Vous êtes très présent sur ce blog. En volume, vous me suivez de très près. Peut-être même me précédez vous. Il y a quelques traits dominants à vos interventions :
1) Quel que soit l’endroit auquel vous pensez, l’argent et le pouvoir sont ailleurs.
2) Le système financier est immortel.
Je pourrais vous faire la liste des choses qui sont mortes ainsi que de celles qui sont bien là où on suppose qu’elles sont. Cela ne réfuterait pas vos thèses car leur message profond est celui-ci : « À quoi bon ? »
Je pourrais vous rétorquer : « Pour qui roulez-vous ? » ou vous opposer des propos admirables comme : « Il n’est pas nécessaire de réussir pour entreprendre, etc. » Je m’en garderai bien. Je vous propose autre chose à la place : « Je change le monde parce que c’est beau ».
106 réponses à “@ Nuage Blanc, Clown Blanc, Auguste et tutti quanti”
Il y a quand même des positions dominantes qui ont été prises, et qui se renforcent avec les successions de générations, ce qui peut rendre la situation angoissante.
Alors exprimer ce malaise de manière trop pessimiste, peut peser sur le moral de ceux qui liraient ces lignes déprimées ou déprimantes, qu’on pourrait presque croire défaitistes, ce qui n’empêche pas d’être actif, et d’essayer d’aller voir si on peut comprendre un petit peu au mécanisme en place.
La force du système financier, c’est bien d’avoir commencé à s’occuper de finance avant tout le monde.
L’homme oubli le passé, et construit l’avenir . Nous nous connaissons immortel, sauf que l’être est mortel . Nous construisons des systèmes financiers complètement virtuels en se projetant dans l’avenir en pensant qui sera mieux que le passé !!!
a quel moment pensons-nous que la terre est extensible ???
Nous autres civilisations savons maintement que nous sommes mortelles.
Paul Valery.
Un poil trop tard !
Encore un peu et Paul aurait proposé le sujet de philo du baccalauréat.
Tous à vos copies !
Ps : est ce quelqu’un un pourrait secouer gentiement le Clown au fond de la classe pour qu il puisse participer, au lieu de graver des hiéroglyphes sur le mur au burin.
Qu est ce que le beau ?
le beau est il vrai ?
Je change le monde parce que c’est beau ».
paroles d’artiste ! c’est beau, j’aime . … la métamorphose du monde, l’abîme ou la métamorphose ( Edgar Morin)
« La stratégie du dauphin. »
Rechercher la solution élégante, chapitre 1.
@ tique. Ha ha ! Facile. Le beau a trait au réel. La vérité, elle, n’est qu’un concept. Mélanger beau et vérité c’est comme mélanger du miel et des oeufs. Ce n’est pas bon et cela ne se fait pas. Le beau, c’est ce qui est bon (merci Platon) et seul ce qui existe vraiment peut être bon (ce qui n’est jamais le cas d’un concept).
la beauté sauvera le monde » parait-il.
il fut un temps durant lequel la transmission de savoir se faisait corporellement, advient le language ecrit. celui ci devient alphabet. Puis le livre puis l’imprimerie
puis internet.
A chaque fois la population progressa, le savoir grandissait, l’histoire se déployait.
N’ayons pas peur de cette crise. Le monde continuera à tourner. Ayons une confiance relative dans la consience de l’être humain. L’esprit, la puissance, la monnaie, la parole se fixe là où l’être humain se sacrifie pour des idéaux le dépassant et ainsi acquiert la force nécessaire à s’extraire de sa condition. Le clergé de la religion bancaire a profité des idéaux pour son propre compte, leur temps est compté. Et cela est très bien comme cela.
La beauté est une valeur féminine. le monde a plutôt besoin de valeur masculine. Notre maison est maintenant le monde laissons la femme en être la maitresse. Que l’homme regarde au dela.
@Boukovski :
Méringue, alors !i
Je ne vais pas prétendre décrypter chacun des messages des avatars de ce personnage drapé dans son mystère, mais qui ne se réfugie pas pour autant dans l’anonymat, pas plus même que, avant de m’attaquer à la lecture de l’un d’entre eux, je n’en mesure pas la longueur pour parfois ensuite l’abandonner. Ceci pour leur forme, à la fois amusante et épuisante.
Pour leur contenu, je n’en retiens pour l’instant que la première partie de la remarque de Paul Jorion, cette description sans cesse renouvelée d’un monde financier que nous ignorerions, souterrain et implacable, et qui nous bernerais en toute occasion en brassant ses milliards grâce à ses comparses immergés. Et je veux bien accepter l’idée que ce qui est occulté ou tout simplement méconnu mériterait d’être exploré, puisque c’est ce qui nous est proposé. Que l’envers vaut largement l’endroit.
