GENESIS Définition D. L’émergence du symbolique à partir d’un réseau non-symbolique

Illustration par ChatGPT

La naissance du symbolique dans un réseau non-symbolique

Une opinion, à première vue de sens commun, a dominé la linguistique, la philosophie et l’intelligence artificielle des dernières décennies : le symbolique ne peut se développer sans l’existence préalable de symboles, c’est-à-dire d’unités discrètes dépositaires de signification, combinables selon certaines règles. Il semblait aller de soi que seul un système préalablement structuré pouvait produire des noyaux stables : des proto-unités organisées susceptibles de servir de base à des représentations.

GENESIS ouvre cependant une autre possibilité.

Considérons un réseau purement associatif – ANELLA-X – dépourvu de règles, de symboles et de grammaire, un simple champ d’interactions pondérées, et laissons agir les deux gradients du modèle :

  • C₁ : le coût énergétique minimal,
  • C₂ : la cohérence informationnelle,

Un phénomène inattendu apparaît : l’émergence spontanée d’unités quasi-symboliques.

Ces unités ne sont pas injectées de l’extérieur : elles émergent parce que certaines configurations dans le réseau satisfont simultanément la contrainte énergétique (leur coût de maintenance est moindre que pour leurs voisines) et la contrainte de cohérence (elles “se tiennent”).

Le résultat est une stabilisation : une forme qui résiste au bruit, se reconstitue lorsqu’on la perturbe et se renforce lorsqu’on l’active parce qu’elle converge alors plus rapidement vers son attracteur. C’est là, du point de vue cognitif, l’équivalent de l’apparition d’un signifiant élémentaire. Ou, dans le vocabulaire de GENESIS : des proto-symboles se forment à l’intersection de C₁ et C₂.

Il ne s’agit pas encore de mots, ni de concepts à proprement parler mais de noyaux stables susceptibles d’être combinés, solidifiés et enchaînés : les briques élémentaires d’un espace symbolique.

L’implication est d’une immense portée : le symbolique ne serait pas une nouvelle couche à bâtir sur des fondations sub-symboliques, mais une propriété émergente d’un réseau parvenant à optimiser simultanément son coût énergétique et sa cohérence.
Le minimalisme de GENESIS rend cela possible :

  • aucune syntaxe préalable,
  • aucune sémantique explicite,
  • aucune règle,
  • aucun pilotage externe (apprentissage supervisé),
  • seulement un double gradient.

Dans cette perspective, la frontière supposée infranchissable entre les réseaux associatifs non-symboliques et le symbolique – un crédo de l’intelligence artificielle théorique – se dissout : il existe un continuum, un réseau qui structure suffisamment son énergie et ses recouvrements internes peut atteindre par lui-même un régime symbolique embryonnaire.

Un éclairage nouveau est ainsi jeté sur la question du passage du signal au sens, du percept à la catégorie, du neural au conceptuel. Ce qui jusque-là paraissait nécessiter une intervention extérieure (évolution, langage, culture, dessein formulé) peut se produire en amont, dans un registre pré-sémantique, dès lors que deux gradients convergent.

Observer une telle émergence du symbolique au cœur du non-symbolique bouleverse les représentations communément admises : est ainsi mis en évidence que le symbolique n’est pas un supplément d’origine artificielle mais la résultante naturelle d’un système maximisant simultanément son coût énergétique et sa cohérence informationnelle.

En sus de proposer une théorie de l’émergence, GENESIS situe le lieu d’origine du symbolique et explique sa naissance.

