cotation en continu. Chaque opération mène à un prix. Ce système attise par conséquent les fluctuations et ne tient nullement compte du volume. Il est en effet aberrant de se fier à un prix issu d’une opération concernant une unité négociée pour valoriser la totalité des unités en circulation. Ce genre de prix provient toujours d’un rapport de force qui, dans le domaine financier, penche toujours en faveur des teneurs de marché, donc des banques.
Lors des adjudications d’emprunts d’état, comme vous l’avez souligné précédemment, on rassemble la totalité des offres et détermine le prix en fonction de la demande requise. Il s’agit donc d’une seule opération regroupant la totalité de la demande et, selon le mode d’adjudication, tout le monde payera le même prix.
Sur le marché secondaire où les emprunts d’état se négocient quotidiennement, le prix s’établit en continu et si le marché est étriqué ou tendu, le mouvement amorcé s’amplifiera au fil des opérations successives, par simple mimétisme.
La solution à envisager pour remédier à cette dérive est de revenir au fixing, séance unique où on rassemble tous les ordres d’achat et de vente jusqu’à une heure déterminée, en déduit le solde et, en fonction de celui-ci, établit le prix valable pour la totalité des ordres retenus. Ce système, nettement plus équitable, éliminerait des rapports de force disproportionnés, réduirait sensiblement les fluctuations intempestives des prix, permettrait aux instances tutélaires ou de surveillance un contrôle plus direct et aux gouvernements une maîtrise plus grande. Bref, assagirait les marchés financiers.
On pourrait, de plus, interdire aux teneurs de marché d’intervenir pour leur propre compte et les contraindre de n’assumer que la fonction de commissionnaire. Cela les empêcherait d’influer sur la tendance et, a fortiori, sur le prix. On pourrait aussi envisager l’introduction de quotes-parts pour placer chaque opérateur sur un pied d’égalité.
Enfin, un message sur la bourse sérieux et documenté.
Rien avoir avec un bourseux voulant nous imposer son anxiété…
Reste une question préalable: n’est-ce pas trop tard
et surtout trop parcellaire?
A quoi bon restaurer une fonction de ce système
alors que par ailleurs la totalité n’est pas viable?
L’ensemble des activités économiques ( et politiques)
ont été modifiés ou réorientées en vue d’avantager
la finance. La bourse n’en est qu’une partie.
Les critères que l’on peut tirer de l’évolution d’un cours
boursier ou de la bourse en entier sont trop
fragmentaire ou à courte vue, c’est bien connu.
Qu’un signal négatif parvienne de ce dispositif
supposé fonctionnel ou au contraire défectueux
n’a pas grande importance. Il existe de nombreux
indicateurs dans d’autre domaine qui vont dans le même sens.
Ils permettent de se faire une idée de la tendance.
Et bourse ou pas bourse, la tendance est à la chute.
Plutôt que de gaspiller de l’énergie à réformer un truc
(je dis truc) accessoire et qui opposera par principe une résistance
farouche, il vaudrait mieux se préoccuper des conséquences
sociales de la chute en cours.
(Ce qui précède ne vise à vous décourager. Toute info
sur la bête est bonne à prendre.)
Certes, mais ne rejetons pas la fonction économique des marchés (financiers ou non, pas Bourse uniquement) actuellement usurpée par quelques institutions privées qui y font la pluie et le beau temps. Sinon, il faudra instaurer des organes qui se chargeront du négoce et qui finiront eux aussi par fixer des prix de façon arbitraire.
Si on accepte que dans tout négoce, les parties doivent se rencontrer et convenir d’un prix, mieux vaut créer une institution (marché) où la procédure est réglementée de telle façon qu’aucune partie engagée ne puisse profiter de l’autre. Aujourd’hui, les prix financiers se font à la tête du client et n’ont plus rien à voir avec le rationnel. Le prix d’un bien, que ce soit un emprunt d’état, une action d’entreprise, un taux de change ou quelque denrées ou produits manufacturés, ne peut varier de plusieurs pour cent d’un instant à l’autre. Ce n’est pas parce que le cours d’une obligation d’état chute de 10% par exemple, suite à une vente précipitée d’un porteur, que toutes les obligations se retrouvent logées à cette même enseigne. Cela n’a pas de sens économique. Or, tous les raisonnement des économistes se basent sur ce genre d’ineptie.
