J’ai publié ici il y a quelques jours un billet de Jean-Baptiste…
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*Godot est mort !*
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Il faut vous préparer, Clémentine… pardon : Madame la Présidente !
Au niveau mondial nous sommes quasiment tous (habitants du G7) parmi les 10 % les plus riches, consommons 50 %…
@arkao Autrement dit en 3 ans de 1942 à 1945 c’était plié, Mais que se passe-t-il donc depuis 2022 ?…
Pas encore! https://youtu.be/6ZQAWN8TSq8?si=cPFrBzp3Ew2gEsvj
Pas tout a fait, il y a de l’inertie. Si on arrete tout, on ne montera pas à +4°, mais…
Le Japon sera un des premiers dominos qui tombera : voila ce qui arrive lorsqu’on achète trop de bouquins d’…
En attendant la fille de Rochebin, nous avons le fils de Sarko! A ce rythme là, c’est pas gagné. L »est…
Exit! Fin de la révolution. Vous pouvez ranger votre faitou et reprendre une activité normale. 😊
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13 réponses à “Pourquoi il est important pour un intellectuel d’être reconnu”
Epoque fertile qui a fait d’un prince l’élève d’un philosophe , et qui au chiasme grec ,entre est et ouest , a presque fourni brièvement le seul empire moderne pour les réunir .
Curieusement , bien que de deux générations successives , ils sont morts pratiquement la même année .
Mais que signifie ici , « être reconnu » ?
Car , si l’on veut bien étalonner la » reconnaissance » à l’aune de l’amitié , faut il rappeler qu’Aristote lui même en définissait trois types .( par intérêt , par plaisir , ou d’estime réciproque parfaite ) .
N’ayant pas plus la présentation d’être « intellectuel », que de rechercher à me draper d’une quelconque « reconnaissance » (en récupérer les lauriers d’avoir œuvré pour la bonne cause…, l’intérêt général), m’est-il possible néanmoins de chercher à intellectualiser certaines problématiques comme suit (en trois volets)…?
Volet 1 : « Il paraît que la philosophie qui règne en macronie (mais pas que…) en ce moment, n’est pas tant de se soucier du nombre de mort, « de l’hécatombe quotidienne de décès induits par la covid-19 », mais du risque de saturation des services publics hospitaliers, de leur incapacité à accueillir en lits de réa disponibles, de quoi traiter pour une pathologie infectiologique létale, ou autre chronique… à soigner en urgence… toute la misère du monde, et du « repli sur soi » et toutes les responsabilités, à assumer (« tri sélectif » façon « darwinisme sociétal » des victimes)…
Est-ce à dire que ce « petit monde à voir » macronien, comment il nous faut deviner ce que sera le « monde d’après », exprime dans son verbe haut, autoritaire, vertical, affirmant, « qu’il nous faut vivre avec la mort », et « le virus »… la « pensée unique » d’un.e asymptomatique, d’une personne immunisée (temporairement) après vaccination, ou infection légère… d’une certaine jeunesse… d’une certaine idéologie même (trumpienne)… voulant nous convaincre « qu’il y a du bon dans le coté obscure de la force » devant nous faire « assimiler » dans ce discours « rassuriste » s’adressant à toutes les personnes cumulant… non pas des mandats électoralistes, clientélistes, carriéristes, pantoufleurs, etc. … non pas non plus, bénéficiant d’un assistanat démesuré, sans contrepartie, en tant que propriétaires privés d’actions dans une « start-up nation » vaccinale, d’entreprises… mais à toutes les personnes cumulant tellement de facteurs multiples de comorbidité, de « fatalités de destins » (NON RECOURS…), d’inégalités territoriales, scolaires…. que de toute façon… qu’elles meurent de ce coronavirus ou d’un autre (causé par le dérèglement climatique, la perte de la biodiversité, les guerres commerciales, monétaires, de « civilisations » guerres et inégalités « naturelles »), d’un cancer, d’une pathologie rénale, cardiaque, du diabète, pas soignée à temps… et/où du manque de lits de réa, masques, réactifs de test, « vaccins », médicaments, respirateurs, gants, blouses, oxygène, etc (qui depuis le début de la pandémie ont leurs stocks, pénuries, etc, gérés en flux tendus, avec leurs prix régulés, par la « DICTATURE des émotions », « magiques » de la « main invisible des marchés »)… de l’austérité et des « réformes structurelles néolibérales », des services publics privatisés, « ubérisés », dématérialisés, digitalisés, et des protections sociales (assurance chômage, vieillesse…)… de toute façon donc, une fois morte… elles n’auront plus à se soucier de vivre avec ce virus… ni avec combien d’autres personnes comme elles, vulnérabilisées, fragilisées, abusées dans leur état de faiblesse… et en « sous-représentativité »… ? »
Volet 2 : « A en croire cnews ayant repri ces jours derniers, une partie des propos du ministre de l’intérieur, « c’est signe que la lutte contre la drogue dans les citées sensibles, dérange les trafiquant, s’ils réagissent avec violence en brûlant des voitures, etc »…
C’est tout de même une bien cynique conception de la notion de causes à effets, qui est pratiquée là, que de feindre déplorer comme conséquences le saccage de banlieues et biens personnels, en soit disant réaction à une lutte contre… sans avoir l’air de chérir non plus les inégalités, territoriales, scolaires, de « destin » (NON RECOURS par rapport aux « discriminations systémiques », impunies, à l’embauche, dans l’accès aux logements et à la solidarité – non redistribution des aides sociales, du soi disant « pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvre le restent et se déresponsabilisent »)… des misères de précarité, de pauvreté… comme creusées de toutes les injustices… vécues par la jeunesse de ces quartiers, qui n’a même pas l’horizon de moins de 6 générations, pour espérer que sa descendance, puisse s’en échapper par « l »escalier social »…?
