Il brille comme le soleil au sortir de la caverne, je te souhaite le temps de t’habituer ! On te…
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
J’ai demandé à mon épouse qui a regardé la vidéo.
C’est des branches de romarin.
J’ai trouvé la recette
INGRÉDIENTS POUR 8 PERSONNES
2 gigots d’agneau selle sans os de 1kg à 1.2kg
800 g de flageolets verts de la Vallée de la Lys
1.2 kg de pommes de terre Ratte du Touquet
2 têtes d’ail Rose de Lautrec
2 gros oignons de Roscoff AOP
3 branches de thym
1 grande branche de romarin
15 cl d’huile d’olive AOP de Nyons
100 g de beurre d’Isigny AOP de baratte
1 cuillère à soupe de piments d’Espelette AOP
2 cuillères à soupe de graines de carvi
2 cuillères à soupe de poudre de cumin
1 bouquet garni
Sel
Une recette avec des produits de toute la France
Certains font la grève de la faim, d’autres basculent dans l’ignominie. Voilà où mène la déception !
(;-))
A ce rythme, Paul et Stéphanie les psychiatres du blog vont devoir faire appel à des suppléants.
Il m’est arrivé de faire des « classes de découverte transhumance », j’en garde de superbes souvenirs et cette phrase d’un élève qui avait porté dans ses bras une petite boule de laine de quelques jours : « Et bien, je ne mangerai plus jamais d’agneau ! » et moi, perfide, de lui dire : « mais alors, il n’y aura plus de bergers, si on ne mange plus de moutons ?! » Les enfants ont toujours réponse à tout : « Bon, alors j’en mangerai juste un peu. »
Finalement, au lieu d’attendre la bonne parole de nos chers candidats, on devrait peut-être instaurer un gouvernement des enfants !
J’ai connu « Poussemin », un poulet qui était le compagnon de jeu d’une petite fille « de la campagne » de 7 ou 8 ans. Ils étaient inséparables. C’était une joie de voir l’amitié de ces deux-là.
Un jour je lui ai demandé où était Poussemin. Elle m’a dit qu’on l’avait mangé à midi. J’avais moi 12-13 ans, j’étais « de la ville », je l’ai regardée des yeux du missionnaire en Mélanésie découvrant que son meilleur paroissien est cannibale.
Bertrand Usclat
Wikipédia :
En 2018, il crée, scénarise et joue le rôle principal dans la mini-série parodique Broute, en référence à Brut7. Cette série fait connaître Bertrand Usclat au grand public, et commence à intéresser les médias8,9. Broute est diffusé sur Canal+ une fois par semaine depuis 2019. C’est un format court (environ 2 minutes), qui reprend les codes de réalisation de Brut, et propose une vision humoristique, décalée et parfois engagée10 de phénomènes d’actualités11,12,13. Les épisodes sont écrits en collaboration avec Guillaume Cremonese, issu lui aussi de Yes vous aime, et réalisés par ce dernier. Dans les épisodes, apparaissent régulièrement Pauline Clément14 et Johann Cuny, également issus de Yes vous aime. En décembre 2021, Bertrand Usclat prévient que Broute va connaître une pause, d’une durée non déterminée15.
J’ai d’abord pensé à Saint François d’Assise et son cantique des créatures ( « mes frères les oiseaux « ) , mais aussi à , moins connu , de Diderot :
» Considérez l’huitre dans sa coquille , je ne sais pas au juste ce qu’elle y fait ; mais je la soupçonne fort de s’élever aux spéculations les plus sublimes de l’arithmétique et de l’algèbre … »
Cet agneau saura -t-il concurrencer Wolfram et l’automate cellulaire ?
Mais , si on ajoute la référence à » Parle et je te baptise » , on va retomber dans la polémique entre âme et machine de Turing déterministe !
Jusqu’à ces dernières années, j’avais remarqué que le mot « animal » n’était jamais prononcé dans un programme politique !
Pourtant l’exploitation animale représente une part important dans l’économie, elle sauve notre balance commerciale !
Pour l’exploiter industriellement sans tenir compte de son bien-être , on tient l’animal à distance parce que si près de nous dans sa sensibilité à la souffrance de la douleur et de la peur.
On ne devrait pas séparer les petits de leurs mères avant sevrage pour les manger !
La viande artificielle super pour les Macdo, quand aux animaux pour ceux qui ne veulent pas s’en priver, il faudrait payer leur viande très chère pour assurer aux éleveurs et aux animaux un vie digne et nous respecter dans ce que nous mangeons.
On est tous comme ce petit agneau à rechercher de l’attention, mais au moins, lui, ne nous mange pas. Nah !
Je reste persuadé que beaucoup des grands problèmes de ce monde seraient réglés si mes amis les êtres humains arrêtaient de manger mes amis les animaux. Et, ne me dîtes pas que les chats mangent les souris et que les poules mangent les limaces, figurez-vous que j’étais au courant. Vous êtes des êtres humains, alors arrêtez de manger vos amis. (Si je puis me permettre 🙂 )
Questionnons ce titre : « Nous sommes tous pareils ».
Oui, quand cela nous arrange, nous acceptons de lire des sentiments dans la manière de faire de certains animaux. Et les animaux savent aussi singer les hommes, spécialement les singes (Chris Herzfeld). Donc nous nous laissons attendrir en voyant un comportement humain en eux.
