« Venue sur un bateau appelé le Mayflower » et, à Paris, « Si loin, Si loin de chez toi », tu considérais que c’était ta chanson à toi, American Tune de Paul Simon, parce qu’elle évoquait ton sort et je t’ai vue certains soirs essuyer une larme en l’entendant malgré ton dédain professé et affiché pour ta Californie natale.
Mais aujourd’hui cette chanson parle aussi de moi : « Et tout ça n’est pas très grave puisque nous avions vécu si bien si longtemps. Et pourtant, chaque fois que je repense à cette route qu’il nous était donné de parcourir, Je me demande pourquoi ça n’a pas marché, Je ne peux pas m’empêcher de me demander pourquoi ça n’a pas marché ».
Bah..un conflit sans aile, c’est toujours mieux qu’un khanard sans tête. « En amour (comme à la guerre), l’esprit est une…