Comme si les « intentions » politiciennes de droite extrême et d’extrême droite… de supprimer les aides sociales aux « parents d’enfants difficiles », de fusionner les aides sociales (prestations chômage, familiale, logement, etc) afin de soi disant mieux lutter contre les « fraudes sociales dont les pauvres sont suspectés », en imposant le fruit de la cette fusion… d’imposer le « travail gratuit », le « bénévolat contraint » aux chômeur.e.s, bénéficiaires du RSA (au mépris de l’article 23 de la déclaration universelle des droits de l’Homme – avoir le libre choix d’exercer le métier voulu… bafoué lorsqu’est proposé/imposé à la jeunesse des quartiers sensibles, les « emplois » précaires non pourvus – dans la restauration, le BTP, les ménages, etc – « ubérisés » paupérisés), de « blanchir », laissées impunies… les brutalités commises lors de contrôles aux faciès, « manifestations » par une parti du personnel du « monopole de la légitime violence de l’État », votant pour l’extrême droite… comme si tout ça ne devait et ne pouvait pas suffire à motiver les raisons des moins « représenté.e.s » de se révolter légitiment… et de passer le cap de l’abstentionnisme, est-ce qu’il suffit aux hypocrites « d’inverser la hiérarchisation des valeurs morales » et de rendre confuses les fins et moyens, de faire confondre les deux….?
Plus que « la misère de la pensée économique néolibérale », du fascisme en col blanc, technocratique (austérité, etc), endogamique, pratiquant la reproduction de classe jusqu’à la corruption, le « secret d’affaire », le pantouflage… cette conception erronée de la notion de causes à effets… ne signe t-elle pas la « misère de la pensée sociale et sociétale » du fascisme en col bleu (est-il plus facile « de vivre avec le virus » et la gestion néolibérale de la crise sanitaire, le couvre feu, le chantage à l’emploi, etc en zone péri-urbaine, et/où rurale…?) en « réconciliant » les deux fascismes dans « l’unicité » de « l’unanimisme » (« pensée unique », populisme mondain)…? »
Volet 3 : « Il parait en « occident » qu’on mesure la « valeur d’une vie méritante » au risque qu’elle est capable de prendre (dans le même genre : « Si t’as pas de Rolex à 50 ans, c’est que t’as raté ta vie »). C’est en tout cas ce qui est vendu sur les « chaînes d’info en continue » qui jours après jours, comme un « jour sans fin », est invité à parier sur « pile elles gagnent, face, perdent tous leur détracteurs » jusqu’aux services publics audiovisuels accusés de tous les maux par cnews et Pascal Praud, le « temps de cerveau disponible ».
Sans savoir quel bénéfice… que je ne revendique pas plus en espérer, à titre individualiste, personnel… un rang « élitiste »… que d’incarner, en être auréolé, m’en draper d’une quelconque « représentativité » (abstentionniste)… est-il encore possible de questionner celles et ceux affirmant, ou cautionnant par les doutes, incertitudes, indécisions de leurs votes, « ras le bol fiscal », « poujadisme » ambiant… et participations électorales déléguées à la « magie » de la « main invisible » de la « DICTATURE des émotions » les sondant tout le temps sur leur choix unique (oui ou non, blanc ou noir…), au second tour des scrutins… existe t-il encore un consentement d’intérêt général suffisant pour souhaiter les interroger sur la problématique prétendant que « l’islamophobie tue moins, en France du moins, que l’Islamo-Gauchisme »…?