Alors, en attendant de refondre le système en profondeur et en vue de réduire autant que faire ce peut l’irrationalité (l’exubérance, diront certains) des marchés, mieux vaut restreindre leurs agissements nocifs pour se donner du temps et penser la nouvelle économie en toute tranquillité.
La réintroduction du fixing atténuerait d’emblée la fluctuation intempestive des prix à laquelle on est soumis de nos jours. Le fixing n’influerait aucunement sur la tendance générale, mais il écarterait un tant soit peu les manipulations spéculatives qui empestent les marchés actuellement. Et je préconiserais la scission des fonctions de telle sorte qu’aucune partie engagée sur un marché ne possède un avantage sur les autres. Un vendeur restera vendeur durant la séance, l’acheteur acheteur, le teneur de marché récoltera les ordres et les classera en vue d’en déterminer le solde puis un commissaire se chargera de ‘fixer’ le prix. Par après, une autre institution se chargera de dénouer les opérations. En cloisonnant convenablement le tout, la transparence tant souhaitée deviendra effective.
A titre informatif, nos chères banques ne veulent pas qu’on s’immisce dans leurs affaires et négoces en tout genre, mais elles sont particulièrement pointues quand il s’agit de dénouer les opérations qu’elles entreprennent. Elles veillent à ce que la traçabilité soit effective et que les liquidations se déroulent selon des procédures strictes. Pourquoi ne pas appliquer de tels procédés en amont ? Tout est déjà en place. Il suffit d’un moment de courage politique pour l’imposer.
Le Japon est le pays le plus endetté au monde,loin devant le Zimbabwe, avec une dette représentant en 2010 225% de son PIB ( 189% en 2009 et 177% en 2006)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_pays_par_dette_publique#Dettes_des_pays_en_2010
Le Japon a une dette notée AA- .
Ce pays a subit en 2011 un tsunami et une catastrophe nucléaire et vit une période de déflation depuis les années 1990.
A la fin des années 80 il y avait une gigantesque bulle immobilière et boursière qui s’est résorbée depuis . Le Nikkei était à 40.000 points fin 1989 . Il est aujourd’hui à 9300 points
Il est en crise démographique avec une population viellissante et en diminution avec 127 millions d’habitants contre 128 il y a 6 ans.
Le Japon est toujours debout , n’est pas en faillite et le gouvernement japonais doit même intervenir sur le marché des changes pour affaiblir le yen qui devient une valeur refuge comme le franc suisse.
Ne peut-on pas imaginer un scénario à la japonaise sur la décennie à venir pour les USA et les pays occidentaux au lieu d’un scénario catastrophe ?
Vous leur souhaitez une baisse de la démographie, des accidents nucléaires et des tsunamis ?
mais le scénario à la japonaise est en soi une catastrophe…une lente catastrophe…ce pays est en train de mourir lentement mais sûrement…par ailleurs, la dette japonaise est en grande partie possédée par les résidents japonais…ce qui fait du problème de la dette japonaise un problème domestique…les démographies des USA ou de la France (ou de la GB) sont bien plus dynamiques que celle du Japon…et qui sait ce qu’il adviendra de la région de Fukushima…
La dette japonaise est financée par les Japonais. Seulement 8 % de cette dette est empruntée à l’étranger.
on parle beaucoup de la chute de la bourse isarélienne, on ferait mieux de parler des manifestations (dont la dernière a rassemblé 300 000 personnes) où les sujets abordés sont :
la vie chère
le retour de l’état providence
l’arrêt des privatisations etc.