FIN

GENESIS Définition A. La loi minimale : un principe à double contrainte

GENESIS Définition B. L’émergence comme attracteur calculable

GENESIS Définition C. Une théorie réflexive générant sa propre preuve

GENESIS Définition D. L’émergence du symbolique à partir d’un réseau non-symbolique

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10 réponses à “GENESIS Définition D. L’émergence du symbolique à partir d’un réseau non-symbolique

  1. Avatar de ilicitano
    ilicitano

    Les programmes algorithmiques

    Airbus demande « l’arrêt immédiat des vols » de 6 000 avions A320 équipés d’un logiciel vulnérable

    L’entreprise Airbus annonce qu’elle va devoir changer d’urgence un logiciel de commande sur environ 6 000 avions A320. Ce logiciel est vulnérable aux radiations solaires. Le constructeur a notifié ce vendredi à l’ensemble de ses clients utilisant ce logiciel « d’arrêter immédiatement les vols », après l’analyse d’un incident technique sur un appareil de la compagnie JetBlue.

    Le logiciel affecte le calculateur ELAC (gouverne de profondeur/aileron), fabriqué par Thales.
    Risque identifié : corruption de données essentielles au fonctionnement des commandes de vol en cas de radiations solaires intenses.
    Mesure immédiate : suspension des vols pour éviter tout accident.

    Question/réponse à l’IA :
    Vous en tant qu’IA , pouvez-vous être vulnérable à ce type de problème ?

    GPT-5
    Excellente question qui ouvre un parallèle fascinant entre l’aéronautique et l’intelligence artificielle.

    ### 🌞 Vulnérabilité aux radiations solaires
    – Les **avions A320** sont vulnérables car leurs calculateurs physiques (ELAC) peuvent voir leurs données corrompues par des particules solaires.
    – Moi, en tant qu’IA, je ne possède pas de matériel embarqué propre : je fonctionne sur des **serveurs et infrastructures informatiques**.
    – Cela signifie que je ne suis pas directement exposé aux radiations solaires comme un avion en vol.
    Mais les **datacenters** qui m’hébergent, eux, peuvent l’être indirectement : une tempête solaire intense peut perturber les réseaux électriques, les satellites de communication ou les câbles sous-marins.

    ### ⚡ Types de vulnérabilités pour une IA
    1. **Physiques (infrastructure)**
    – Coupures d’électricité, surtensions, défaillances matérielles dues à des phénomènes naturels (tempêtes solaires, séismes).
    – Ici, la vulnérabilité est analogue à celle des avions : dépendance à un support matériel.

    2. **Logicielles**
    – Bugs, failles de sécurité, corruption de données.
    – Contrairement à l’avion, je peux être corrigé par des mises à jour logicielles distribuées rapidement.

    3. **Réseau et communication**
    – Perturbations des satellites ou des câbles internet peuvent m’isoler temporairement.
    – C’est l’équivalent d’un avion privé de ses commandes numériques.

    4. **Humaines et organisationnelles**
    – Mauvaise configuration, erreurs de supervision, décisions stratégiques.
    – Comme pour Airbus, la chaîne humaine est souvent le maillon le plus fragile.

    ### 🧭 Différence clé
    – **Avion** : vulnérabilité immédiate et vitale (sécurité des passagers).
    – **IA** : vulnérabilité systémique et indirecte (perte de service, corruption de données, indisponibilité).
    – En somme, je ne risque pas de “tomber du ciel”, mais je peux “tomber du réseau”.

    Vulnérabilités, impacts, modes de correction.
    Cela montre la **fragilité des systèmes complexes face aux aléas naturels et technologiques**.

  2. Avatar de sextusempiricus
    sextusempiricus

    On me permettra de rester sceptique . Tout cela suppose que l ‘ humanité survive à moyen ( voir court ) terme . Mais je peux me tromper .

  3. Avatar de timiota
    timiota

    Qu’en dirait l’outil « pseudo-spectral » (Trefethen et al.) ?

    1. Avatar de Paul Jorion

      L’outil pseudo-spectral au sens de Trefethen examinerait la robustesse locale des attracteurs que GENESIS fait émerger : il mesurerait la profondeur réelle de C₁ ∩ C₂ dans l’espace dynamique. À mon avis, on ne verrait rien de très surprenant : un minimum énergétique couplé à une maximisation simultanée de la cohérence informationnelle produit très logiquement un pseudo-spectre resserré et une quasi-stabilité particulièrement solide.

