Je ne fais plus ma promenade habituelle sur les rives du Vincin. La dernière fois que je l’ai faite, une joggeuse a ralenti le pas arrivée à ma hauteur pour ne pas souffler tout l’air de ses poumons dans mon visage. Les autres n’ont pas voulu faire baisser leur moyenne : le civisme trouve sa borne naturelle là où débute le souci légitime de chacun de sa bonne forme personnelle.
L’utilisation à postériori et dans un tout autre cadre d’une loi « cliquet » créée à priori dans un cadre à l’époque…
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