Boris était déjà passablement sonné par les événements d’hier et d’avant-hier, et il n’a pas vu venir la démission aujourd’hui de son poste de ministre de son petit frère Jo, en raison, rapporte la presse, d’une « tension insoluble » entre sa loyauté vis-à-vis de sa famille et l’intérêt national.
La photo de famille dans les années 1970 préfigurait déjà le drame : l’un et l’autre frères ruinent la solennité de l’événement, Boris en braillant dans son pantalon trop long, Jo en faisant le petit fou.
La ruse de la raison à l’échelle de l’espèce On entend, depuis quelque temps, les clameurs des petits rigolos qui…