Une coïncidence, sans plus…

Le samedi 8, il y a douze jours, après notre débat, j’avais demandé à Barbara Debusschere, qui en avait été la modératrice et qui se trouve être Ostendaise, où aller déjeuner. Elle m’avait dit : « À la Brasserie du Parc. Vous en aimerez l’atmosphère. » Où je me rendis donc.

Une fois assis sur la banquette, je notai ce qu’il y avait derrière moi.

De gauche à droite : Stefan Zweig et Joseph Roth

La Brasserie du Parc à Ostende

De gauche à droite, le 8 septembre : Philippe Samek, Barbara Debusschere, Frank Vanaerschot. Le 4e orateur, Marco Van Hees n’est pas visible.

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. @Chabian Un symbole protecteur hérité de l’oeil d’Horus Oudjat égyptien ? Avec le triangle de la Providence sur le billet…

  2. Heureusement, les générations qui viennent ne sont plus (ou moins) soumises à l’omerta familiale. La parole se libère et des…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta