Lovelock a passé sa vie à plaider en faveur de mesures climatiques, des décennies avant que beaucoup d’autres ne commencent à prendre conscience de la crise. Au moment de sa mort, il ne croyait pas qu’il existait encore un espoir d’éviter certains des pires impacts de la crise climatique.
C’est effectivement une interprétation plausible de ses propos.
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