Partout dans le monde la demande de la majorité des peuples est à l’inverse de ce que quelques uns veulent leur imposer sous le couvert plus que douteux du sauvetage de l’économie ….
Une seule solution : prendre la rue, comme ils le font !
Je maintiens, vous êtes fatigué et vous devriez vous reposer sinon c’est un krach cardiaque qui vous attend !!! 😉
Il n’y a pas de krach cardiaque pour un homme de cœur et d’esprit.
Sans vouloir dégrader la note de Paul, il a quand même des petits yeux. Allez, repos obligatoir !
« Nous avons toute la mort pour nous reposer. »
Mais c’est peut-être aussi un encore plus long voyage ?
Exemple des effets délétères du rabibochage, le 5 aout Le Monde publiait qu’après 9 mois de hausse d’affilée, « Le recours des Américains au crédit à la consommation a augmenté en juin à un rythme jamais vu depuis le début de la récession… » et « Selon les données mensuelles de FirstData […] les consommateurs américains ont financé depuis le début de l’année une part croissante de leurs achats de biens de première nécessite et d’essence par l’emprunt… »
Ainsi, le mécanisme pervers consistant à pallier le manque de pouvoir d’achat du consommateur US par le crédit afin a) de lui conserver son rôle de consommateur de dernière instance et b) produire toujours plus de dettes écoulées dans un marché deja hypertrophié a perduré. Le rafistolage a donc permis de ne pas appliquer un remède qui évidemment ne faisait pas l’affaire de tous : trouver un nouvel équilibre redistributif redonnant aux ménages US de la solvabilité.
A mon avis, nous avons là un des grains de sable dont nous parle si bien Paul Jorion. Une hausse même modeste des taux de crédit dans un tel contexte (conséquence de la perte du AAA) aurait un effet majeur sur la conso US, qui continue à absorber une bonne part de la production mondiale. Ça donne quoi dans les pays exportateurs et détenteurs d’avoirs américains dévalués ?
Et si les surplus financiers des… Euh pardon, du pays exportateur fondent en meme temps que baissent ses exportations, sera-t-il disposé à racheter de la dette européenne ? Et quel effet cela aura-t-il sur la consommation européenne soumise à un surcroit d’austérité ? Et l’effet de la baisse de la conso européenne sur notre fameux pays exportateur ? Bon j’arrête là, comme disait Coluche : « la société est une chaine, salut les maillons ! »
Tiens, il disait aussi autre chose, Coluche, à propos du crédit : « j’ai trouvé une combine, j’achète tout à crédit. Y a des fins de mois, tellement je touche peu, je sais même pas si je bosse ! »
Depuis le temps, ce foutu système d’austérité s’est installé dans nos têtes et nos pratiques. Depuis au moins une vingtaine d’années, je constate l’appauvrissement populaire des gens qui ont un job. Il faut regarder l’intergénérationnel dans une famille. Les vieux qui doivent aider ( donc qui s’appauvrissent) les jeunes, ceux-ci dont les salaires sont bas ou qui sont au chômage, ou encore qui restent plus longtemps à charge des parents.
Je constate aussi que toutes les structures de solidarité marginales comme les coopératives ont disparu, soit déclassées par le totalitarisme économique ou en cas de succès reprises par des banques ou sociétés privées. Sans parler aussi de la disparition des petits commerces de proximité dans les quartiers résidentiels et les villages. Il faut donc une voiture pour participer à la grand-messe hebdomadaire des courses au supermarché d’un zoning commercial. Essayez de porter un casier de bière ou 5kg. de patates en transports en commun !
Toute l’organisation pratique de notre vie domestique s’est ajustée sur le système imposé. C’est pour cette raison que le changement sera malaisé, non seulement les profiteurs-décideurs sont acculés à un changement fondamental mais aussi les classes populaires.