Passons outre les amalgames, le mélange des genres habituellement rencontré dans les idéologies s’étant faites remarquer par leur « excellence », à rendre confuses les notions de finalités et de moyens, les causes et conséquences, qui emploient les tactiques « victimaires » à chaque fois que l’occasion leur en est donnée (faire passer des prof de Science Po pour des victimes ayant échappé à la mort – sur les « réseaux sociaux »…? – en tentant de les assimiler au meurtre d’un prof de Philo de Trappes, récemment assassiné, faut oser…), « en même temps » qu’elles refusent que l’adversité qu’elles prétendent combattre en toute neutralité et impartialité, et respect du pluralisme démocratique, use en toute légitimité d’une position « victimaire »…
Par rapport à la notion de la « valeur d’une vie », est-ce que les vies des « pertes collatérales »…. que nos « guerres de civilisations » (et commerciales, monétaires…) et que « nos ventes d’armements patriotiques » puis « nos ingérences dans le schisme entre Sunnites Et Chiites » les « Salafistes et Wahhabites » (ventes d’armes au Qatar ou plusieurs milliers d’ouvriers Népalais, Bangladais sont morts exploités par les donneurs d’ordre Bouygues, Vinci, etc pour construire les infrastructures du prochain mondial de Foot en 2022, comme à l’Arabie saoudite, etc)… comptabilisent… et que nos « externalités négatives » polluant les sols océans, l’air… aggravant le dérèglement climatique, amplifiant la perte de la biodiversité participant à la déstabilisation de l’équilibre géopolitique international périlleux… empoisonnent, intoxiquent, asphyxies… et additionnent, multiplient en refusant d’accueillir des réfugié.e.s…… est-ce que ces parts de responsabilités dans les misères de ce monde d’avant et d’après… peuvent s’exonérer, « optimiser leur immoralité » à si bon compte…???
Est-ce que ces vies (n’ayant donc pas plus les moyens, intellectuels, philosophiques, etc, d’appréhender toute la complexité autant du « culte laïcard »… que de la « culture du luxe et lucre de la laïcité à la Française ») aux mœurs et cultures islamiques, et gauchisantes… fuyant la misère des combats, la fatalité du réchauffement climatique, de la sécheresse, de la pénurie des services de santé public en pleine pandémie (alors qu’elles n’ont pas parié, n’ont jamais joué, à « pile je gagne, face tu perds »)… et la famine, fuyant l’effondrement économique, et démocratique… est-ce qu’elles valent moins que celles tristement, sordidement malheureusement assassinées du coté du « on est chez nous » que laisse entendre le « il y a du bon dans le coté obscure de la force » du duel mortifère électoraliste de seconde tour entre l’extrême droite, la droite extrême et la macronie….?
Mais alors est-ce « l’Islamo-Gauchisme », ou « l’Islamophobie » qui tuent le plus que le manque de savoir et de respect de celui ci (au niveau des médias mainstream, des situations de NON RECOURS, etc), de culture générale, de droits, etc…? »
Avec mes excuses, dans le premier commentaire, et la première phrase, je voulais dire ‘prétention’ et non » N’ayant pas plus la présentation d’être “intellectuel”, …. ».
N’est-ce pas à travers Paul Jorion reconnu qu’Aristote sera de nouveau connu ? Par exemple.
Devant moi, l’abîme…
Mise en abyme, le peintre et son modèle:
https://dejavu.hypotheses.org/files/2018/06/060-06-Dali.jpg
Version humoristique:
https://www.altersexualite.com/IMG/jpg/LeChat.jpg?1408457024
@ ARKAO
J’ai presque la même chose (que Le Chat) mais en photo.
Mais je ne sais même pas mettre un « fichier » dans ce genre d’espace de commentaires…
J’arrive juste à en copier le titre…
C’est dur quelquefois de n’être qu’une sorte de dinosaure !
Dommage !
@Maddalena Gilles
Sur le clavier, Ctrl C (copier), Ctrl V (coller)
Sur le iMac « ça le fait pas »,
:¬(
Ça marche avec « cmd » —c, puis v,— (command) sur mes courriers ou mon écran,
Mais j’ai l’impression que sur ce genre de zone de commentaires ça ne vous donnera que le titre du fichier.
foto-retorta_0.JPG > ce qui est peu,
Pas grave, c’est le Printemps… Ici il fait beau…
Bonne journée de toutes façons !
