Lovelock a passé sa vie à plaider en faveur de mesures climatiques, des décennies avant que beaucoup d’autres ne commencent à prendre conscience de la crise. Au moment de sa mort, il ne croyait pas qu’il existait encore un espoir d’éviter certains des pires impacts de la crise climatique.
Selon « Claude Sonnet 4 », première tentative, la limite de survie de l’espèce humaine, à plus de 6 heures d’exposition, dépendamment…
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