Actuellement, la mobilité sociale ( ascenceur social) est devenue de l’immobilisme ou de la régression, tellement la compétition a été sacralisée à tous les niveaux. Maintenant l’idole dévore ses grands prêtres aussi.
Les flagellants se pointent dans le désarroi de la crise, d’autres manifestations irrationnelles sont prévisibles.
Dans ce contexte, la déconstruction de l’Etat national est une aberration. Oui il est l’otage du monde financier mais il reste une structure démocratique susceptible de transformation ordonnée.
Madame, permettez moi simplement de m’insurger contre le pseudo que vous avez choisi mais entendez également que je partage trop vos opinions pour en retrancher quoi que ce soit.
Autoriserez-moi , cependant, à ne rien laisser perdre de vos observations en y rajoutant les miennes.
Les vieux s’appauvrissent 2 fois. Une première fois parce que leur retraite est rabotée par un contexte de chômage aggravé des seniors…qui plombe le niveau de leur retraite à venir, calculé sur une durée de cotisation augmentée. Par ailleurs, pour faire bonne mesure, on prends dorénavant en compte des années beaucoup moins avantageuses.
Le modèle économique de l’armée de retraités dynamiques qui se soignent , consomment tout azimuts et créent ainsi de l’emploi tertiaire appartient au passé. L’espoir de voir nos jeunes se hisser dans la hiérarchie sociale par leurs propres mérites, se marier, procréer et accéder à la propriété a également vécu nous sommes tous d’accord.
Le modèle de développement d’une jeunesse désabusée, frustrée, confrontée à la violence sociale n’est pas vraiment étudié ou bien peut-être connait-on trop bien son aboutissement.
La déconstruction de l’état national est bien une aberration. Son inaction en est une autre.
Pour le gouvernement Irlandais l’austérité généralisée en Europe est un échec,il demande une autre politique de croissance sinon c’est la fin de l’euro.Choc frontal avec l’Allemagne en vue, en fait c’est la nelle guerre menée par l’Allemagne,économique cette fois sans tanks ou missiles.
Austerity has failed, eurozone on brink as world crisis rages.
Expert calls for Euro cord to be cut as world financial crisis rages.
http://www.independent.ie/national-news/austerity-has-failed-eurozone-on-brink-as-world-crisis-rages-2841917.html
Le pire n’est jamais décevant :
http://www.dailymotion.com/video/x31hf9_pascal-selon-tapie-et-luchini_shortfilms
Le pire n’est jamais certain !
Et quand ça n’est pas à vendre, achetez 🙂
En clair attendez vous à un rebond ENORME des bourses !!
Et si vous ne voulez pas prendre de risque, acheter quand tout sera proche de zéro.
ça y est! le troll est découvert!
Release us from age of austerity.
http://www.independent.ie/opinion/editorial/release-us-from-age-of-austerity-2841851.html
http://www.israelvalley.com/edito/32733-israelvalley-tempete-a-tel-aviv-au-stock-exchange-en-israel-la-bourse-suspend-ses-cours-un-dimanche-noir
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/la-zone-euro-contrainte-d-accelerer-le-pas-face-a-la-crise-de-la-dette-05-08-2011-1556226.php
la cocotte chauffe !
« . Jean-Michel Six a expliqué que la direction politique et la bonne gouvernance constituaient des facteurs importants d’évaluation pour son agence. »dixit Standart & Poor’s sur la note de la France
tiré du monde.fr :
http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/08/07/standard-poor-s-ne-compte-pas-degrader-la-note-de-la-france_1557086_3234.html
Une rustine…
On ne s’en doutait pas …..LOL
Direction politique ha , certes mais celle qui sert LEURS INTERETS et bonne gouvernance, ok ils visent la réduction de l’endettement mais en faveur de qui et pour continuer à enrichir qui??????
De plus , c’est biaisé : Le libéralisme est fondé sur la liberté et la redistribution, là c’est de l’accaparemment et de la confiscation !!!!!!!!!!