J’ai vécu cette sensation au Brésil, pour avoir été confronté, de l’endroit où j’étais, à la description d’une société et d’une économie maniant aveuglement les outils de « sciences » qui n’étaient pas adaptées à l’observation de ce qu’elles prétendaient expliquer. A la coexistence de deux sociétés, étroitement imbriquées, formelle et informelle, dont on se contentait de privilégier la narration et l’analyse de la première d’entre elles. Je peux ainsi facilement admettre que nos descriptions soient incomplètes et qu’il faudrait les approfondir.
Mais, là où je veux en venir, puisque notre opiniâtre commentateur emploie tout à tour les registres de plusieurs hétéronymes, avec la même faconde, c’est que je voudrais lui proposer d’un ajouter un à sa liste. Je vais provisoirement l’appeler cartesio – j’en conviens, c’est fort transparent – afin de poursuivre ainsi habillé son discours. Un petit effort !
Y en a qui dorment au fond !
Sujet : Bergson: Pouvons-nous concevoir un rapport entre le beau et le vrai ?
Extrait du corrigé : Quel est l’objet de l’art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l’art serait inutile, ou plutôt que nous serions tous artistes, car notre âme vibrerait alors continuellement à l’unisson de la nature. Nos yeux, aidés de notre mémoire, découperaient dans l’espace et fixeraient dans le temps des tableaux inimitables. Notre regard saisirait au passage, sculptés dans le marbre vivant du corps humain, des fragments de statue aussi beaux que ceux de la statuaire antique. Nous entendrions chanter au fond de nos âmes, comme une musique quelquefois gaie, plus souvent plaintive, toujours originale, la mélodie ininterrompue de notre vie intérieure. Tout cela est autour de nous, tout cela est en nous, et pourtant rien de tout cela n’est perçu par nous distinctement. Entre la nature et nous, que dis-je ? entre nous et notre propre conscience, un voile s’interpose, voile épais pour le commun des hommes, voile léger, presque transparent, pour l’artiste et le poète. Quelle fée a tissé ce voile ? Fut-ce par malice ou par amitié ? Il fallait vivre, et la vie exige que nous appréhendions les choses dans le rapport qu’elles ont à nos besoins. Vivre consiste à agir. Vivre, c’est n’accepter des objets que l’impression utile pour y répondre par des réactions appropriées : les autres impressions doivent s’obscurcir ou ne nous arriver que confusément. Je regarde et je crois voir, j’écoute et je crois entendre, je m’étudie et je crois lire dans le fond de mon coeur. Mais ce que je vois et ce que j’entends du monde extérieur, c’est simplement ce que mes sens en extraient pour éclairer ma conduite ; ce que je connais de moi-même, c’est ce qui affleure à la surface, ce qui prend part à l’action. Mes sens et ma conscience ne me livrent donc de la réalité qu’une simplification pratique.
http://www.aide-en-philo.com/commentaires/bergson-pouvons-nous-concevoir-rapport-entre-beau-vrai-2212.html
Moi je pense au contraire que la lourdeur féminine ou masculine changera le monde.
Je me conduit d’abord en société comme tout le monde se conduit, d’ailleurs la vérité le bon le vrai n’existe plus vraiment de nos jours sinon cela se saurait même pour les enfants.
La stratégie du lourd ou du plus grand nombre n’est bien sur pas de rendre le monde plus léger moins pesant ou souffrant sur la balance mais bien de le pousser davantage à se conduire en sa faveur.
http://www.youtube.com/watch?v=3jbrsAI2E_
Ce que nous dit Nuage Blanc, Clown Blanc, Auguste, est que toutes nos institutions sont gangrénées.
Le pouvoir de l’argent (de milliards de dollars) s’est infiltrés jusqu’aux plus petites interstices de notre vie quotidienne.
Prêter 600 millions de dollars au Washington Post n’est pas rentable d’un point de vue purement comptable .
Le révolutionnaire, rêveur, celui qui prône le changement pourrait être accompagné puis sacrifié grâce à un Judas adepte de signe extérieur de richesse.
Le pouvoir est ailleur surement mais pas seulement heureusement.
L’ aquoibonisme ambiant ne fait que renforcer ces pouvoirs.
Résultat : plus de 60 pourcent d’abstention aux européennes et en plus pour donner sa voix aux partis dominants
Le sort de la france se joue plus que jamais au niveau de l’europe avec la gestion de la crise.
On peut se demander ce que feraient les raleurs si on leur donnait plus de pouvoir!
Le pouvoir des autres c’est souvent celui qu’on refuse d’exercer soi meme nous avons une responsabilité dans la déchéance de la démocratie.Mais les consciences sont endormie ou mortes apres le travail de plus en plus incertain, l’abrutissement devant la télé est presque un passage obligé. La passivité ca s’apprend et nous l’apprenons tous les jours a nos enfants et a nous meme en regardant la télé ou les jeux videos. Je vous vois sourire ,mais non le petit écran a un role majeur dans nos comportements il a un role majeur dans la vie de beaucoup. Regardez les statistiques moyennes vous vous demanderez entre le travail et la télé quelle place reste il pour l’acte responsable, l’exercice de nos pouvoirs d’autoformation , d’éveil, d’interraction sociale…
Le probleme n’est pas l’oligarchie , mais l’aliénation des masses, travailler plus c’est encore moins de temps pour critiquer le pouvoir en place alors que les critiques ne suffisent plus depuis longtemps.
