Ordinairement, dans le cas d’un compte-rendu, c’est une publication qui vous aborde en disant : « On a reçu ce livre,…
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Ordinairement, dans le cas d’un compte-rendu, c’est une publication qui vous aborde en disant : « On a reçu ce livre,…
ok
De quelle gauche on parle, celle qui accompagne le système capitaliste et qui demande simplement de desserrer les chaînes ou…
« On peut le faire à travers les écrans ou en considérant que « time is money ». » J’ai bien peur…
Vous pouvez leur dire que je serais d’accord.
je doute que Le Monde publie une opinion dont je ne suis pas l’auteur malgré sa profondeur pertinente . Tant…
La gauche n’a jamais pu (voulu ?) sortir du capitalisme, elle a simplement ouvert un peu plus grand le robinet…
Que voulez-vous, Pascal, je tiens l’imagination, tel Baudelaire, comme reine des facultés. Mais cela ne contredit en rien votre propos…
« Nombre de jungiens vont continuer les études de Jung sur l’archétype, sur sa nature d’une part, ses renvois culturels et…
C’est toute la difficulté de faire rentrer génie dans sa lampe.
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
65 réponses à “Le temps qu’il fait, le 10 avril 2009”
@ Encelade
Merci pour votre message très personnel. Je suis heureux que vous et antoine m’ayez donné la possibilité de préciser ce que j’entendais par « abaissement », ma formulation initiale prêtant largement à confusion.
Je partage tout à fait votre compréhension du fondement du christianisme.
Je tiens tout de même à ajouter que je suis parfaitement conscient que cette vocation purement spirituelle qui, pour moi, devrait être à la racine de toutes les religions, est en pratique quasiment impossible à préserver, l’homme étant ce qu’il est, et notamment un « animal politique ». Quant au mélange des genres qui en résulte, il donne effectivement des plantes très diverses.
En ce qui concerne le discours de N.S., n’étant pas sûr de pouvoir accorder à l’individu le bénéfice d’avoir des convictions personnelles, j’aurai tendance à le rapprocher encore une fois de ses positions proaméricaines. En effet, les USA n’acceptent pas ce cantonnement de la religion à la sphère privée et ont à plusieurs reprises ces dernières années tenté d’influencer la position française en matière de laïcité (par conviction religieuse ?, par calcul stratégique afin de contrer la menace islamiste ?). Par conséquent, comment interpréter ce désir de réancrer notre société dans la morale chrétienne ?
D’un autre côté, toute tentative de récupération mise-à part, a-t-il fondamentalement tort quand il affirme : « On ne peut pas éduquer les jeunes en s’appuyant exclusivement sur des valeurs temporelles, matérielles, voire même républicaines […]. La dimension morale est plus solide, plus enracinée, lorsqu’elle procède d’une démarche spirituelle, religieuse, plutôt que lorsqu’elle cherche sa source dans le débat politique ou dans le modèle républicain. […] La morale républicaine ne peut répondre à toutes les questions ni satisfaire toutes les aspirations. »
OK, revenons-en à la monnaie fondante… Les cloches en ont justement apporté tout un stock à des milliers d’enfants ce matin, sous forme de pièces en chocolat ! 😉
@ Vincent
Je vous ai répondu à propos de mon ami : nous discutions du message de Socrate, lui comme d’un être de fiction mais dont les paroles – qui lui ont été attribuées – sont importantes, moi comme d’un être ayant vécu. Mais quelle importance ? Je m’intéresse à ce qui est dit dans les évangiles, dans les épitres, etc. C’est le message qui m’interpelle, comme on disait à une époque.
Bonsoir Paul,
Voilà une bonne réponse de normand s’il en est, et c’est bien votre droit ! Dois-je en déduire que JC est une figure historique d’après votre anecdote amicale sur Socrate ? Quelle importance ? Strictement aucune. Enfin, quand on connaît un petit peu le monde évangélique voir catholique ceci a un peu de son importance je dois ajouter humblement. Surtout lorsque je rajoute à cela le poids de ces communautés chrétiennes en terre du nouveau monde qui s’enorgueillit d’être, passez moi l’expression, la Première Puissance du Monde. Tout un programme. A propos de programme, dans les évangiles, ou les épîtres, je n’ai toujours pas véritablement saisi le message délivré, ni son originalité ou sa nouveauté. J’ai plutôt le souvenir que celui qui ne suit pas le bon berger se voit irrémédiablement voué à la géhenne là où sont les pleurs et les grincements de dents. Moi ça ne m’interpelle pas du tout, ça me fait froid dans le dos.
Peut-être qu’il faut le lire en Araméen dans le texte, comme certains disent qu’il faut lire le Coran dans la perfection toute divine de la langue Arabe. Tout ne se passe pas entre amis au coin du feu, dans d’agréables discussions, et rares, même inexistantes pour le coup, sont les paroles de socrate à me faire hérisser les poils sur les bras, mais de ce fameux jésus-christ, lorsque cela sort du salon, brrrrr, il y a matière à être sacrement inquiet. Comprenez bien dans ces conditions que cela a peut-être de son importance.
Au plaisir.
récré !
http://www.youtube.com/watch?v=1sRENselSHA
« la révolution des crabes » 4.49mm
dont le crabe philosophe,
@simplesanstete : « parce qu’il se presentait en message de dieu ce qui est le pire des blasphemes pour les juifs et pour les musulmans »
Messager de Dieu n’est pas un blasphème. Tous les prophètes en étaient. Le problème du blasphème avec Jésus c’est qu’il se présentait ou qu’on le présentait comme fils de Dieu. Mais de toutes façons, le plus probable d’un point de vue historique, c’est que Jésus est mort pour rébellion envers l’occupation romaine (« roi des juifs » était-il écrit sur la croix) et non pour des histoires de blasphèmes qui ne seraient apparues qu’après sa mort.