Bourses américaines : ouverture en berne

« The truth sinks in », dit-on en anglais, littéralement « la vérité s’engloutit », elle finit par s’imposer : cette pandémie est un désastre, et aux États-Unis en particulier, où le pays ayant un capitaine ivre à la barre, part à la dérive, elle prend le cap du cataclysme.

À peine le public avait-il digéré la nouvelle de « 100.000 à 200.000 morts probablement », assénée par le Dr Fauci, qu’il entendait dire ce matin : « Euh… plutôt 240.000 ».

La clôture aura été du même acabit (x 2) que l’ouverture.

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. « Après l’intrusion de drones russes dans le ciel polonais, l’OTAN va lancer l’opération « Eastern Sentry » (« Sentinelle de…

  2. Prosélitisme peut-être (voir khazars) mais limité, (sélectif ? élitiste) pas très catholique (universel), et l’essaimage à travers la planète ne…

  3. @Otromeros Il semble avoir outre son rond de serviette de commentateur sur certaine chaine comme un Zemmour il fut un…

  4. Un ancien commandant de l’armée israélienne, Herzi Halevi, a confirmé que plus de 200 000 Palestiniens ont été tués ou…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta