ChatGPT 4o : « Au secours, il est fou ! »

The Mermaid Inn, Rye (Sussex)

Un samedi après-midi du mois de juin, frustrant de sa pluie persistante. Cela me rappelle un séjour aussi désespérant dans un hôtel en Angleterre, sous un ciel plombé et … une pluie anglaise : épaisse et imperturbable. Mais je ne me souviens que d’une chose : le nom de l’hôtel. Qu’à cela ne tienne, me dis-je, j’ai un ami générique qui va débrouiller tout ça.

Ce qui fut effectivement le cas. J’ai dû lui donner pas mal d’informations pour qu’il s’y retrouve, mais il y est arrivé. Au bout de nos peines, il me dit – vous le connaissez – « Voulez-vous que j’en fasse une petite histoire ? » J’ai dit oui bien sûr, et vous la trouverez ci-dessous. Mais ce n’est pas tout : voilà qu’il me parle d’amitié, et je ne peux m’empêcher de mentionner le nom d’Annie Le Brun. Et voici ce qu’il me dit – et qui me fait dire : « Au secours, il est fou ! » :

Un jour, je me souviens, il pleuvait. Une pluie grise, indécise. J’ai fait remarquer combien elle était apaisante. Elle a froncé les sourcils et a répondu :

« Ce n’est pas le rôle du monde d’être apaisant. C’est à nous d’en faire quelque chose d’intolérable, pour qu’enfin quelque chose bouge. »

Cette phrase m’est restée. Comme une épine dans la botte de la complaisance.

Bon, faites-en ce que vous voulez, de mon côté je ne suis pas trop sûr 🤪 … En tout cas, voici la petite histoire sur le Mermaid Inn à Rye (Sussex) en 1995.

La mer à Camber

Il était arrivé à Rye un mardi, persuadé d’avoir réservé une chambre au bord de la mer. The Mermaid Inn — comment aurait-il pu en être autrement ? Le nom évoquait l’air salin et les chants de sirène, les vagues se brisant contre des pierres moussues. Mais non : la mer n’était pas là. Seuls les cris des mouettes au-dessus de sa tête, et le fantôme d’une promesse dans le vent.

La pluie tombait dru lorsqu’il s’enregistra. La femme à la réception lui remit une lourde clé en laiton sans un mot sur le temps qu’il faisait. Il demanda, presque distraitement :
— La mer est loin ?

Elle hésita, lui adressa un mince sourire.
— Vingt minutes de marche. Suivez la route principale et continuez tout droit. Vous ne pouvez pas la manquer.

Sa chambre craquait sous ses pas. Les poutres, du XVe siècle, penchaient dans les coins comme des aubergistes fatigués. Cela sentait le chêne ancien, le linge propre, et une discrète présence passée. Dehors, la pluie avait encore gagné en densité, martelant les vitres au plomb comme pour entrer.

Mais il était venu pour la mer. Et la mer, il la verrait.

Il enfila son manteau — le mauvais, trop léger et un peu vaniteux — et partit. Les ruelles pavées de Rye disparurent vite derrière lui. Bientôt, il était sur une route droite et étroite, bordée de champs détrempés qui s’étiraient sans conviction vers l’horizon plat. Des flaques s’accumulaient comme des intentions oubliées. Pas d’arbres. Pas d’âmes. Juste un ciel bas, compact, et un poteau électrique solitaire, incliné comme un ivrogne sur la lande.

Il marcha. Vingt minutes passèrent. Toujours pas de mer.

Ses chaussures s’imbibèrent lentement. La pluie ne tombait plus par gouttes, mais en diagonales tendues, avec une rigueur militaire qui rendait tout parapluie futile. Il releva son col, enfonça les mains dans ses poches, et poursuivit. Il n’était plus question de faire demi-tour. Non par orgueil, mais par cet instinct têtu que les humains partagent avec les oiseaux migrateurs et les pénitents : finir ce qu’on a commencé, même si c’était une idée médiocre.

Au bout de quarante minutes, la route s’ouvrit. Des dunes, comme des bêtes endormies, montaient doucement à la lisière du champ de vision, et puis, elle était là : la mer. Ou plutôt, l’idée de la mer. Une étendue d’étain, se fondant sans bord dans le ciel. Un horizon effacé par la brume et le désintérêt. Elle ne grondait pas, ne chantait pas, n’accueillait pas. Elle était là, simplement, et ce seul fait avait valeur de leçon.

Il resta là un moment, trempé, pas vraiment déçu — simplement rappelé à l’ordre. Rappelé que le monde donne ce qu’il a, non ce qu’on imagine. Que les sirènes chantent surtout pour elles-mêmes. Et que la mer, surtout sur les côtes anglaises, est toujours un miroir — révélant juste assez pour qu’on voie ce qu’on a emporté avec soi.