(et merci de m’avoir répondu… :¬)
Je crois qu’on peut citer pour l’exemple ce toscan d’influence, grand découvreur de manuscrit dans l’Italie du Quattrocento : Poggio Bracciolini dit le Pogge.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Poggio_Bracciolini
Etonnant personnage, figure hors norme des arts et lettres conté par Stephen Greenblatt dans un passionnant roman historique : « Quattrocento ».
On oublie trop souvent l’importance de la conservation des sources écrites tenues par les moines depuis le début du christianisme.
Le livre de Stephen Greenblatt apporte de nombreuses informations sur ce savoir stocké par la religion et met en lumière toute l’importance de la redécouverte des écrits de Lucrèce en lien avec l’éclosion du printemps de la Renaissance.
Même si je veux bien reconnaitre qu’il soit possible que j’abuse, de votre temps de lecture à toutes et tous, et de votre intelligence, est-ce que ce qui suit a si peu d’importance…? Et pourquoi ?
« Il y a une drôle de petite musique qui se joue dans les médias mainstream ces temps ci… Mais elle est bien loin de chercher à adoucir les « mœurs »… si tant est qu’il soit seulement besoin de « rassurer » les « Us et coutumes », d’un paternalisme et patriarcat « occidental », qui « déclinant », qui s’effondrant sous le poids de « l’obsolescence programmée » de ses démocraties, de ses « dialogues sociétaux », etc… s’en prend aux prochaines générations (« écoloféministe », « ayatollah vert », « Khmer vert », « Islamo-gauchiste », d’eXtinction Rébellion…) ne sachant pas en préserver, ni en « assimiler », l’essentiel, paraît-il….
L’ambiance sonore du morceau joué par autant des politiques (de l’extrême droite, droite extrême jusqu’à la macronie), que des « influenceurs », « donneurs de leçons de morales » a de quoi troubler les « temps de cerveaux disponibles » qu’à se laisser séduire par la mélodie à la « mode », et autre « ras le bol fiscal », « poujadisme »… Un refrain (Du Bécaud pour vendre une campagne de vaccination…?) n’arrête pas de vouloir faire douter la raison pourtant gardée des esprits les plus hermétiques à cet entêtant « chant des sirènes » diffusés en boucle… et aux certitudes de toutes sortes.
Ce refrain anxiogène, nous rappelle la boucle d’un « jour sans fin », disant qu’il paraît que la « violence urbaine » et celle des jeunes plus généralement (affaire d’harcèlement – cyber-harcèlement » – ayant finie par le décès d’une jeune fille, vite amalgamée dans le brouhaha ambiant, dans la confusion entre genre, moyens, etc, aux « violences urbaines » des quartiers sensibles, voir à « l’ultra-violence » qui rappellerait presque les mouvements des « gilets jaunes ») n’existaient pas dans le « monde d’avant »…
Le « monde d’après », les crises sociales, « sociétales », sanitaires, climatiques, monétaires, de « civilisations »… n’étant même pas « à voir » dans les solutions devant les régler, réguler, réglementer…. n’émergeant même pas de la surface d’un long fleuve de com’, « tranquille » … que déjà les plus nostalgiques ont vite fait de paraître donner la mesure et le La, en prétendant ramener de « l’ordre » dans la cacophonie ambiante… Voulant faire la « loi », leur mot « d’ordre » vise les « zones de non droit » ou ils y tendent micros et caméras. Qui préfère ne regarder que le doigt montrant la lune, devient tellement étanche au dicton prétendant que « ce qui ce conçoit bien, s’énonce clairement », qu’adorent chanter les « donneurs de leçons de morales, de musique, d’économie, etc »… qu’il en oublierait presque, avec la joie d’être envoûté… toute la complexité de sa vie, et de la vie des autres, moins bien lotis, dans le monde réel…?
Le tumulte de la montée des eaux, des inondations, des pénuries, des fermetures des frontières, de la misère du « monde d’après » (lié au dérèglement climatique, à la perte de la biodiversité, aux guerres commerciales, monétaires, etc)… que va connaitre les prochaines générations, est tellement loin des « sons de cloches » actuels, que seul la sécheresse des yeux, des regards, si loin qu’ils sont « absents »de toutes larmes, loin des yeux…… et des cœurs de la science sans conscience… résonnent dans les poitrines… asphyxiées par une infection suffocante.
