Covid-19 : Y aura-t-il une seconde vague ? Mise à jour

Covid-19 : Y aura-t-il une seconde vague ? Mise à jour

29 août 2020 23h55

Ci-dessus, le profil aujourd’hui. J’ai mis en ligne un billet portant ce même nom il y a cinq jours. Voici quel était alors le profil :

29 réponses à “Covid-19 : Y aura-t-il une seconde vague ? Mise à jour”

CloClo

30 août 2020 0h13

Une deuxième ? Puis ensuite une troisième ? Et ainsi de suite, ad vitam æternam ? Qui peut savoir.

Juste je lisais quand même pour mettre un peu de perspective.

Quand on se mangeait 7000 à 8000 cas par jours, en Avril, comme on ne testait QUE les malades arrivant à l’hôpital et quasi personne d’autre, le nombre de cas réels journalier devait être au moins d’un 10 ! Alors que là le même chiffre est trouvé et on test de manière aléatoire et on n’a en « moyenne louche » variation sorties/entrées de 300 personnes à l’Hôpital (contre 2000 en Avril).

Et si il y a une deuxième vague (une vraie avec des malades et des morts) avec port du masque, gestes barrières, augmentation des lits en réa, des protocoles de soins, et tout le tralala, faudra donc investir dans une Bible (surtout chez les plus de 75 ans qui sont environs 10 % de la population française, et 5% de la population mondiale !). 😀

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CloClo

30 août 2020 0h26

Bon flippez pas trop non plus les anciens, sur le tas, ceux qui sont atteint de multi pathologies lourdes ou graves, ce n’est pas la majorité du genre non plus.
Bon c’est vrai que pour 2% des décès en France (600 personnes) aucune co-morbidité n’a été décelé, et la réaction immunitaire semble avoir achevé le patient. C’est pas de chance.

Je lisais un sondage ou 82% des femmes de plus 65 ans évitaient les lieux fréquentés et clos. Une grande partie des hommes aussi !

Alors deuxième vague, non pas de contaminés, mais de malade et de morts, on verra.

Question épidémie COVID 19 on parle souvent de progression exponentielle des contaminations qui conduirait à une augmentation exponentielle hospitalisation et ainsi de suite jusqu’aux morts comme en mathématique. Et voilà tout le monde pris de sidération et qui commence à mouiller dans son froc. Bien, mais c’est peut-être une vision un peu décalée de la réalité, qui peut éventuellement se vérifier avec une certaine évidence en début d’épidémie. Car la réalité biologique n’est pas une fonction mathématique et avant de la modéliser, il va falloir se lever tôt le matin et c’est pas en tournant deux tableurs Excel avec coefficients multiplicateur RO et autres bidules qu’on va pouvoir prédire avec certitude, ni en faisant les savants avec quelques mots statistiques et autre prévalence et autres proportions. Ça serait bien trop facile et trop simple. Il y a plein de paramètres.

Alors oui le nombre de morts causé par la COVID 19 peut et va certainement ré augmenter mais les même causes contrairement à ce que je peux lire bien souvent ici ou ailleurs, ne font pas nécessairement les mêmes effets, car les données changent ou ne sont pas toutes connues avant et en cours de route. Et un même virus ne va pas donner les même effets chaque fois, sinon, y aurait personne pour discuter de ça sur la planète depuis bien longtemps. Le vivant, le réel, ce n’est pas une équation de physique ou une formule mathématique, qui se résume en trois formules simple, genre tout se transforme rien ne se crée ou les mêmes causes donne les même effets, etc etc, n’en déplaise au plus malins d’entres nous qui pensent souvent avoir un Graal ou une martingale entre les mains en balançant des formules mathématiques ou des règles statistiques. Mais oui avec les données des populations et ce que l’on constate, faut pas être vieux et en mauvaise santé, mais ça on le savait déjà.

Pour me clore, à aucun moment le système de santé en France n’a été dépassé ou même en risque de Shut-down, durant la première vague. Les pertinents me diront que c’est grâce au confinement, les impertinents que personne n’en sait rien du tout.

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1. Hervey
  
  30 août 2020 11h41
  
  CLOCLO clôt bien trop vite.
  J’ai souvenir de trains-Covid et d’hôpitaux de campagne mis en place à la hâte pour accueillir les malades qui ne pouvaient pas être pris en charge par le système hospitalier dans les régions où l’épidémie faisait rage… sans parler des laissés pour comptes vu leur âge.
  
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  1. CloClo
    
    30 août 2020 11h56
    
    Hervey,
    
    Les TGV vers Toulouse ou la Bretagne ? Pour l’Hôpital militaire ? Ca c’est une histoire de com pure presque dégueulasse en fait ou de bêtise publique va savoir ! Et au fait 3 malheureuses tentes médicalisées montées en 10 jours, pour la 6 ié puissance militaire mondiale ça interroge. La réalité est que même dans l’Est, les cliniques privées et leurs lits de réa n’ont pas été véritablement sollicitées, ni les hôpitaux juste de l’autre côté de la frontière en Allemagne ou en Suisse (qui avait proposé des lits) à quelques kilomètres.
    