Je me marre, c’est vraiment le règne des communicants …………enfumeurs professionnels !
OK !
ALORS NOUS AUSSI COMMUNIQUONS et CLAIREMENT ! 🙂
Nous sommes en train de vivre des moments historiques, étonnants à plus d’un titre.
La chute de l’empire américain (et de son satellite, l’Angleterre, que je me refuse à appeler caniche eu égard à l’estime que je porte aux chiens) et la tension extrême qui pèse sur la monnaie unique.
L’allemagne n’acceptera jamais une aide de la BCE à l’Italie ou à l’Espagne. L’euro, c’est sa monnaie. Elle l’a imposée à tous les autres pays en veillant farouchement à ce que la BCE ne sorte pas des clous de ses missions.
Que va-t-il se passer quand l’Italie va être attaquée comme l’a été la Grèce, ce dernier pays représentant presque que dalle dans le poids économique de l’UE ?
La BCE n’a pas les ressources (et ne les aura pas) au passif de son bilan pour aider l’Italie.
Quant au fonds européen de stabilité financière, seul le FMI apparaît être en mesure (pour 250 ME) d’abonder pour aider l’italie nécessiteuse…Sauf si la France s’y colle (je plaisante).
Demain sera un jour bouillant…
The system is the problem. Until it changes there will be no recovery.
http://www.independent.ie/opinion/analysis/the-eurocrats-are-caught-out-as-markets-flex-their-muscles-to-show-whos-really-calling-all-the-shots-2842005.html
The way of thinking. We must come back to the fundamentals: philosophy. Our society is drowning in its moral contradictions inherited by its religious roots, while putting some ethics in this world and everything would be better.
Je ne comprends pas bien à quoi ca sert de dire qu’un endettement vaut x% du PIB…
J’ai un emprunt pour ma maison, si je rapporte le volume emprunté avec mon PIB annuel personnel, je suis endetté à hauteur de 450%, outhc, pourtant, que je sache je suis a meme de payer mes mensualités sans soucis (ahemmmm, pour le moment, on verra demain).
Ce ratio n’est il pas là uniquement pour faire peur, mediatiquement, sans raison?
Cela fait longtemps que de nombreux économistes disent qu’effectivement l’endettement d’un état n’a de sens qu’en prenant LA DIFFERENCE entre ses recettes et ses dépenses et qu’il faudrait donc revoir la méthode de calcul , mais bon, c’est comme tout , pour faire bouger les choses …
Votre emprunt est en fonction de vos revenus.
Les emprunts de l’état sont en fonction du pib (c’est comme si c’était l’agrégation des revenus de vos amis qui seront prêt à vous aider à rembourser ?).
Si on rapporte la dette française par rapport aux revenus de l’état, on est à plus de 500%.
@Daniel,
pourquoi? Les revenus de l’état ne sont pas égal au pib.
De plus, les dettes publiques ne sont pas celles de l’état, mais des administrations publiques. Vu que les administrations publiques ont des périmètres très variables d’un pays à l’autre (par exemple aux USA elles représentent environ 30% du pib alors qu’en France on est a presque 50%) comparer des ratios de dettes publiques / pib c’est comparer des pommes et des poires.
La dette française? Vous voulez sans doute parler de la dette publique française, celle des administrations publiques françaises? Alors pourquoi la rapportez vous aux revenus de l’état et non aux revenus des administrations publiques, la seule mesure qui ait un sens.
Elle n’est pas de 500% mais de 166%
Peut-être, mais vous avez probablement du adjoindre à votre prêt une assurance comprise ou pas dans les frais.
C’est dans le pourquoi de l’emprunt,vous,c’est pour un bien immo,donc un investissement durables,si vous etiez dans le cas d’un etat vous emprunteriez pour manger mettre de l’essence etc et quand ce genre d’endettement depassse les ressources…….
Parce que malheureusement il y en a toujours pour considérer que la personne morale de l’état c’est quelqu’un comme vous et moi. Il faut dire à leur corps défendant qu’il y a tellement de gaspillage d’argent public que………….