Une réforme minimale infime comme l’obligation de voter sous peine d’amende serait un minimum
pour faire avancer la démocratie mais tres peu de politiques y ont interret pourtant c’est un délit contre la démocatie de ne pas voter, ca rend peu crédible le résutat du vote et l’autorité des élus. L’argent récolté pourrait servir a l’aide a la création d’entreprises pour faire taire les grincheux (mieux que de distribuer des repas qui ne résolvent rien)
Le fait que des lois en ce sens ne soient jamais débattues ni n’aient jamais fait l’objet d’un référendum en dit long sur l’état de déliquescence de la démocratie.(je sais on en parle parfois mais ca ne va jamais loin)
Alors si on est pas foutu de faire passer ce genre de loi toute simple je me demande comment on peut rêver de faire adopter une monnaie fondante par des mamies qui comptent encore en ancien francs.
Quand bien même il y aurait un fabuleux pouvoir obscur détenteur de grandes richesses et qui régente tout; il n’y a que pour ceux qui ne se battent pas que la bataille est perdue d’avance.
Moi qui ,à 70 ans, en suis à mon douzième déménagement , je confirme que le stress qui accompagne ces transplantations , provoque toujours un coup de mou dans les semaines qui suivent !
L’espoir ? Comprendre , partager , agréger , agir , mettre sa peau en jeu …et recommencer .
Deux Oscar Wilde pour la route :
» La beauté commence là où finit l’expression intellectuelle »
et surtout :
« La beauté révèle tout parce qu’elle n’exprime rien « .
Un nuit avec dix heures de sommeil ou une compagne aimante , et il n’y paraitra plus !
Le Beau n’est que la promesse du bonheur…. Baudelaire
à Samuel
Prêter 600 millions $ au Washington Post était comptablement une opération parfaitement rentable,
sans qu’il soit nécessaire de demander la moindre garantie. J’avais calculé avec une parfaite logique qui fut félicitée : un vrai travail d’ingénieur-économiste-banquier.
C’était il y a pas mal d’années. L’opération fut exécutée – par un autre cartésien, cartesio – exactement comme je l’avais préconisé au rythme de 100 à 120 millions de $ par an.
@tique.
Trop d’intellect tue l’intellect.
Dieu merci, il nous est possible d’entrer en communication avec les choses et avec nous-mêmes et c’est ce qui fait le bonheur de vivre. Ce voile qui fait obstacle à cette communication c’est simplement la pensée (et ses résumés bien utiles que sont les concepts, de simples outils en fait), conçue comme une petite partie d’un élément bien plus vaste et que l’on appelle l’esprit. Vivre consiste à agir ET à ne pas agir. Vivre consiste d’abord à être.
C’est la pensée en action qui filtre le réel pour n’en garder que ce qui lui est utile, et donc qui n’en perçoit que très peu de choses. Entre « moi » et mes sens il y la pensée. Quand c’est la pensée qui commande, mes sens ne me livrent qu’une simplification pratique, en effet. Il suffit d’observer la pensée pour s’en rendre compte.:-). Pensée et intellect sont peu de chose. Des outils, sans plus. Je ne demande pas à mon sèche-cheveux ou à ma machine à café de me mettre en communication avec les choses ou avec les êtres. Le résultat serait décevant.
Trop de machine à café finira par tuer la machine à café.
A Paul,
Je suis d’accord avec vous, nous avons besoin de beauté pour exister. Elle ne fait pas partie des besoins fondamentaux qui sont listés par les cours d’économie comme respirer, boire, manger, dormir, s’habiller. Lorsqu’on vit près de la nature et si l’on a l’oeil ouvert, quelle merveille de découvrir au pied d’un framboisier une orchidée, ou bien de tomber au détour d’une touffe d’herbe sur quelques rosés des prés. Ce sont des cadeaux simples et grandioses tout comme le chant du rossignol la nuit lorsqu’on habite près d’un ruisseau. Ou bien encore cette araignée verte fluo qui saute sur la table de la salade qu’on vient de rapporter du potager. Elle n’a pas pris cette couleur parce qu’on lui a introduit quelques gènes fluo, elle s’est adaptée à son milieu.
La beauté est autour de soi dans certains ilots. Ailleurs, là où le progrès a permis l’agriculture industrielle et intensive, c’est une catastrophe. Pour l’eau, pour les sols, pour l’alimentation que propose la grande distribution, pour nos enfants et petits enfants.
Je suis aussi d’accord pour arrêter de croire qu’on ne peut rien faire face à ce monde complexe. Des solutions alternatives existent déjà et sont déjà en marchent.