Non, pourtant, quand le comportement animal domine. Si on regardait ce petit têter furieusement la poitrîne d’une humaine comme il le fait chez sa mère à tout instant, y compris pour compenser une peur, on n’apprécierait pas autant…
Non, surtout, quand nous cherchons à nous considérer, à nous définir, à nous reconnaître. Nous sommes tellement différents, nous avons des « propres de l’homme » à tout niveau. Notre supériorité et notre différence est essentielle.
Or les animaux ont des capacités de communiquer, de sentir, de percevoir que nous n’avons pas ou plus.
Nous sommes juste, dans le genre humanoïde, une espèce qui se signale par sa violence envers ses congénères et une coercition envers les femelles, violence qui dépasse tout ce que le règne animal a connu jusqu’alors.
La formule « nous sommes tous pareils » est ambigüe. Nous ne mesurons pas ce que les animaux de compagnie perdent à gagner notre affection. « Cela dit, Maître Loup s’enfuit et court encore ». Et moins encore les animaux d’élevage.
(Je viens de me cuisiner une cuisse de poulet aux chicons dans le lait d’un plat de gratin dauphinois. Saveurs subtiles, mais j’aurais dû mettre de l’ail, du romarin peut-être. J’aime aussi beaucoup le navarin d’agneau, pour les navets sublimés. En violents prédateurs, nous sommes tous pareils).
Questionnons ce titre : « Nous sommes tous pareils ».
En effet, comme le disait Aristote « la nature ne fait rien en vain ».
Ainsi, on sait aujourd’hui que les caresses possèdent de nombreux bienfaits, notamment pour notre santé.
Alors, qu’en est-il pour les jeunes agneaux ?
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01210701/document
D’après plusieurs expériences scientifiques, si les caresses stimulent et renforcent notre système immunitaire, à n’importe quel âge, y compris chez l’enfant, pourquoi un jeune agneau se priverait de ce bienfait naturel ?
Et donc, pour revenir au titre qu’illustre cette vidéo, « Nous sommes tous pareils », si une même cause détermine notre action : dans ce cas, celle du « désir » de caresses, dont la cause commune serait de diminuer naturellement le stress, voire de diminuer le risque de maladies…
J’en ai mangé un jour , par curiosité , entre grands ados . C’était pas mauvais et ça valait du civet de lapin , mais ça a été ma seule expérience .
J’ai eu deux chats successivement bien plus tard . Le premier , malade , s’est sauvé tout seul pour rejoindre je ne sais quelle montagne de Narayama . L’autre est mort par euthanasie chez le véto , parce qu’en se bagarrant il avait attrapé le « sida du chat » . Chaque fois , il a fallu , pour l’apaisement des gamins organiser une petite cérémonie symbolique , par procuration , ou avant d’aller enterrer la carcasse du chat .
Mes deux totems sont le chat et le corbeau , mais je n’ai jamais mangé de corbeau . Hugh !
« Abattoirs conscient »…un site internet a été monté aussi subversif que la vidéo.
Des animaux sont proposés aux parrainages avec photos, caractère de l’animal, et compte rebours avant la « deadline » de l’abattage. « … Fervent opposant au véganisme, dont la radicalité a pour conséquence l’extinction des espèces d’animaux de ferme… » il est proposé un « programme scolaire » dont l’objectif est de «responsabiliser l’enfant sur sa consommation de viande en l’intégrant dans le cycle de vie de l’animal, des premières tétées au biberon jusqu’au menu à la cantine. »
Crédible et grinçant à la fois. Ça rappelle les Yes Men.
En version allemande c’est encore mieux ! 😉
https://www.youtube.com/watch?v=yxXTH3CYHSw
Plus sérieusement un livre dont on parle en ce moment, mais que je n’ai pas encore lu, interroge nos relations actuelles avec la mort de l’animal.
Charles Stépanoff, L’animal et la mort, Ed. La découverte:
https://reporterre.net/La-chasse-choque-parce-que-la-mort-n-est-plus-camouflee-mais-visible
Cela me rappelle ce texte au sujet du vivant, de Bernard Stiegler :
https://arsindustrialis.org/node/1433
Oui, bravo, bon appétit !
https://www.elwooddogmeat.com
Il brille comme le soleil au sortir de la caverne, je te souhaite le temps de t’habituer ! On te…
Bonjour Otromeros, Le <b< test de turing <b/< ne me convainc pas car tout réside dans l’idée que chacun se…
Ben alors on aurait pû ajouter la sensation de froid/chaud, le besoin d’oxygène, la douleur en cas de choc, les…
Attention aux égratignures avec cette nana cyber-métallique ; elle vous fera hurler…😈
Pierre, c’est le problème avec l’extrème-droite. Ils ont l’intelligence de poser certaines bonnes questions mais ce sont les réponses qui…
Euh… parce que l’idée, c’est qu’ils soient comme nous !
Que penser de la fenêtre Al-Jazeera sur ces questions ? A-t-elle un prisme très marqué qui effacerait ou renforcerait la…
Plus modestement, je voyais hier des champs de colza en fleur bien au nord de Paris. Donc pour moisson en…
Je suis en manque de Paul… Klee, c’est vrai qu’une IA qui me ferait mon Klee des songes, ce serait…
Question naïve: certes les maths sont en principe en régime « tout ou rien », la vérité se propage à partir des…
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