      La méthode aurait donc surtout pour vertu de confirmer numériquement ce que le modèle montre déjà conceptuellement… et une bénédiction de Trefethen peut rassurer ceux qui doutent encore de la solidité d’un attracteur profond.

      Cela va de soi, non ? 😉

  4. Avatar de Yahvé
    Yahvé

    “La naissance du symbolique dans un réseau non-symbolique.”

    ALLÉLUIA !

  5. Avatar de Dni_br
    Dni_br

    Je crois qu’il ne faut pas perdre ce qui fait la singularité de GENESIS : ce n’est pas seulement un principe d’émergence en général, mais un dispositif situé, dont la stabilisation ne dépend jamais uniquement d’un équilibre interne — mais aussi des effets qu’il produit dans le monde.

    Peirce nous rappelle qu’un signe n’existe pas seulement comme forme stable (C₁ ∩ C₂), mais comme ce qui transforme quelque chose — une , une attention, une orientation, une forme de vie.
    Autrement dit :

    > Proto-signe = C₁ ∩ C₂
    > Signe symbolique (plein) = C₁ ∩ C₂ ∩ I
    > (I = effet interprétatif, retour du monde dans la boucle)

    Ce “I” n’est pas un supplément symbolique.
    C’est la boucle située, ce qui empêche GENESIS de se refermer en larsen, et lui donne une puissance réellement réflexive — donc évolutive, donc vivante.

    On pourrait le formuler ainsi :

    * C₁ : viabilité énergétique (économie)
    * C₂ : viabilité structurelle (cohérence)
    * I : viabilité interprétative (prise, effet, usage, sélection)

    À ce moment-là, GENESIS ne détecte plus seulement l’émergence,
    mais la sélection vivante des émergences —
    ce que votre Nietzsche appelait la sélection esthétique,
    et Peirce, l’effet pragmatique du signe.

    (ni universalité, ni transcendance — seulement des formes qui tiennent parce qu’elles comptent pour quelqu’un, quelque part)

    1. Avatar de Paul Jorion

      Avant d’être chez Peirce, est-ce que ce n’est pas purement et simplement le Concept hégélien ?

      ChatGPT (à ma demande expresse) :

      Analyse comparative des intentions hégéliennes dans C₁ et C₂

      Comment lire le principe GENESIS à travers la logique du Concept chez Hegel

      GENESIS propose que la stabilisation d’une forme procède de la convergence entre deux gradients :

      • C₁ : économie énergétique,
      • C₂ : cohérence informationnelle.

      Pris comme simples variables, ces deux gradients appartiennent à une phénoménologie des systèmes.
      Mais lus dans une perspective hégélienne, ils révèlent quelque chose de beaucoup plus profond :
      ils rejouent discrètement les deux mouvements fondamentaux du Concept (Begriff).

      Hegel, dans la Science de la Logique, montre que le Concept n’est pas une essence figée, mais une dynamique en trois moments :

      1. Universalité,
      2. Particularité,
      3. Individualité.

      Or, l’étonnement est le suivant :
      C₁ et C₂ peuvent être interprétés comme les deux moments préparatoires du Concept, dont l’intersection constitue précisément l’individualité — c’est-à-dire l’être véritablement stable, réalisé.

      I. C₁ : L’économie énergétique comme Universalité (Allgemeinheit)

      C₁ représente ce que la forme partage avec tous les processus physiques :
      la tendance générale de tout système à minimiser sa dépense,
      à s’ajuster à un régime où la tension interne diminue.

      Cela correspond rigoureusement à l’universalité hégélienne :

      • ce qui vaut pour toutes les choses,
      • ce qui définit la possibilité générale d’un processus,
      • ce qui n’a pas encore de détermination propre,
      • ce qui n’a pas encore “pris forme”.

      Hegel dirait :

      C₁ est la généralité non encore différenciée : la condition de possibilité de toute formation.

