L’année qui s’en va l’emporte avec elle. Il est mort debout : on aime ça. Adieu, mon pote !
Rupert Sheldrake chez le paradoxe du barbier lol 🙂
*Godot est mort !*
L’année qui s’en va l’emporte avec elle. Il est mort debout : on aime ça. Adieu, mon pote !
Rupert Sheldrake chez le paradoxe du barbier lol 🙂
@Marc PELTIER Très intéressant, mais cela ne répond pas directement à ma question. Toutefois, votre démonstration me donne des pistes.
Pour éclairer et préciser le débat j’ai interrogé Perlexity Sur cette affirmation : La preuve n’est plus une instance extérieure…
@bb Je pense que nous devrions laisser de côté la conscience, quand on parle d’information. Faute de pouvoir bien cerner…
Good
et pourtant, François Gemenne et Valérie Masson-Delmotte étaient rentrés si enthousiastes de la COP28 ! COP 28 : le « GREEN…
@PIerre-Yves Dambrine Je ne partage pas du tout votre point de vue. L’intelligence artificielle ne peut être réduite à un…
Pascal, En deçà des concepts n’importe quel mot que nous lisons ou prononçons est un sens, en tant que chaque…
@Pierre Yves La production de sens n’est elle pas en premier lieu liée à notre capacité de créer des concepts…
Bonne nuit !
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
12 réponses à “Alain Bashung (1947 – 2009)”
Sans oublier les plus belles paroles qu’il a chantées : « La nuit je mens »
Un des meilleurs chanteurs français nous a quittés. Adieu l’artiste, je t’aimais tant…
Sans oublier celle-ci :
Un autre beau moment :
Tiens, je l’échangerais bien contre une palanquée d’individus qui eux sont toujours là…mais dont on ne doit pas prononcer le nom…
Merci Bashung !
Plus que sa ténacité face à l’adversité, je regrette sa sensibilité.
En 2009 aussi, s’est éloigné « le vertige de l’amour ».
Des paroles comme :
Vos luttes partent en fumée
Vos luttes font des nuées
Des nuées de scrupules…
Un jour au cirque
Un autre a chercher a te plaire
dresseur de loulous
Dynamiteur d’aqueducs
et prononcées avec cette voix si particulière, tranchante, inoubliable…
Cette année 2009 fut dure pour la musique…
Alain s’en va et jean-philippe reste…
Il y a des années comme ça.
Je suis très triste aussi.
« Osez Joséphine »
Chanté dans un cirque, avec un cheval et une guitariste aux seins nus.
Cà avait déjà une beauté et une force d’évocation terribles.
Et puis, chanter pour être encore et encore debout, jusqu’au dernier souffle,
Avec la volonté, l’orgueil de Sysphe,
Créer de la vie jusqu’aux confins de sa mort,
Cà donne envie pour sa propre fin,
Ce jour là, nous aurons la musique et les paroles d’Alain
Merci à Paul, de parler ainsi d’Alain.
Mais il n’est pas bien loin, j’entends encore sa voix…
Lhasa, jolie petite fleur au coeur si doux, qui vient de partir à 37 ans d’un cancer du sein. On a beau savoir, quelque fois on ne comprend pas.
http://www.youtube.com/watch?v=3OyZBJiCXns