Bonne journée à tous
« Je change le monde parce que c’est beau »
J’aurais plutôt écrit : « je change mon monde parce que c’est beau »
Chiffres :
@ juan nessy
Vous m’avez donné envie de compter mes déménagements : celui-ci, c’est le 27ème.
@ Yield_vs_Greed
C’est moins ambitieux par un facteur de 6 milliards.
Pourquoi les figures fractales (obtenues par itération d’ un algorithme simple) ont elles l’ air si belles/vraies ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble_de_Julia
est ce parce qu’ elles entrent en résonnance avec quelque chose qui est en nous ?
Ce quelque chose est peut être fractal aussi, différend pour chaque individu, mais semblable aussi…
Comment mesurer les différences ?
On lit ici ou là que la crise est « systémique ».
La version occidentale de la civilisation appliquée partout depuis l’ère du Meiji est en train de « planter ».
Changer de paradigme qu’y disent!
Comment qu’on fait?
L’humour de Cartesio est cynique mais pas forcément une preuve de déprime.
Il étaye parfaitement son schéma et il faut le rejoindre dans la mesure où nous savons tous que l’histoire réelle du monde est faite de mensonges ..pour être plus « présentable » (plus belle).
Belle et fausse.
Le vrai n’est pas beau.
La vraie histoire du monde est celle que les maitres cachent.
De temps en temps ces maitres perdent au profit d’autres qui viennent et changent les codes et déplacent les palais.
@ J.Finchk
I love you like one million rallods.
Gesell en test au Japon?
http://www.contreinfo.info/breve.php3?id_breve=7084
Paul Jorion :
Il faut donc au moins doubler les doses de mon ordonnance !
Tartar :
Compte tenu de votre pseudo , on comprend que cet édito vous inspire . Mais je vous laisse vos déserts .
Tous à la fête de la musique !
@ Paul Jorion
(sourire)
Attention!
Certains pourraient être tentés de vous répondre très sérieusement :
je change le monde* parce que c’est beau !
* monde = 6 – 1 milliard d’affamés
Petit moment de détente :
http://www.youtube.com/watch?v=7upG01-XWbY
Extrait du film d’Oliver Stone « Wall Street »
L’avant dernière phrase prononcée par Gordon Gekko est si éclairante sur l’évolution de nos sociétés et sur la force du modèle unique lorsque les enjeux sont placés à l’échelle du monde par certains.
(précision : modèle unique plutôt que pensée unique
un peu comme la force de la normalisation de l’informatique notamment par la vision d’un Bill Gates et de son produit Windows : modèle unique mais utilisations -ou pensées- multiples)
Désolé pour ce manque de précision par l’utilisation de « certains » dans ma précédente intervention.
Je suis incapable d’établir la liste de ces « certains ». *
précision : ces « certains » (utilisés par 2 fois) sont néanmoins les mêmes dans mon esprit
* J’en viens à me demander si je ne deviens pas paranoïaque à pointer du doigt des groupes d’individus non identifiés…
J’adore le « il n’est pas nécessaire de réussir pour entreprendre »…
J’en ai une autre « si je peux, je veux »…
A ce titre, Steve Salerno avait écrit il y a 2 ans, un très bon livre « SHAM » qui serait l’équivalent selon moi du vôtre sur la crise mais à propos de l’industrie du développement personnel…
On y trouve une très jolie liste des incantations économico-psy.
à Paul,
en référence au billet, à l’adresse du leucotrio-et-tutti-quanti
[[ leucotrio-et-tutti-quanti [A] s’interroge sur le sens manquant et [B] conteste formellement l’erreur grossière du prétendu « A quoi bon ? »]]
A1 / ?? Comme Rimbaud entre 16 et 19 ans : « Il est beau le texte bien écrit, le poème où les mots sonnent joliment »
Ensuite il sera trafiquant, marchand d’armes, …
A2/ ?? « Je suis beau quand je brandis mon panache qui va sauver (
changer) le monde »(à qui pourrait-on penser ? … don Quichotte ? … Gaston Trouvetou ?
dans le genre taiau-taiau !-taiau-taiau! littéraires ou psys vous n’auriez pas de meilleures illustrations ?
A3/ ?? » Il est beau d’être celle (celui) qui dit je change le monde »
le barde qui chante … quel est son nom déjà ? Assurancetourix ?
A4/ ?? …
A5/ …. …. …. …. … …
Question 1 Que faudrait-il écrire en A4 ou A5 ? Je n’ai pas compris le billet.
Et la logique du propos ? Absente.
Un bonhomme dont le tempérament serait dominé par absence de courage, absence de stratégie factible, brins de critique clownesque ou mordante, absence d’éthique et de responsabilité à
l’égard d’autrui (enfants, petits-enfants, ami(e)s, relations, liens de certaines à d’autres)
c’est-à-dire qui serait dominé par » A quoi bon ? » écrirait-il des dizaines et dizaines de pages
— dont certaines pédagogiques en dépit des apparences —
depuis le 8 février sur ce blog ?