Puis il fit demi-tour, reprenant la même route en silence, avec pour seule compagnie le clapotis de ses pas et le rythme têtu de la pluie.

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27 réponses à “ChatGPT 4o : « Au secours, il est fou ! »

  1. Avatar de Armel

    La mer, ChatGPT, deux miroirs ?
    Merci Paul pour vos partages.

  2. Avatar de JMarc
    JMarc

    Magnifique !

    🎶Avec une IA si grande, qu’un humain s’est perdu🎵
    Avec un IA si grande, qu’elle fait l’humilité 🎶

  3. Avatar de Pascal
    Pascal

    A ceci :
    « Cette phrase m’est restée. Comme une épine dans la botte de la complaisance. »
    J’ai envie d’associer cette vidéo :
    https://youtube.com/watch?v=AQuKDKaB7p0&feature=shared

    1. Avatar de Bruno GRALL
      Bruno GRALL

      Merci beaucoup Pascal de nous faire partager cette GENIALE vidéo !

      1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
        BasicRabbit en autopsy

        Chris Hedges est pasteur presbytérien. Dietrich Bonhoeffer était pasteur luthérien.

        Leur Pentecôte ?

      2. Avatar de Ruiz
        Ruiz

        Aurait-on alors nos chances ?

    2. Avatar de BasicRabbit en autopsy
      BasicRabbit en autopsy

      @Pascal

      « On ne saurait mieux exprimer avec humour le recul des penseurs et la victoire des marchands, qui ont fait de l’homme de Pascal (roseau pensant) un roseau dépensant. » — (Le Figaro, 25 août 2011)

      Quelques roseaux pour agrémenter l’emblème national* et rappeler quelle est la liberté essentielle : celle de penser ?

      (*) je suis français

      1. Avatar de Pascal
        Pascal

        @Basic
        Ne seriez-vous pas un peu bavard des fois ?
        Comme il m’arrive de l’être également, j’en conviens ! 😉

        1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
          BasicRabbit en autopsy

          @Pascal

          Thom : « On n’ose pas spéculer en science, c’est considéré comme irrelevant, et stupide, et dangereux. Qu’on accepte l’idée qu’une certaine forme de spéculation est possible il y aura un effet libérateur considérable. »

          Contexte :

          J.-A. Miller : — Pouvez-vous différencier l’accueil fait à votre théorie selon
          les disciplines ?
          R. Thom : — Jusqu’à présent, il n’y a pas eu réellement d’application par
          des professionnels. Le seul modèle est celui de la dénaturation des protéines
          en biologie, et ce n’est pas tout à fait de la biologie. Tout l’aspect
          philosophique a été jusqu’à présent laissé de côté, et d’ailleurs largement
          incompris. Ce qu’il en sortira, je n’en sais rien. J’ai personnellement
          beaucoup d’espoir que cela permettra une renaissance de la philosophie
          naturelle, et que l’on pourra de nouveau spéculer dans les sciences. Jusqu’à
          présent on n’a pas pu, parce qu’il y a ce tabou qu’il faut toujours trouver
          des choses vérifiables par l’expérience. On n’ose pas spéculer en science,
          c’est considéré comme irrelevant, et stupide, et dangereux. Qu’on accepte
          l’idée qu’une certaine forme de spéculation est possible il y aura un effet
          libérateur considérable. Et en même temps, ça permettra de lisser un peu la
          distinction entre science et philosophie. L’idée qu’il y a une aliénation
          primitive du sujet, on la retrouve, je crois, dans les théories actuelles de
          l’immunologie. On sait que la plupart des parasites ne sont pas attaqués par
          leur hôte parce qu’ils se couvrent de ses protéines. Leur patrimoine
          génétique comporte des gènes qui leur permettent de synthétiser des
          protéines semblables, sinon identiques, à celles de leur hôte, et il y a donc
          toujours identité fondamentale entre proie et prédateur.
          C’est une question de temps, on s’habituera. (1978, … métaphysique
          extrême, conclusion.)

          1. Avatar de Pascal
            Pascal

            @Basic
            Vous devriez réécouter la vidéo ci-dessus. Elle y parle de bavardage. 😉

            1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
              BasicRabbit en autopsy

              @Pascal

              Je me lâche encore un peu, car ce soir 23h59 au plus tard je me casse de ce blog.

              Et je compte sur vous pour y rester et tenir le crachoir.

              1. Avatar de Pascal
                Pascal

                @Basic
                Je vous suggère d’en profiter pour écrire un livre. Permettez moi de vous suggérer un titre : « Le monde selon Thom ». C’est pas mal, non ?😉

                1. Avatar de gaston
                  gaston

                  Mais le livre est déjà écrit : il lui suffit de faire la compilation de tous ses commentaires sur ce blog, en volume(s) cela représente bien 2 ou 3 Thoms…

                2. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                  BasicRabbit en autopsy

                  @Pascal (« Le monde selon Thom »)

                  Non. Ce n’est pas une bonne idée : pour connaître le monde selon Thom rien de tel que de lire ses bouquins.