Sauf que les fausses notes des « musiciens du Titanic »… rappellent un peu trop que « s’il y a du bon dans le coté obscure de la force » (propos du Trumpisme, de l’extrême droite et d’une partie de la macronie et droite extrême), à l’apogée des plus occultes et troubles des périodes… force est de constater qu’il ne suffit pas de faire tambouriner encore plus fort le son du clairon et des bruits de bottes, l’autoritarisme et la verticalité de l’orchestration, pour harmoniser les faits avec le réel, synchroniser l’image avec le son… corréler la perception des mots et sons, avec leurs réactions sur le terrain.
La comparaison des « violences urbaines », de la jeunesse… d’avec celles d’un « monde avant » (plus qu’idéalisé), ne peut pas donner raison au fait qu’autant les chaînes d’info en continue, les « chiens de garde », « influenceurs », etc. … que les « réseaux sociaux » d’internet… n’offraient autant « d’opportunité » à gonfler l’audimat, à « augmenter la surface de sur-exposition » des individualismes (autant des délinquant.e.s en puissance, que de celles et ceux jouant avec l’idée que « tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ») par rapport à la manière dont sont traitées actuellement ces dites « violences »… Jamais dans le « monde d’avant » les médias de masse, privés, néolibéraux, n’ont eu autant de surface, de puissance et influence en prise sur le « direct », l’immédiateté », y compris dans les « réseaux sociaux », que maintenant. Et ne parlons pas du contexte de politique intérieur et géopolitique, ni du public différent suivant les époques comparées.
Par contre, ces violences qui existaient dans le « monde d’avant » n’étaient peut être pas perçues comme aussi inquiétantes (le contexte géopolitique, monétaire, sanitaire, « sociétal », politique, etc. n’était pas le même non plus), et de façon aussi « diabolisées », qu’elles sont sur-instrumentalisées aujourd’hui par tous les protagonistes : que ce soit de la part des « présumés coupables délinquants » (refusant légitiment d’obtempérer à un énième contrôle aux faciès brutal, de subir des « discriminations systémiques » à l’embauche dans l’accès au logement, la non redistribution de la solidarité – NON RECOURS au soi disant « pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvres et se déresponsabilisent ») aux personnel du « monopole de la légitime violence de l’Etat » (votant à 50 % pour l’extrême droite), que ce soit des médias mainstream (jouant à faire déplorer les effets, dont ils chérissent les causes, avec les « temps de cerveaux disponibles » qu’à vouer un « culte féroce » à la seule DICTATURE des émotions » ne sondant que les doutes incertitudes de leurs « ras le bol fiscal », « poujadisme ») aux politicien.e.s du duel mortifère voulant faire croire qu’on est encore dans le second tour des présidentiels… opposant la macronie à l’extrême droite/droite extrême/ »société droitisée ».
La petite musique qui en était jouée avait une tout autre connotation et intonation… que d’avoir aujourd’hui à « vivre avec la mort », « le virus », les mesures barrières, les « injonctions contradictoires », les inégalités scolaires, territoriales, la pauvreté, la précarité, les discriminations… et les guerres commerciales, monétaires de « civilisations »…
La manière de jouer, avec en bruit de fond, la transition du « monde d’avant » à l’angoissante cacophonie de celui « d’après »… la sur-dramatisation des dites violences, et de manipuler les « émotions » et « ressentis », voir les faits… d’accuser les « réseaux sociaux » « les parents baissant les bras », « l’éducation nationale » (comme Pascal Praud ce matin dans « L’heure des pros »), est donc incontestablement pas la même que celle époque ou les « nostalgiques » veulent essayer de refaire leurs gammes… en entonnant en cœur que les violences des jeunes, d’autant, étaient moins graves, mortelles, etc (sauf qu’à certaines époques, les violences entre fascistes et antifascistes, les violences racistes en France, firent des morts)…
Qu’il y ai des violences et des décès de jeunes, plus absurdes, cruels-les, moralement plus insupportables… n’est pas la meilleur mesure pour affirmer qu’il y en a plus dans un sens comme dans l’autre… d’une époque à l’autre… surtout dans le contexte actuel – comparativement au « monde d’avant » – ou les « récits » des « vérités » autour des morts, meurtres, accidents, etc. … trouvent encore plus de support numériques, digitaux, officiels et officieux polarisant les débats de sociétés jusqu’à empêcher qu’ils aient lieu sereinement, et qu’ils se déroulent de façon neutre, impartial, équitable dans le consensus du dialogue social et démocratique. »