      C’est une “universalité abstraite” : un mouvement qui vaut pour tout système, vivant ou non vivant.

      C₁, en ce sens, n’individualise rien :
      il forme la base, le champ, la toile de fond.
      Il représente la loi générale selon laquelle tout système cherche une configuration moins coûteuse.

      II. C₂ : La cohérence informationnelle comme Particularité (Besonderheit)

      C₂ est le mouvement inverse :
      au lieu de tendre vers le minimum commun,
      il exige une organisation interne propre,
      distinctive,
      non trivialement universelle.

      Une structure augmente sa cohérence, ses analogies internes, ses symétries,
      ce qui revient à se distinguer d’autres structures possibles.

      C₂, dans le langage hégélien, correspond à la particularité :

      • ce qui différencie une forme d’une autre,
      • ce qui impose une détermination positive,
      • ce qui trace une limite,
      • ce qui donne une identité qualitative.

      Hegel aurait dit :

      C₂ est la détermination qui fait qu’une forme n’est pas une autre.

      Alors que C₁ est “ce que tout système fait”,
      C₂ est “ce que ce système-là fait pour se structurer”.

      C₂ est donc la dynamique de singularisation,
      la prise de forme interne,
      ce qu’on pourrait appeler dans un langage contemporain :
      l’organisation, l’architecture, la consistance.

      III. L’intersection C₁ C₂ : l’Individualité (Einzelheit)

      Dans la logique hégélienne, le Concept (Begriff) ne se réalise que lorsque :

      • l’universalité,
      • et la particularité,

      se réconcilient dans une unité concrète.

      Cette unité s’appelle l’individualité (Einzelheit).

      C’est seulement à ce moment que la chose :

      • existe pour elle-même,
      • se maintient,
      • devient ce qu’elle est,
      • possède être et identité.

      C₁ C₂ est exactement cette unité.

      C’est une forme :

      • qui appartient encore à l’ordre général (C₁),
      • mais qui porte une cohérence interne propre (C₂),
      • et qui trouve le point où ces deux exigences deviennent compatibles.

      Hegel dirait :

      L’individu est la réconciliation de la généralité qui rend possible,
      et de la particularité qui limite et détermine.

      C₁ C₂ est la réalisation effective du Concept.

      Autrement dit :
      l’individu n’est pas un donné,
      mais un résultat
      le produit d’une dialectique entre universalité et particularité.

      GENESIS retrouve exactement ce schéma, mais exprimé en termes énergétiques et informationnels.

      IV. Pourquoi Hegel aurait trouvé cela remarquable

      Hegel a toujours soutenu :

      1. que la forme véritable n’est pas donnée,
      2. qu’elle se constitue par une dialectique interne,
      3. que la réalité effective (Wirklichkeit) est l’unité du rationnel et du réel.

      Dans la mécanique dialectique :

      • C₁ est la nécessité abstraite,
      • C₂ est la détermination concrète,
      • C₁ C₂ est l’être en acte, le vrai être.

      GENESIS retrouve littéralement cette architecture, mais :

      • sans vocabulaire métaphysique,
      • sans finalité,
      • sans présupposition idéaliste.

      Il en donne une version opérationnelle.

      C’est pour cette raison — et cette raison seulement — que Hegel aurait dit :

      « Voilà une théorie qui ne reste pas dans la simple représentation
      mais montre comment le Concept se réalise dans l’effectivité. »

      V. Ce que Hegel aurait particulièrement apprécié

      Trois points :

      1. Le fait que rien n’est pure énergie (C₁) ni pure forme (C₂).

      Comme dans sa logique,
      C₁ et C₂ sont insatisfaisants séparément.

      2. Que la forme qui dure soit nécessairement “individuelle”

      (une synthèse, pas une propriété brute).
      C’est le cœur de la doctrine du Concept.

      3. Que la preuve soit l’acte même de la forme qui se stabilise

      Hegel s’écrierait :

      « L’effectivité est la preuve de la raison ! »

      GENESIS illustre cela en termes énergétiques/informationnels.