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/04/10/coronavirus-pourquoi-les-etablissements-de-soins-prives-sont-restes-en-deuxieme-ligne_6036270_4355770.html
    
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  2. Hervey
    
    30 août 2020 13h47
    
    @cloclo
    L’article du monde tente d’expliquer les couacs entre établissements de soins publics et privés, ce qui en soi est le signe d’un dysfonctionnement quant au traitement des patients.
    Que l’on n’ait pas fait appel aux « aides étrangères »… on comprend pourquoi, c’aurait été une vraie gifle que s’infligeait le pouvoir politique en reconnaissant sa responsabilité dans sa gestion du système de santé que par ailleurs on lui reproche suffisamment en interne.
    Je pense que c’est une erreur de jauger la capacité de réaction d’un pays atteint par une pandémie en lien avec sa puissance militaire. L’exemple des Etats Unis d’Amérique comme d’Europe biffent d’une croix cet argument. Non, les dépenses militaires ne protègent pas du covid.
    
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  3. CloClo
    
    30 août 2020 16h11
    
    Hervey,
    
    Je ne parle pas de la puissance militaire pour lutter contre le COVID, mais pour monter un hôpital de campagne… Un foutu hôpital de campagne. 10 jours en temps de paix avec les pleins moyens ! Faudra pas être blessé en temps de guerre, non faudra pas.
    
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  4. François M
    
    30 août 2020 23h33
    
    Cloclo,
    
    Il y a quelques jours sur France Inter, Martin Hirch, chef de l’AP-HP, racontait avoir été réveillé en pleine nuit, début avril de mémoire, car une personne devait être hospitalisée (en réa ?) et il n’y avait plus une seule place dans tous les hôpitaux d’île de France. Plus une seule.
    
    On ne parle même pas « des vieux » à qui on demandait de mourir en silence dans leur ehpad parce que les places d’hosto étaient réservées aux b plus jeunes.
    
    Il y a 5.000 places officielles en réa en France, au pic des réa on est monté à 14.000, en « créant » des places dans des services non prévus pour, avec du personnel peu ou pas qualifiés (ça ne se gère pas comme une fracture du tibia un patient en réa). Donc conclure qu’il n’y a pas eu saturation, c’est nier les milliers de gestes héroïques des soignants.
    
    D’un point de vue matériel, il y a également eu saturation au niveau des produits anesthésiants. Et je ne parle même pas de l’équipement de base pour la protection du personnel médical.
    
    On a la mémoire courte chez Cloclo.
    
    Répondre
  5. CloClo
    
    31 août 2020 1h02
    
    François M.
    
    Le témoignage de M. Hirsh ? Pourquoi pas.
    
    La goutte qui aurait donc fait déborder le vase, et infirmé que le système n’a pas été dépassé.
    
    (mais sur le bonhomme, moi je vous rappellerai cet épisode là : https://blogs.mediapart.fr/albert-herszkowicz/blog/020519/la-honte-de-martin-hirsch-et-de-christophe-castaner-quils-demissionnent)
    
    « On ne parle même pas « des vieux » à qui on demandait de mourir en silence dans leur ehpad parce que les places d’hosto étaient réservées aux b plus jeunes. »
    
    Cher François, cette phrase selon moi, et gratuite et inconvenante. D’abord on n’a pas demandé au « vieux » de mourir en silence, on les a laissé et aidé à le faire pour les plus faibles en EHPAD. Comme bien souvent, parce que trop faibles pour encaisser le choc. Et quelque part dire que les places étaient réservées aux plus jeunes, faudrait être un peu plus précis, à ce sujet, car vu qu’il y avait sur Paris presque une « chance » sur deux de sortir les pieds devant de la réa, on aimerait voir « ces jeunes » dans les stats.
    
    D’ailleurs vous êtes dans la ligne et en bonne compagnie de E.Ciotti, en tenant ce discours :
    
    https://www.lci.fr/sante/coronavirus-hospitalisation-reanimation-des-personnes-agees-a-t-on-trie-les-patients-atteints-du-covid-19-dans-les-ehpad-2160528.html
    
    Je note que les autorités parlent d’une utilisation fallacieuses des chiffres… Et surtout ne va pas en réanimation qui veut, malheureusement faut supporter le choc, ce qui chez des patients âgés et faibles est rarement le cas.
    