Dommage qu’il n’y ait aucun Cartesio dans la salle.
Celui-ci ne manquerait pas de relever la contradiction.
à Tique, professeur (?) agrégé en philosophie (?)
Ce matin à 9:32, vous disiez
[[LeClownBlanc s’indigne]]
Question 2
« M’sieur !
S’il gribouille plus que le GrandMaître lui-même à son tableau, n’est-ce pas le preuve qu’il participe ?
Beau et Vérité
Est-ce vraiment un sujet qui réclamerait thèse, antithèse et synthèse ?
Question 3
La réponse n’est-elle pas en trois phrases ?
– La Beauté, subjective, est dans l’ordre de la sensation visuelle sur un « objet » naturel ou artificiel (imaginé)
– La Vérité en fausseScience humaine, subjective mais se prenant pour objective (car argumentée et non contredite ou mal), &,nsp;
est un discours construit, largement erroné, qui apparait fondé (crédible, plausible, convaincant)
– La Vérité en science expérimentale (biologie, physique, chimie,…) est un phénomène qui,
dans des conditions bien précises, est ré-observable dans plusieurs laboratoires différents, sans que l’on sache toujours très bien pourquoi.
Sujet : Bergson: « Pouvons-nous concevoir un rapport entre le beau et le vrai ? » Extrait du corrigé
Ligne 3 : Philipe Chimpanzé peut vibrer continuellement à l’unisson de la nature en étant étranger (fermé) à tout art pictural
Ligne 6 : Zapp Chimpanzé, extraverti(e), sans vie intérieure significative, peut entendre chanter au fond de son limbique (âme ?)
des musiques au kilomètre — quelquefois gaies, plus souvent plaintives, etc. —
sans disposer d’une composition pertinente de repères et marqueurs aptes à la (le guider dans une quelconque Représentation du Réel .
Ligne 9 : Qui peut démontrer qu’un voile s’interposerait entre la nature et les aires de décryptage dans les aires cérébrales ?
Depuis des millions d’années, botre oeil-cervelle ne sait-il pas distinguer un prédateur affamé s’apprêtant à sortir du feuillage ?
Ligne 10 : J’aimerais tant qu’une fée vienne broder une décoration sur la tunique d’Auguste
Ligne 11 / La vie exige t-elle qqchose ? Vos dynamiques mentales n’appartiennent-elles pas qu’à vous ?
Que pourraient-elles exiger aux propres dynamiques de mon cortex qui n’en font qu’à leur guise ?
Ah oui ! c’est vrai ! il commence à pleuvoir. Heureusement qu’on me le rappelle. J’ai oublié de rentrer le linge.
(…) c’est fait (…) y auriez-vous pensé ?
Ligne 12A : « Vivre consiste à donner des ordres et ne jamais agir soi-même »
N’est-ce pas la devise de la plupart de la plupart des chefs de la Civilisation_1909-2009 et leurs manipulateurs ou opportunistes associés.
Il est écrit « donner des ordres » pas « réfléchir »
Le philosophe préfère opposer la Réflexion et l’Action. Ce serait un meilleur sujet ! Non. Pas pour moi
Mais les réponses qui sont dans les manuels présentent-elles un intérêt quelconque ?
Ligne 12B : « Vivre, c’est n’accepter des objets que l’impression utile pour y répondre par des réactions appropriées »
Horrible !
appropriées ! mais jugées appropriées par qui ?
jugées appropriées par autrui ? au nom de quoi et au profit de qui ? en référence à quelle finalité ? définie par qui ? pourquoi ?
jugées appropriées par mon préfrontal ? … et qu’est-ce qu’il est allé s’imaginer celui-ci ? … a t-il demandé l’accord de mon limbique droit ? et/ou gauche ?
Ligne 15 : A t-on déjà vu des sens éclairer, de façon fondée (sans risque de biais, mauvaise interprétation, etc.) une conduite ?
Ligne 16A : Ce que je connais de moi-même, c’est ce qui affleure à la surface.
Rien n’est plus faux ! Ce que je connais de moi-même c’est ce que j’ai écris dans ma machine ou ce que me dis ma femme, …
[Pas ce que dit Paul, car il me décrit — exprès — à l’opposé de ce que je suis,
espérant sans doute ainsi … (je crois deviner, mais je peux me tromper ) ]
Ligne 16B : Ce que je connais de moi-même, c’est ce qui prend part à l’action
Rien n’est plus faux. Dans l’action, il est impossible de réfléchir à moins d’être avec un maître en étape d’apprentissage.
Peut-on alors véritablement parler d’action ?
Apprendre à cercler un tonneau pour la première fois, est-ce la même chose que
Réaliser son 7538-ième tonneau tout en bavardant avec la crémière ?