Mais bon il y a autant de gaspillage dans le privé et on paye tous aussi dégradation de la planète pour produire et jeter.
En fait les dettes des états ne sont que les impôts que ceux ci n’ont pas voulu faire payer, ces impôts sont donc dans des paradis fiscaux à la recherche de placements et comme le système est fabuleux sur un impôt absent on ajoute à ceux qui en ont bénéficié des intérêts….
Le débat se perd un peu, me semble-t-il.
En général on regarde l’importance du remboursement annuel sur le revenu annuel, donc en termes de flux et non de stock… et sans vouloir comparer un stock à un flux, ce qui est l’art de ceux qui veulent supprimer l’état et les impôts !
En général, votre banque vous autorise un prêt dont les remboursements tout compris ne dépassent pas un tiers de vos revenus… Donc si l’on voulait faire la même chose pour l’État, bien qu’un ménage n’ait rien à voir avec un État, mais bon, il faudrait donc comparer le remboursement annuel de la dette publique sur le montant des recettes de l’État. En faisant attention au périmètre concerné : administration centrale, collectivités territoriales, sécurité sociale, prévoyance… puisque ces périmètres sont différents d’un pays à l’autre et qu’en face les recettes ont des sources différentes.
Enfin, il est aussi importent de regarder le secteur des entreprises publiques (nationalisées ou non) avec leur endettement et leurs recettes en contrepartie… où l’on voit alors que le système dit de service public à la française n’avait pas que des dettes mais avait aussi des recettes pour les équilibrer. Avec la privatisation nous avons perdu les quelques dettes du service public et les importantes recettes qui sont passées dans la poche des actionnaires qui ne paient pas d’impôt ou si peu…
Déficit, vous avez dit ? Non, dette organisée depuis des décennies au profit de ceux qui maintenant prêtent de l’argent aux États ruinés. On ne le répétera jamais assez : nous ne devons rien à ces actionnaires et nous devons reprendre les entreprises publiques, les banques et autres sans indemnisation aucune, elles ont été constituées avec notre épargne collective et les actionnaires avec la complicité des gouvernants nous en ont spolié et encaissent des chaque année des sommes supérieures aux investissements réalisés.
Mesures urgentes en France : démission immédiate du président et du parlement, élections sur un programme de nationalisation (ce qui n’est pas forcément étatisation) des banques et des entreprises exploitant des réseaux (de transports, financiers, d’énergie, d’information) et la création d’un comité d’évaluation de la dette publique. Entre autres. Il est possible de compléter le programme… (pas par l’interdiction des paris sur les taux, il faut supprimer les bourses d’abord !)
Au menu du jour :
– Salade de Feta,
– Gazpacho,
– Escalope Milanaise,
– Glace Tuttifrutti
And last but not least, une bagatelle, la zuppa inglese en italien, a triffle en anglais, un diplomate en français
J’espére que ‘ Veillée d’armes ‘ , n’est pas un lapsus . La Loi de Désense militaire ( H.R 1540 ) est toujours en discussion au Congrés US . C’est l’article ‘section 1034’ qui fait froid dans le dos .
Il autoriserai le Président , contrairement à la Constituttion de déclarer la guerre , sans vote du
Congrés . Et aussi de prendre des dispositions contre la population civile , etc …et tout cela
sans fixer d’échéance . Obama dit ne pas étre demandeur . Je le crois , mais pourquoi ne s’est il
toujours pas prononcé pour un refus de cet article ?
L’ Etat U.S. dispose déjà du nécessaire, des mercenaires.
» DynCorp est une société militaire privée américaine. Elle a son siège à Falls Church, en Virginie…. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/DynCorp_International
CA ils ne risquent pas de perdre 1 point sur leurs degrés d’armement, c’est toute la création du pays qui est en jeu.
Auriez-vous un article traitant de cela ?
