En 2007, je me trouvais à New York, enseignant l’aquarelle, lors d’un stage, à une vingtaine d’élèves.
J’ignorais tout de la crise.
Vers Brooklyn
Chaleur blanche
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
En 2007, je me trouvais à New York, enseignant l’aquarelle, lors d’un stage, à une vingtaine d’élèves.
J’ignorais tout de la crise.
Vers Brooklyn
Chaleur blanche
Ce que Bibi et les sionistes religieux font à Gaza portera un jour un nom. L’histoire lui en donnera un.
» rien n’empêche Israel de se fournir ailleurs, » Bibi pourrait se fournir chez Poutine. Ce serait cocasse. Vont bientôt plus…
La connaissance est une arme qui n’a jamais tué personne. On ne peut pas en dire autant des croyances (avec…
En revanche à la CPI, il faudrait que BN trouve un bon avocat sans tarder : https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/29/en-israel-netanyahou-redoute-d-etre-place-sous-mandat-d-arret-international-par-la-cpi_6230580_3210.html
Je ne suis pas ton père Ruiz … pffffff
Pauvre Romain, t’es pas prêt d’avoir ta capacité en droit.
Je ne dénature rien du tout, pour le moment le mot génocide c’est toi qui l’utilise à tort et à…
un empire …
Tu confonds « ici » avec « USA », Romain ? Tu confonds réfléchir et se mettre à la place de avec se contredire…
En wokette de service, je fais remarquer que la première femme parlera vers 18h. Bon, c’est vrai que le fait…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
18 réponses à “L’immobilier américain, par Jean-Louis Morelle”
l’immobilier et l’automobile, les deux fleurons de la Santa Crisis …
Très Joli.
Cela me rappelle Luis Marsans, qui peint des façades parisiennes… L’incipit du fascicule que j’ai : La fin du mur est le feu à l’intérieur de l’oeil, (Aaron Shabtai)
El fin del muro es
el fuego
en el fondo del ojo
Superbe.
Derrière la décrépitude apparente, on trouve encore la beauté, l’espoir, le plaisir. Particulièrement la deuxième qui dégage tellement de légèreté face à la lourdeur du sujet.
J’aime beaucoup !
Excellent. Vraiment. Si vous avez d’autres oeuvres à présenter, n’hésitez pas, je suis impatient de les voir.
Je viens de trouver votre site perso. Fallait mettre un lien directement…
… et qu’avez-vous appris depuis, de la crise au regard de l’observation appliquée que constitue la pratique de l’aquarelle?
Mais encore que vous suggére comme réflexion le regard porté aujourd’hui sur ces travaux pratiqués en totale ignorance de la crise comme vous le dites.
« Manhattan garage » à vendre?
(de la bonne utilisation des euros…)
« Manhattan garage » a été vendu… JLM
C’est vraiment de l’excellent ouvrage. Je n’aurais pas dit que c’était de l’aquarelle, au passage. La technique semble particulière, non ?
Vous êtes perspicace, j’ai manqué de précisions, mes élèves à New York apprenaient bien l’aquarelle,
Mais ces tableaux sont des huiles, nées d’esquisses à l’aquarelle… JLM
Belle et étrange, la deuxième auquarelle.
On dirait un bateau fantôme, aux hublots obturés, déjà désammaré, la passerelle relevée, prêt à partir … pour quel voyage, avec quels passagers ?
Merci monsieur Morelle.
Ces Aquarelles sont tres belles.
Par votre regard et votre main,
elles nous rendent mysterieusement
la vibrante fragilité de nos edifices,
et la substance lumineuse de nos visions.
Merci encore.
Wasko.
très beau, vous exposez quelque part ?
A nouveau, en ce moment, tout ce passe à l’atelier… JLM
Y a pas à dire, mais l’immobilier chinois notamment à l’expo de Shanghaï, c’est réellement autrement mieux question finition !
La crise de l’immobilier américain va laisser un parc délabré dont vous venez de nous donner un premier aperçu saisissant de vérité !
On ne trompe pas l’oeil des artistes.
Étant un de vos admirateurs, j’apprécie de vous retrouver sur ce blog !
Le rendu des façades rouges me rappelle les maisons romaines, les maisons « cantoniere » qu’on voit sur le bord des routes ou celle des quartiers 1920 de Rome.
Avoir des façades avec du grain où le ruissellement ne laisse pas de trop dommageable vilennie, c’est plus autrefois qu’aujourd’hui, malgré ce que j’ai pu voir dans le nouveau quartier Tolbiac.
L’architecture des villes, une clé de plus pour lire le monde ? Les villes invisibles dirait Italo .
Salut,
Moi, j’ai une question basique : comment vous arrivez à faire tout ça avec un tel niveau (sans fayotage), je suis quelque peu impressionné quand je compare avec ce que j’ai le temps de faire moi-même…
@+
Araquirit