Je ne fais plus ma promenade habituelle sur les rives du Vincin. La dernière fois que je l’ai faite, une joggeuse a ralenti le pas arrivée à ma hauteur pour ne pas souffler tout l’air de ses poumons dans mon visage. Les autres n’ont pas voulu faire baisser leur moyenne : le civisme trouve sa borne naturelle là où débute le souci légitime de chacun de sa bonne forme personnelle.
Une « autre/nouvelle » langue ? Oui, je me souviens, ado, de l’avoir rêvé. Pour échapper aux classements, aux superlatifs, à ce…
Répondre à Serge F. Annuler la réponse