Ca m’interesse beaucoup, merci !
Suffit de taper H.R 1540- section 1034 sur google pour avoir toute sortes d’information y compris
le texte . Il va de soi que cela souléve beaucoup d’émoi . Il est clair que ce serait une loi
scélérate .
a confirmer ou infirmer ..mais je crois que si les zuniens ont toujours été « en guerre » depuis qqs temps c’est que ce fait permet au President de se passer de l’accord du congrés pour pas mal de décisions .
Dimanche 7 août 2011 :
Effondrement de la Bourse d’Israël :
TA-25 : chute de – 6,07 %.
http://www.tase.co.il/TASEEng/MarketData/Indices/MarketCap/IndexMainDataMarket.htm?IndexId=142&Action=1
TA-100 : chute de – 6,48 %.
http://www.tase.co.il/TASEEng/MarketData/Indices/MarketCap/IndexMainDataMarket.htm?IndexId=137&Action=2
Eh!! les banksters et autres collectionneurs de billets de banque sans odeur !! Vous croyez qu’on a que cela à faire que de courrir après les biftons ?? Supprimez donc ces choses ringardes.. et tâchez de faire en sorte que le monde soi plus vivable ??
Essayez de vivre et de vous émerveiller de ce qui vous entoure, au lieu de compter fébrilement, avec des gouttes de sueur au front, les liasses de billets sous la couette tous les soirs …
On s’en fiche des billets de banque.. ON S’ EN FICHE !!!!
Même en prêchant seul dans le désert, toute pensée, réflexion et /ou action ne sont jamais vaines.
Chacune d’elles prend vie indépendamment de son auteur et évolue de la même manière que l’effet de l’ondulation d’un galet jeté au milieu d’une mare, atteindre la rive.
Toute forme de vie au bord de celle-ci en reçoit l’impulsion, jusqu’à ce que l’intégrant, le calme et la quiétude s’installent à nouveau.
Continuez Paul, vos actions et vos propositions ferons force de loi, après qu’aucune autre alternative ne soit possible, i.e, après que tout ce soit effondré car appelons un chat un chat, c’est bien ce qui est en train de se produire présentement.
C’est le début de la fin.
« On ne va pas pouvoir rabibocher »
Cela devient de plus en plus complexe en effet pour nos dirigeants politiques et institutionnels.
À l’image de la complexité de la dette obligataire, du crédit et des rouages du second marché.
Je m’interroge en rebondissant sur ce que nous disait François Leclerc dans son dernier billet :
Tout à fait exact.
Et c’est sans doute la raison pour laquelle, les mesures de soutien à la Grèce, via le FESF, ne peut s’étendre aux autres pays du PIIGS parce que l’organe devant assurer le relève, le Mécanisme Européen de Soutien Financier (MESF) est annoncé n’être opérationnel qu’à la mi-2013.
Ce mécanisme est complexe.
Une explication éclairante :
Cela se fera via les DTS (Droits de Tirages Spéciaux) de chacun des pays membres.
Cela précipite le calendrier explicant les SMS, coups de fils privés, conférence téléphoniques … etc de ce week end.
Il va falloir rabibocher une nouvelle fois de plus au plus vite, tandis que l’étau se ressert.
Une fenêtre est donc ouverte pour que les porte-voix tel que les Jorion, Lordon, Bienheureux et Chouard pour ne citer qu’eux, se fassent enfin entendre.
Tout est donc parfait.
Rien ne sert de résister à l’inéluctabilité.
Un nouveau paradigme est en en train d’émerger, certes dans la douleur, mais c’est en marche.
« And so castles made of sand
Fall in the sea
Eventually »
Jimmy Hendrix
« Et ainsi les châteaux faits de sable tombent en mer par la suite »
Et c’est au milieu de la nuit la plus noire que commencent à pointer les lueurs de l’aube.