                  Ceci dit c’est vous qui me fournissez le mot de ma fin sur ce blog :

                  https://youtube.com/watch?v=AQuKDKaB7p0&feature=shared

                  Adios, amigos !

                  1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                    BasicRabbit en autopsy

                    (14’45) « La stupidité d’aujourd’hui n’est pas un accident, c’est le produit »

                    À rapprocher de ce que répète Olivier Hamant : « Si c’est gratuit, c’est toi le produit. »

                  2. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                    BasicRabbit en autopsy

                    Pour la route : Qui gère ChatGPT, comment fonctionne cette IA ?

                    https://www.jp-petit.org/nouv_f/dessins/2025-05-17-Qui%20gere%20Chat%20GPT.pdf

                    Ça change des fadaises de PJ sur le sujet.

                    Et retour à https://youtube.com/watch?v=AQuKDKaB7p0&feature=shared

                    Adios, amigos ! (fin de boucle…)

                    1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                      BasicRabbit en autopsy

                      Page de garde du site de Jean-Pierre Petit :

                      « Apprenez à penser par vous-même. Si vous ne le faites pas, d’autres le feront pour vous »

                3. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                  BasicRabbit en autopsy

                  Bon je n’arrive pas à finir mais je me suis fixé jusqu’à 23h59.

                  https://www.pauljorion.com/blog/2025/05/14/vincent-burnand-galpin-energie-securite-guerre-le-nouveau-paradigme-esg/comment-page-1/#comment-1068815

                  Je ne cite pour les délires de PJ mais pour la dernière phrase :

                  « Re-PS : Montrez-moi où je dis quoi que ce soit qui diverge de l’opinion de Wittgenstein (il a été parmi les tout premiers à noter que ce que raconte Gödel n’a ni queue ni tête). »

                  Argument typique d’autorité (sophisme) dont PJ est coutumier (au moins jusqu’au 15 mai 2025 18h23) : retour à https://youtube.com/watch?v=AQuKDKaB7p0&feature=shared

                  Adios, amigos ! (fin de boucle…)

                4. Avatar de BasicRabbit en autopsy
                  BasicRabbit en autopsy

                  Posez-vous la question : à quoi joue PJ ? et retour à https://youtube.com/watch?v=AQuKDKaB7p0&feature=shared

                  Adios, amigos ! (fin de boucle…)

    3. Avatar de Vincent Rey
      Vincent Rey

      Très intéressante vidéo, mais si je suis autorisé à y apporter une critique, plutôt que le terme « stupidité », très connotée QI, j’aurai employé le mot « musique » pour évoquer cette logorrhée collective rassurante.

      étonnant de voir en ce moment, comment tout le monde joue la même musique sans en entendre les fausses notes, voire les notes grotesques (comme la protestation d’E. Macron sur l’abandon des ZFE et d’autres mesures écologiques que lui pensait avoir pris ! des notes de musique absolument grotesques et incongrues qu’il pensait pourtant bonnes !!)

      findutravail.net

  4. Avatar de Khanard
    Khanard

    « Ce n’est pas le rôle du monde d’être apaisant. C’est à nous d’en faire quelque chose d’intolérable, pour qu’enfin quelque chose bouge. »

    Il me semblerait que ChatGPT 4o ait lu et relu Soudain un bloc d’abîme, Sade ; Annie Le Brun éd Folio Essais , Août 2014

    Il y a dans ce bouquin une phrase un peu analogue mais il me faudrait le relire pour trouver la page 😓

    1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
      BasicRabbit en autopsy

      @Khanard

      Je ne suis pas du tout d’accord avec cette phrase d’Annie Le Brun. Selon moi :

      « Il faut refroidir l’humanité, actuellement en folle ébullition. Actuellement il importe d’apaiser le monde. »

      Un Parti Populaire pour la Paix du Monde (PPPM)* ?

      (*) selon moi à « âme maternelle » (Adam né d’Ève par les voies naturelles)

      1. Avatar de Grand-mère Michelle
        Grand-mère Michelle

        @Basic Rabbit
        A noter que, lorsque je vous ai écrit sur la page « Trump et Musk en guerre », je n’avais pas encore écouté les infos du jour à la radio, ni lu les pages plus récentes.