Mes sens ne me livrent aucune simplification pratique du réel décrypté nécessaire à ma condition de chimpanzhumain.
Où en est-on ?
Pour les deux définitions du Vrai citées plus haut,
aucune des deux n’a été abordée.
Ainsi, au terme de cette évaluation, il n’est apparu aucun commentaire sur le rapport — (quasi inexistant) — entre le Beau et le Vrai.
Le corrigé proposé par le website http://www.aide-en-philo.com ne serait-il pas un complet hors sujet fantaisiste ?
Plus sérieusement, à Paul et Tique
Question 4
Pourquoi Leucotrio donnerait-il l’impression de ne pas « »participer » » ?
Entre autres plans-budgets, programmer un mode de mobilisation réfléchi
— capable, dans le calme, de co-introduire – au moment optimum – les bons leviers de changement —
n’est pas rédiger une composition française.
Quant à Cartesio, en milieu opaque, ne serait-il pas incapable de nager entre-deux-eaux.
En surface, il lui manquerait un mufle, … la perception de la chair et la sueur, …
En outre, être dans le noir — sans le recours à If (…) then (…) — ne doit pas décourager.
En outre toutes les vérités sont-elles bonnes à dire ? .. n’y a t-il pas toujours des tranches ? des moments ?
Exemple : le GoldQuatuor qui domine la BRI ! J’en connais deux pas quatre. Je devine le 3e sans en être sûr.
Question 5
Vous ai-je dit « A quoi bon les chercher ? ». [Nota: Au passage, je suis seul à les chercher]
Quant à la part des mesures pratiques déjà préconisées,
100% rationnelles et opératoires,
j’en ferai un jour la liste.
Ces cinq questions ne cherchent-elles pas elles-mêmes à préparer les ingrédients de la mayonnaise,
tout en veillant à la progression des autres plats ?
@tartar
Thank you very much to give me this tip!
I think that if Japon will introduce a system with négave interest rates and will abolish currency like you imagine, this could stimulate in a very efficient way japaneese economy!
You make the point! Money must not be hoarded!
But there is a risk: the masses of Yen-currency are astronomics!
The Bank of Japon must then retire most of the currencies following a strict plan in order to avoid hyperinflaion.
If the BoJ gives out, this would, in my opinion, a better system and easier to apply, a new currency following Gesells idea, the hoarded money will no longer interfer in a negative way, immediately!
Following Gesellés idea, there is no emergency to retire the « old currency » immediately, because all new money emitted should be stamped!
This method has the advantage that the banks will automatically apply a negative interest rate to all money returning on the current accounts.
In ythe same time, this would not touch the borrowing and the saving! This would not apply a negative interest to this part of bank business. This would surely lower the interest rates of saving and borrowing, but tehy will not become negativ, only next zero.
Indeed, the citizen must have the possibility to save money, and this saving, even if it will no longer produce interest, must, at least, be guaranted for its principal amount!
This idea comes frome the fact that hoarding and saving are two things totally different in their economic effects.
Saving is not « toxic » for money circulation, but hoarding is the great problem!
Si nous pouvions avoir cet échange en français ou en allemand, je serais plus à l’aise!
En tout cas, merci pour cette précieuse information!
jf
@tartar:
vous pouvez aussi continuer à écrire en anglais, car, je le lis et le comprends suffisamment, mais si je pouvais répondre en français (ou en allemand) et si vous le lisez et le comprenez assez, nous pourrons continuer cet échange au mieux!
Sinon, je me forcerai à écrire en anglais- un excellent exercice pour moi!
jf
Allez allez, juste pour le plaisir d’essayer de parler plus concrètement, bien que parfaitement incompréhensibles ( ou presque ) pour qui n’a pas l’habitude, dans ces deux tableaux, qui pourrait me dire si il remarque des anomalies de croissance ou décroissance, ou rien du tout ?
Désolé pour Paul, ça va lui faire du temps de filtrage, mais dans quelques pays et banques centrales où je vais fouiller dernièrement, les braves gens d’ici ( les tableaux ) sont toujours dans les petits papiers des relations privilégiés : Arabie-Saoudite, Inde, Brésil.