« And if the six turn on to be nine , I don’t mind »
8h30. «Standard and Poor’s fait l’intéressant comme un enfant». Alain Minc, économiste proche de Nicolas Sarkozy, dénonce «l’inculture» des agences de notation dans une interview au JDD. «La perte du triple A est secondaire. Les Etats-Unis demeurent l’ultime havre économique», soutient-il. Ainsi, la crise actuelle «n’a rien à voir avec celle de 2008. C’est une crise de la dette de certains pays de l’euro et non pas de l’euro qui reste surévalué face au dollar.» Pour lui, les trois racines des perturbations actuelles sont «l’irrationalité des investisseurs, l’inconséquence des banques et l’inculture des agences de notation».
alors si A.Minc dis ça!
A.Minc
Il existe une préférence française pour le chômage et l’exclusion, mais ce n’est pas une fatalité. D’autres pays ont su y échapper, soit comme les Etats-Unis et l’Angleterre, en donnant la priorité aux working poors, aux travailleurs pauvres sur les chômeurs aidés, soit comme les Pays-Bas et les pays de l’Europe du Nord, en inventant de nouvelles formes de solidarité qui, à la différence de l’Etat-Providence traditionnel, demeurent compatibles avec les impératifs de la mondialisation.
J’aime bien le « donner la priorité aux working poors ». On avance dans la bonne direction : celle de l’esclavage.
La nature m’a donné un pied : ce ne sera pas toujours pour m’enfuir.
Je viens de découvrir ce blog, même si on m’en avait déjà beaucoup parlé. J’ai lu aussi votre dernier livre que j’ai trouvé très intéressant.
Je voulais juste dire que ce bancor keynesien était sans doute la solution, même si je ne suis pas un Kador en économie.
Par contre, je connais bien la politique, et je peux vous certifier que vous êtes trop optimiste, si le bancor est la solution, ce sera pour dans quelques années. Aucun gouvernant que ce soit ne voudra reconnaître que l’ultra libéralisme est une impasse et surtout en tirer les vraies conséquences. Et ce n’est pas qu’ils ne voudront pas, c’est qu’ils ne pourront pas.
Seules de nouvelles personnalités qui émergeront du chaos pourront instaurer un nouvel ordre économique mondial, donc on va souffrir pas mal de temps. Et il faudra se battre et savoir ce qu’on veut exactement.
Dark Vador……..sort de ce corps !!!!!!! 🙂
Peut-être pas un cador, mais presque un Kaldor…hum…je crois que je vais me recoucher. 🙂
http://www.tase.co.il/tase/
Pour moi,c’est de l’hébreu,mais ça serait plutôt en baisse…
Curieusement le lien est devenu inefficace?
J’ai rien dit -) trop de connectés ?
Le site est en mode maintenance comme le système actuel en ce moment.
Sinon continuez sur ce blog, de plus les commentaires sont une forme de revue de presse.
Quelle différence avec les articles lénifiants du Monde ou d’autres journaux !
Comme quoi il y a vraiment deux mondes : l’ancien et le nouveau a construire, ce blog en fait parti
Cordialement
Le plus tôt nous prendrons la rue, le plus de chance nous aurons d’échapper aux politiques d’austérité qui s’annoncent, si nous restons passifs nous paierons la note encore bien plus cher, il y a un moment pour tout, et très bientôt ce sera celui de renverser la table !
Nous ne pouvons pas conserver l’oligarchie en place plus longtemps, il faut changer radicalement de système.
Oui, cette période est notre » fenêtre de tir » à nous, les peuples….
Saurons nous en profiter ?????
Malheureusement Non ! « Le peuple » est résigné. Posez la question autour de vous.
From http://www.cnn.com
The Dubai Financial Market (DFM) General Index fell more than 5% on Sunday. It was the market’s biggest drop since January.
The General Index on the Abu Dhabi Securities Exchange was down more than 2.5% when it opened Sunday.
In Saudi Arabia, trading began Saturday and the Tadawul All-Share Index dropped nearly 5.5%.