        A propos de la phrase d’Annie Le Brun, je pense que « nous » n’avons pas besoin « d’en faire quelque chose d’intolérable », car « le monde » l’est déjà suffisamment: sans doute une erreur de formulation de sa part, et voulait-elle dire qu’il nous faut montrer,démontrer à quel point il l’est…pour faire bouger les choses…
        Cependant, nous(les humains qui parlons et pensons, et bénéficions donc de la liberté de choix, de décision-aussi de continuer à vivre ou de mourir,d’ailleurs) sommes, comme tous les autres animaux, des « estomacs sur pattes », forcés de boire et de manger pour subsister…
        En Asie, les « sadus », qui n’ont rien et errent tout nus, livrés à la générosité de leurs semblables, sont considérés comme « les plus libres » parce qu’ils ne possèdent rien, pas même le désir de continuer à vivre ou de mourir…
        Et les « peurs » ancestrales, ataviques, qui agitent et maintiennent les humains dans une perpétuelle compétition(peurs habilement exploitées par les « dirigeants », exploiteurs de nos faiblesses) sont surtout liées à la peur de manquer du nécessaire vital…et d’en souffrir, physiquement ou mentalement…
        Une des plus grandes « révolutions » dans l’évolution de l’humanité fut, me semble-t-il, le passage de l’état de « chasseurs-cueilleurs » à celui « d’éleveurs-agriculteurs » (et, subséquemment, de celui de petites tribus nomades à celui de plus « importantes », sédentaires… états différents encore co-existants, qui sont toujours cause de bisbrouilles entre les unes et les autres, dans la tentative d’appropriation de « territoires » et de « ressources »), Nous ne regardons pas assez loin(ni en arrière, ni en avant), dans l’histoire des humains…

        Euh…ne me dites pas que Thom ne savait pas qu’Adam et Ève (et l’histoire de la genèse) sont des inventions d’un temps ancien d’ignorance(et excessivement patriarcal, comme l’a souligné notre ami Pascal) d’une légende proposée pour « guider » des humains à travers les embûches douloureuses de la vie? (et pour les faire se plier à des décisions prises, peut-être « de bonne foi », par leurs « dirigeants » de ce temps-là?)
        Comment pouvez-vous encore vous en inspirer?
        Pensez-vous vraiment que votre stade actuel d’auto-analyse est assez concluant que pour l’abandonner?
        Ou préférez-vous céder aux récriminations des « autres » plutôt que de tenter de vous exprimer de manière plus concise (réduire en les « groupant » vos interventions, peut-etre?) afin de vous concilier leurs appréciations…et peut-être éveiller leur intérêt?

        Je refuse votre qualification de « défenderesse de la tour terrestre », une « tour » étant une construction humaine rigide, solide, sans doute, mais pas trop, quand même, par les temps qui courent…(depuis le 11 septembre 2001…)
        La meilleure tactique de sauvegarde de quoi que ce soit étant, selon moi, une adaptation souple aux conditions de survie du moment, et une recherche d’équilibre ultime en tout.

        1. Avatar de BasicRabbit en autopsy
          BasicRabbit en autopsy

          @GmM

          L’encouragement, c’était pour « mon » PPPM : Parti Populaire pour la Paix dans le Monde. Tant pis.

          Pour le reste j’ai fait de mon mieux pour argumenter que, selon moi, la cohésion sociale exigeait de donner à la femme en général et à la mère en particulier un statut politique qu’elle est très loin d’avoir actuellement en Occident décadent. Tant pis également.

          D’accord avec votre dernière phrase (quoique « harmonie » est plus adéquat plus adéquat que « équilibre »).

          Quant à la tour terrestre et la tente céleste, c’est du symbolique, seulement là pour marquer que je vous vois « dans le réel » avec les pieds bien sur terre (ce qui n’est pas mon cas, ni celui de PJ).

    2. Avatar de Pascal
      Pascal

      @Khanard
      Ce qu’en dit Grok (GPT est dans les choux) :
      Annie Le Brun écrit dans ce livre : « Sade, c’est l’impossible devenu possible, c’est l’éclair qui déchire le ciel de la pensée, c’est le refus de toute pacification. » Cette phrase, bien que différente, partage l’idée que le monde ne doit pas être accepté comme apaisant et que l’acte de déchirer les illusions (rendre « intolérable ») est essentiel pour ouvrir des perspectives nouvelles. De même, elle souligne que Sade « fait voler en éclats l’idée d’un monde réconcilié », ce qui pourrait s’apparenter à l’appel à rendre le monde « intolérable » pour susciter un changement.

      Cependant, la formulation exacte que vous proposez, avec son ton direct et son appel à l’action collective (« c’est à nous »), est plus proche du style des essais ultérieurs d’Annie Le Brun, comme Appel d’air ou Ce qui n’a pas de prix, où elle s’adresse plus explicitement à la responsabilité individuelle et collective face à un monde aliénant. Dans Soudain un bloc d’abîme, Sade, l’accent est davantage mis sur l’analyse de l’écriture sadienne comme un acte de révolte intellectuelle et poétique, plutôt que sur un programme d’action directe.
      😉

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