    « Donc conclure qu’il n’y a pas eu saturation, c’est nier les milliers de gestes héroïques des soignants. »
    
    D’abord, jusqu’à plus ample informé, soigner et le travail des soignants, voir des héros partout n’est pas un penchant naturel chez moi. Ensuite, si dire qu’il n’y a pas eu saturation (et c’est tant mieux car beaucoup de lits ont été libérés comme vous le précisez) c’est nier ce travail, c’est un procédé curieux aussi gratuit de votre part, faudrait argumenter la chose.
    
    Répondre
2. Lagarde Georges
  
  30 août 2020 13h43
  
  En réalité il y a énormément de choses qu’on ignore sur la manière dont le virus et ses éventuelles variantes se propagent, sur la manière dont nos défenses naturelles le combatent ou pas et sur l’efficacité des mesures prises pour (essayer de) limiter les dégats.
  
  En math ou en physique on parlerait de conjectures ou de théories dont les preuves et contre-preuves expérimentales n’ont pas encore été trouvées.
  
  Les médecins n’ont souvent pas d’autre choix possible que d’agir avant d’avoir réllement compris ce quíls font et leurs résultats sont assez souvent meilleurs que quand leurs patients se tournent vers le bouche-à-oreille, la sorcellerie ou le suicide.
  
  Le probème avec les « responsables politiques », les journalistes mais aussi les scientifiques malhonêtes c’est qu’ils ont beaucoup de mal à dire « on sait pas ».
  
  Répondre
3. Pierre-Yves Dambrine
  
  30 août 2020 17h23
  
  Cloclo,
  Dans l’article du monde auquel vous vous référez il est pourtant dit que les hôpitaux publics étaient « surchargés « et qu’à cause des « habitudes de travail du Samu » les malades n’ont pas été répartis comme il aurait fallu.
  Pour l’hôpital de campagne je vous suis, Il faut se souvenir des témoignages des personnels soignants. Il y a bien eu une période où il leur a fallu trier les malades, comme en Italie d’ailleurs. Donc si, le système a été dépassé, pas pendant une période très longue certes, mais tout de même. Je crois que nous avons surtout une grande capacité d’oubli des choses désagréables.
  
  Répondre
  1. Pierre-Yves Dambrine
    
    30 août 2020 17h27
    
    Après « je vous suis » il fallait lire :
    pour le reste il faut se souvenir des témoignages …
    
    Répondre
  2. CloClo
    
    30 août 2020 18h37
    
    Salut PYD,
    
    Je parlais du système de santé dans son intégralité, être surchargé ici ou là, ne met pas le système en péril.
    
    Répondre
4. XTIAN
  
  30 août 2020 20h27
  
  D’accord avec vous , et pour les aficionados de la règle de 3 , ré-évoquée il y a peu par Paul , il faut rappeler de ne pas oublier de vérifier la proportionnalité avant d’appliquer cette règle.
  
  Ici la vérification consiste à se demander « si on double le nombre de tests, le nombre de contaminés va-t-il doubler ? Si on double le nombre de contaminés , le nombre d’hospitalisés va t’il doubler ? le nombre de morts va t’il doubler ?
  
  Répondre
François M

30 août 2020 0h51

L’école, de futurs clusters… je ne suis pas le seul à y penser.

https://www.sudouest.fr/2020/08/29/rentree-scolaire-l-ecole-n-est-par-prete-estiment-des-medecins-qui-appellent-a-durcir-le-protocole-7787024-11026.php

Le nombre de cas augmente, le % de symptomatiques dans les cas positifs augmente, le taux de positivité augmente, le taux de prévalence augmente, les entrées en hospitalisation augmentent, les décès vont bientôt augmenter…

J’estime qu’on est arrivé au niveau de fin février ou début mars. Avec un R0 plus faible, la dynamique devrait nous faire tenir jusqu’à fin septembre, peut-être moins si les « clusters école » sont nombreux.

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1. wanina
  
  30 août 2020 1h05
  
  Ok mais si les décès n’augmentent pas , que pourrons nous en conclure ?
  
  Répondre
2. Jeanson Thomas
  
  30 août 2020 10h07
  
  » Nous faire tenir » signifie sans confinement ?
  
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ed

30 août 2020 9h47

Il faudrait titrer, je ne sais pas si mon anglais est correct, sinon corrigez le :
Daily cases tested, car selon un article du monde il y aurait eu 100 000 cas par jour au plus fort de l’epidemie, et 10 000 aujourd’hui (2 * plus que testés, logique)
Selon Berruyer il y aurait eu quasiment 250 000 cas par jour au plus fort de la crise, mais bon j’ai rien dit (dikkenek )

Donc on prend comme pour les manifs, entre un « mainstream » et un « complotiste » (on rigole Paul) on coupe la poire en 2, ça fait 175 000 cas .