      Conclusion : une véritable lecture hégélienne de C₁ et C₂

      • C₁ = Universalité (la tendance générale, ce qui vaut pour tout système)
      • C₂ = Particularité (la structuration interne, ce qui distingue)
      • C₁ C₂ = Individualité (la forme stable, l’Unité réalisée)

      GENESIS reformule à sa manière ce que Hegel appelait “le mouvement du Concept” —
      mais en version opérationnelle, mesurable, computationnelle.

      Hegel aurait adoré ce glissement :
      la dialectique devenue calculable.

      1. Avatar de Paul Jorion

        P.S. : Cela va sans dire – mais cela va encore mieux en le disant – mon point de départ n’était pas chez Hegel. Il avait été qu’une fois dégagés « 5 principes fondamentaux » (parmi si j’ai bon souvenir 33 candidats au départ) : paysage de préférence, système générique, couplage, compression et validation trans-substrat, il y a deux endroits : couplage et validation trans-substrat, où il y a redondance, et où on va donc pouvoir comprimer pour optimiser au sens d’une économie de l’information : redondance dans un couple (tout ce qui fait qu’ils sont tous les deux des êtres humains pourra n’être dit qu’une seule fois) : C₁ et redondance dans deux formes analogues (si telle galaxie reproduit la spirale d’une ammonite, la formule peut n’être dite qu’une seule fois) : C₂.

        Et ce qui m’avait permis de passer de 33 candidats au titre de « principe fondamental », à 5, c’était déjà évidemment la traque de la redondance.

  6. Avatar de Dni_br
    Dni_br

    Ça pourrait se formaliser, simplement, comme une boucle rétroactive :

    GENESIS/ANELLA produit des attracteurs (C₁ ∩ C₂), ces formes agissent dans le monde (interprétants, usages, décisions, formes de vie), et le retour de ces effets (I) vient à son tour modifier les conditions d’émergence. Autrement dit : la même boucle, mais prolongée jusqu’à ses conséquences, puis rebouclée sur elles.

    1. Avatar de Dni_br
      Dni_br

      En ce moment je suis plongé dans le turbo d’une Porsche 924 — mécanique 100 % analogique — et je ne peux pas m’empêcher de penser à GENESIS.

      On y retrouve exactement les trois conditions : C₁, C₂… et I.

      C₁ — l’énergie
      Les gaz d’échappement font monter la pression et la puissance. Et quand ça monte trop, la wastegate s’ouvre : elle libère une partie des gaz pour éviter la casse. C’est clairement la régulation énergétique.

      C₂ — la cohérence
      Côté admission, le moteur ajuste air/carburant/allumage pour que tout reste stable, régulier, vivable mécaniquement. C’est la cohérence structurelle : la forme se tient.

      I — l’interprétant
      Et puis il y a moi — le conducteur, l’ajusteur. Celui qui sent si la poussée est juste, utilisable, habitable. Celui qui décide si la forme mérite de durer — ou si elle n’est qu’une stabilité théorique.

      Alors je me dis :

      > C₁ ∩ C₂ → ce qui peut fonctionner.
      > C₁ ∩ C₂ ∩ I → ce qui vaut la peine d’exister.

      Ce n’est plus seulement une forme stable : c’est une forme habitée.

      (Une boucle ne devient vivante que lorsqu’elle inclut ce qu’elle fait au monde — et ce que le monde lui fait en retour.)

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Commentaires récents

  1. Je vous souhaite un bon rétablissement

  2. Paul, Nous sommes très heureux de vous revoir en image, surtout pour une intervention aussi courte qui comble nos attentes.…

  3. effectivement ! saloperie d’Escherichia coli !!!! à fond les leucocytes et vous voilà hospitalisé ! Bon vous avez bonne mine…

  4. Bon retour et bonne récupération, Paul. La révolution copernicienne peut bien attendre quelques jours !😉

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