Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que les périodes de crise se caractérisent par des fluctuations de vaste amplitude où l’on passe aisément d’un extrême à l’autre.
Mais là, on serait quand même sacrément surpris. À moins que la recette ne soit là : « Donnez-nous un Trump, qu’on aie vraiment envie du socialisme ensuite ! »
Quand on n’a pas un « soi » très solide, on devient une feuille ballottée par les flots médiatiques et les tourbillons…