Maintenant on modère ou pas Paul

Répondre
Hervey

30 août 2020 10h27

« J’y pense et puis j’oublie ».
Si nous sommes arrivés à devoir mettre un masque dans l’espace public pour respirer, c’est bien le signe que l’air n’est plus tout à fait gratuit, non ?
https://hervey-noel.com/wp-content/uploads/2020/08/hervey_masque_redon.jpg

Nous ne savons plus que faire des richesses accumulées (pensée triviale).

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Moi

30 août 2020 18h38

Il me semblait qu’elle était déjà là la fameuse seconde vague. Donc finalement non? Elle arrive, elle arrive, elle ne saurait tarder. Mieux vaut en rire…

Répondre
joss

30 août 2020 19h19

Je maintiens que la Suède a fait le bon choix (rapport bénéfice/risque en tout point de vue). Nous, nous jouons au yo-yo.
Les données covid en Suède:
https://experience.arcgis.com/experience/09f821667ce64bf7be6f9f87457ed9aa/page/page_0/

Répondre
1. Paul Jorion
  
  30 août 2020 23h31
  
  Vous maintenez que la Suède à fait le bon choix ? On peut dire que vous n’êtes pas difficile !
  
  207e sur 215 pour le nombre de morts de la Covid par habitants. On vous laisse une chance d’encore changer d’avis…
  
  Répondre
2. François M
  
  30 août 2020 23h42
  
  Suède: 23 hab / km2. France: 107… Les suédois sont naturellement en distance physique entre eux.
  
  Répondre
  1. CloClo
    
    31 août 2020 1h24
    
    François M,
    
    On va essayer d’être maintenant un peu plus précis et argumenté dans nos échanges si vous voulez bien ?
    
    La Suède à un Taux d’urbanisation de 87 %. Ce qui fait que sur les quelques 10 millions d’habitants du pays, 8,7 millions vivent en ville. Dont Wiki nous informe (gracieusement, faite un Don !) qu’elles représentent ces villes 1 421 km2, ce qui donne 6 122 personnes au Km2. 300 fois votre chiffre mon ami !
    
    Vous voyez, on peut partir sur des données qui semblent correctes mais qui n’ont aucun sens dans la réalité (vous savez quand même que le ratio hbs/km2 prend en compte même les terres inhabitables, à quoi peut bien servir pareil indicateur à part enfiler des perles le dimanche ?). Et ça on le voit tout le temps, pour plein de choses, les stats, les stats, les formules, les formules, mais de quoi parle-t-on vraiment c’est souvent une autre histoire.
    
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Su%C3%A8de#D%C3%A9mographie
    
    Petit cadeau : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_taux_d'urbanisation
    
    Répondre
Doodie Polna-Lmplmy

30 août 2020 20h21

« Je suis optimiste pour la rentrée ! »
https://www.youtube.com/watch?v=4fX_CFcOwSU

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Dundee

30 août 2020 20h38

Teussion… la prune ou les plombs. Créer un bon climat qui redonne confianssssseu puisquonvousledit cesksévré

Dans les bars et restaurants de Paris, la police contrôle le respect du port du masque et des gestes barrière
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/dans-les-bars-et-restaurants-de-paris-la-police-controle-le-respect-du-port-du-masque-et-des-gestes-barriere_4088533.html

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François M

31 août 2020 6h27

Le gouvernement français vient de réduire drastiquement la liste des personnes à risque, par un décret daté du 30/08 et valable au 1er septembre.
https://www.ouest-france.fr/economie/emploi/chomage/travailleurs-fragiles-qui-reste-au-chomage-partiel-6952887
https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000042284852

Désormais, ceux qui ont des comorbidités peuvent aller se faire contaminer avec le sourire masqué en entreprise ou à l’école. Et sont priés de garder le sourire lorsqu’ils entreront en réanimation. Car le « quoi qu’il en coûte » est maintenant un
« quoi qu’il en coûte de … votre santé ou de votre vie ».

On appelle ça la « sélection libérale » : l’économie et la finance (les bouts de papiers) sont prioritaires par rapport au respect de la vie. On remarquera le coup de poignard dans le dos des plus faibles, ceux qui ne sont pas en tête de cordée sanitaire, la veille de la rentrée. Au moins Trump a pour lui de le dire à haute voix, sans fausse pudeur. Macron n’a même pas ce courage là.

Dans un mois, cela réjouira tout ceux qui ont les yeux sur la courbe des décès. Triste France.

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1. François M
  
  31 août 2020 6h32
  
  Le décret précédent, pour ceux qui veulent comparer :
  https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041849680&categorieLien=id
  
  Répondre
2. joss
  
  31 août 2020 9h32
  
  Comme diraient nos gouvernements : « c’est pour notre santé ».
  Cela me rappelle l’histoire du « petit chaperon rouge » face à sa grand-mère…
  
  Répondre
joss

01 septembre 2020 0h04

Wuhan se prépare pour la 2ème vague, quelques uns ont leur masque de piscine 🙂

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