La dictature est en marche et Poutine est, comme vous l’indiquez très bien, le dernier rempart de la démocratie contre…
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4 réponses à “La science économique et les temps qui sont les nôtres”
Cette discussion est bien sympathique. A certains égards. Seulement. Car elle vient beaucoup trop tard. La marchandisation de la connaissance est avancée et l’université se consacre de plus en plus à produire des marchandises à livrer sur le marché du « travail ». Les enseignants de « science » économique ou autre, agrégés ou pas, doivent amuser leurs clients et en faire des travailleurs prêts à l’emploi. La taylorisation gagne l’université et les métiers dits intellectuels sont des métiers d’experts en utilisation de logiciels. Un système saturé entre en régression. La régression est en route. Les économistes qui pensent leur discipline ou leur objet comme une île à part des autres disciplines ou de la société – quand bien même la trouveraient ils institutionnelle, et alors amendable, finiront peut être par se rendre compte de la régression plus vite que leurs autres collègues; mais ce n’est pas pour autant qu’ils se mettront en capacité de forger les moyens de construire un autre système, une autre civilisation. Ils sont moins utiles que de moins intellectuels qu’eux mais qui dans les interstices ou ailleurs sont en résistance et commencent à mettre en place des briques, des liens porteurs d’espérance. Tout autant que ceux qui, comme Alain Caillé y a invité, « dépensent » l’économie plutôt que de vouloir la panser ou la penser alors qu’elle ne peut l’être, elle ne peut même pas être dite, et qu’user encore de son phonème c’est rester pollué dans un système dont la régression journalière nous accable.
Concernant les conditions de travail dans le privé que j’expérimente, les problèmes s’aggravent sous l’effet de mode des consultants ou coachs en tout genre. Un exemple est l’open space ou bureau paysager( ça fait écologique ) qui s’est généralisé afin prétend on de favoriser la communication.
En réalité, on demande aux gens de concevoir, travailler, réfléchir donc dans un bruit permanent. Les directions qui imposent cette aberration trouvent que ces fameux bureaux paysagers sont plus jolis, plus tendance en somme, même si les usagers pour la plupart sont stressés. Il s’agit d’une véritable entreprise de suppression de l’intimité. Quelque chose d’assez proche des pratiques de certaines sectes.
Il serait temps de remplacer les consultants en organisation, payés très cher souvent pour raconter des histoires, incultes et arrogants de par leurs rémunérations leur donnant le sentiment d’appartenir à une élite, n’ayant pour lecture que des textes de propagande de marketing, par des chercheurs en sciences humaines afin de réhumaniser les conditions de la production. Remettre le travail( push ) et ses conditions au centre du politique, plutôt que le marché( pull ).
Le plus étrange dans tout ça est que ces mauvaises conditions de travail sont, en plus d’être nocives pour ceux qui les subissent, contre productives, surtout lorsque l’on prétend produire de l’innovation.
Deleuze avait raison, l’université ne doit pas remplacer les écoles … ni l’inverse !
« La crise dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés était prévisible et je ne leur ferai pas l’insulte de penser qu’ils ne l’ont pas vu venir mais qu’ont-ils dit ? »
De combien d’autres décideurs notamment politiques peut on dire la même chose ? Au regard de publications sur internet de sites spécialisés, n’étant moi même pas connaisseur, rien ne semblait plus inéluctable que cette crise …
« l’économie est trop importante pour qu’on la laisse aux seuls économistes. »
J’ajouterais que les économistes se doivent d’intervenir au delà de l’économie, la où leurs théories (réflexions, orientations) s’appliquent sans que personne ne puisse les mettre en doute. Les conséquences sociales (répartition de la richesse, dégradation des états dit sociaux, exploitation moderne proche de l’esclavage) de la pensée unique néo-libérale sont elles acceptées de tous les économistes ?