J’ai du mal à tirer quelques conclusions que ce soit, mais je n’ai rien à voir du côté pchiipchit de l’emplissage des alvéoles pulmonaires, avec l’oxygène qui se respire dans les milieux financiers
(
JP Morgan ) Sources
& Emplois de Fonds
( Consolidated balance sheets )
(
Million of Dollars )
2004
2005
2006
2007
2008
Assets
Cash and due from
banks
35,168
36,670
40,412
40,144
26,895
Deposits with banks
21,680
21,661
13,547
11,466
138,139
Federal funds sold
and securities purchased under resale agreements
(included $19,131 at fair value at December 31, 2007, $20,843
at fair value at December 31, 2008 )
101,354
133,981
140,524
170,897
203,115
Securities borrowed
(included $3,381 and zero at fair value at December 31, 2008 and 2007,
respectively)
47,428
74,604
73,688
84,184
124,000
Trading assets
(including assets pledged of $77,266 at December 31, 2004, and $81,312
at December 31, 2003)
(including assets pledged of $82,474 at December 31, 2006, and $79,657
at December 31, 2005
(included assets pledged of $79,229 at December 31, 2007)
(included assets pledged of $75,063 at December 31, 2008)
288,814
298,377
365,738
491,409
509,983
Securities
(included $85,406 and $91,917 at fair value at December 31, 2007 and
2006, respectively)
(included $205,909 at fair value at December 31, 2008 , and
assets
pledged of $25,942 and $3,958 at December 31, 2008 and 2007,
respectively)
91,917
85,450
205,943
Available-for-sale
(including assets pledged of $26,881 at December 31, 2004, and $31,639
at December 31, 2003)
(including assets pledged of $39,571 at December 31, 2006, and $17,614
at December 31, 2005) 91,917 47,523
94,402
47,523
Held-to-maturity
(fair value: $117 at December 31, 2004, and $186 at December 31, 2003)
(fair value: $60 at December 31, 2006, and $80 at
December 31, 2005)
110
77
58
Interests in
purchased receivables
31,722
29,740
-.
Loans
(included $8,739 at fair value at December 31, 2007)
(included $7,696 at fair value at December 31, 2008))
402,114
419,148
483,127
519,374
744,898
Allowance for loan
losses
(7,320)
(7,090)
(7,279)
(9,234)
(23,164)
Loans, net
of
394,794
412,058
475,848
510,140
721,734
Private equity
investments
7,735
6,374
6,359
Accrued interest and
accounts receivable
21,409
22,421
22,891
24,823
60,987
Premises and equipment
9,145
9,081
8,735
9,319
10,045
Goodwill
43,203
43,621
45,186
45,270
48,027
Other
intangible
assets:
Mortgage servicing
rights
5,080
6,452
7,546
8,632
9,403
Purchased credit card
relationships
3,878
3,275
2,935
2,303
1,649
All other intangibles
5,726
4,832
4,371
3,796
3,932
Other assets
(included $22,151 at fair value at December 31, 2007)
(included $29,199 at fair value at December 31, 2008 )
45,600
48,195
51,765
74,314
111,200
Total
assets
1,157,248
1,198,942
1,351,520
1,562,147
2,175,052
Liabilities
Deposits:
(included $5,605 and $6,389 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
U.S. offices:
Noninterest-bearing
129,257
135,599
132,781
Interest-bearing
261,673
287,774
337,812
Non-U.S. offices:
Noninterest-bearing
6,931
7,476
7,662
Interest-bearing
123,595
124,142
160,533
Total deposits
521,456
554,991
638,788
740,728
1,009,277
Federal funds
purchased and securities sold under repurchase agreements
(included $2,993 and $5,768 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
127,787
125,925
162,173
154,398
192,546
Commercial paper
12,605
13,863
18,849
49,596
37,845
Other borrowed funds
(included $14,713 and $10,777 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
9,039
10,479
18,053
28,835
132,400
Trading liabilities
151,207
145,930
147,957
157,867
166,878
Accounts payable,
accrued expenses and
other liabilities
(including
the Allowance for lending-related
commitments of $492 at December 31, 2004, and $324 at December 31,
2003) (including the Allowance for lending-related commitments of $524
at December 31, 2006, and $400 at December 31, 2005) (including the
allowance for lending-related
commitments
of $659 and $850 at December 31, 2008 and 2007, respectively, and zero
and $25 at fair value at December 31, 2008 and 2007, respectively)
75,722
78,460
88,096
94,476
187,978
Beneficial interests
issued by consolidated variable interest entities
(included $1,735 and $3,004 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
48,061
42,197
16,184
14,016
10,561
Long-term debt
(including structured notes accounted for at fair value of $25,370 at
December 31, 2006)
(included $58,214 and $70,456 at fair value at December 31, 2008 and
2007, respectively)
95,422
108,357
133,421
183,862
252,094
Junior subordinated
deferrable interest debentures held by trusts that issued guaranteed
capital debt securities
10,296
11,529
12,209
15,148
18,589
Total
liabilities
1,051,595
1,091,731
1,235,730
1,438,926
2,008,168
