« Peut-on frapper un néonazi ? » : la violence à l’épreuve de l’éthique, s’interroge ce soir le quotidien Le Monde. J’ignore la réponse (il vaut mieux, selon moi, ne frapper personne).
Ceci dit, quand, en 2009, James Jean déplorait devant moi (à Santa Monica, California), que l’affiche qu’il avait faite pour un film ne servirait jamais à rien parce que le film ne serait pas tourné, je lui ai dit : « James, vendez-la moi, svp ! »

Hinton ne se rend-il pas compte que s’il veut qu’on prenne ses cris alarmistes au sérieux, il suffit qu’il rende…