François Leclerc n’a pas remporté son dernier combat contre la maladie. Emporté par un cancer fulgurant, il est parti le mercredi 9 décembre sans souffrir. Jusqu’au bout il s’est raccroché à son blog. Vendredi dernier, lors de ses derniers moments conscients, il revendiquait avec vigueur et obtenait de haute lutte qu’on lui laisse son ordinateur portable : « J’ai plusieurs papiers en tête », disait-il. Mais quelques heures plus tard, il était placé sous sédation profonde et n’en est plus sorti. Les encouragements et les dons de ses fidèles lecteurs lui allaient droit au coeur, qu’ils en soient remerciés.
Le bobo des terrasses californiennes, me disait tout à l’heure de manière un peu radicale un poto du soviet, ne…
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