Commitments and
contingencies
(see Note 25 of the Annual Report 2004)
(see Note 27 on pages 130.131 of the Annual Report 2006)
(see Note 29 on pages 167–168 of the Annual Report 2007)
Stockholders’
equity
Preferred stock
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2006 and
2005;
issued 0 shares and 280,433 shares at December 31, 2006 and 2005,
respectively)
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2007 and
2006;
issued 0 shares at December 31, 2007 and 2006)
($1 par value; authorized 200,000,000 shares at December 31, 2008 and
2007; issued
5,038,107 and 0 shares at December 31, 2008 and 2007, respectively)
339
139
–
31,939
Common stock
(authorized 9,000,000,000
shares and 4,500,000,000 shares at December 31, 2004 and 2003,
respectively; issued 3,584,747,502 shares and 2,044,436,509 shares at
December 31, 2004 and 2003)
($1 par value; authorized 9,000,000,000
shares at December 31, 2006 and 2005; issued 3,657,786,282 shares and
3,618,189,597 shares at December 31,
2006 and 2005, respectively)
($1 par value; authorized 9,000,000,000 shares at December 31, 2007 and
2006; issued 3,657,671,234 shares and 3,657,786,282 shares at December
31,
2007 and 2006, respectively)
($1 par value; authorized 9,000,000,000 shares at December 31, 2008 and
2007; issued 3,941,633,895 shares and 3,657,671,234 shares at December
31,
2008 and 2007, respectively)
3,585
3,618
3,658
3,658
3,942
Capital
surplus
72,801
74,994
77,807
78,597
92,143
Retained earnings
30,209
33,848
43,600
54,715
54,013
Accumulated other
comprehensive income (loss)
(208)
(626)
(1,557)
(917)
(5,687)
Shares held in RSU
Trust, at cost (4,794,723 shares at December 31, 2008)
Treasury stock, at
cost
(28,556,534 shares at December 31, 2004, and 1,816,495 shares at
December 31, 2003)
(196,102,381 shares and 131,500,350 shares at December 31, 2006 and
2005, respectively)
(290,288,540 shares and 196,102,381 shares at December 31, 2007 and
2006, respectively)
(208,833,260 shares and 290,288,540 shares at December 31, 2008 and
2007, respectively)
(1,073)
(4,762)
(7,718)
(12,832)
(9,249)
Total
stockholders’
equity
105,653
107,211
115,790
123,221
166,884
Total
liabilities and
stockholders’ equity
1,157,248
1,198,942
1,351,520
1,562,147
2,175,052
(
JPMorgan ) Sources
& Emplois de Fonds
( Consolidated statements of cash
flows )
(
Million of Dollars)
2004
2005
2006
2007
2008
Operating
activities
Net income
4,466
8,483
14,444
15,365
5,605
Adjustments to
reconcile net income to net cash provided by (used in) operating
activities:
Provision for credit
losses
2,544
3,483
3,270
6,864
20,979
Depreciation and
amortization
3,835
4318
3577
3821
4406
Deferred tax
(benefit) provision
(827)
(1,791)
(1,810)
1,307
(2,637)
Investment securities
(gains) losses
(338)
1,336
543
(164)
(1,560)
Private equity
unrealized (gains) losses
(766)
55
(404)
(1,540)
Gains on disposition
of businesses
(1,254)
(1,136)
–.
(199
Stock based
compensation
1,563
2,368
2,025
2,637
Originations and
purchases of loans held-for-sale
(108,611)
(178,355)
(116,471)
(34,902)
Proceeds from sales
and securitizations of loans held-for-sale
102,602
170,874
105,731
38,036
Net change in:
Trading assets
(48,703)
(3,845)
(61,664)
(121,240)
(12,787)
Securities borrowed
(4,816)
(27,290)
916
(10,496)
15,408
Accrued interest and
accounts receivable
(2,391)
(1,934)
1,170)
(1,932)
10,221
Other assets
(17,588)
(9)
(7,208)
(21,628)
(33,629)
Trading liabilities
29,764
(12,578)
(4,521)
12,681
24,061
Accounts payable,
accrued expenses and other liabilities
13,277
5,532
7,815
4,284
1,012
Other operating
adjustments
(262)
(296)
2,882
9,293
(12,013)
Net cash (used in)
provided by operating activities
(21,805)
(30,236)
(49,579)
(110,560)
23,098
Investing
activities
Net change in:
Deposits with banks
(4,196)
104
8,168
2,081
(118,929)
Federal funds sold
and securities purchased under resale agreements
(13,101)
(32,469)
(6,939)
(29,814)
(44,597)
Other change in loans
(136,851)
Held-to-maturity
securities:
Proceeds
66
33
19
14
10
Purchases
–
Available-for-sale
securities:
Proceeds from
maturities
45,197
31,053
24,909
31,143
44,414
Proceeds from sales
134,534
82,902
123,750
98,450
96,806
Purchases
(173,745)
(81,749)
(201,530)
(122,507)
(248,599)
Proceeds from sales
and securitizations of loans held-for-investment
23,861
20,809
34,925
27,531
Originations and
other changes in loans, net
(40,436)
(70,837)
(83,437)
(59,123)
Net cash received
(used) in business dispositions or acquisitions
(1,039)
185
(70)
2,128
Loans due to sales
and securitizations
108,637
Proceeds from assets
sale to the FRBNY
28,850
Net purchases of
asset-backed commercial paper guaranteed by the FRBB
(11,228)
Net cash received
(used) in business acquisitions
13,839
All other investing
activities, net
2,544
4,796
1,839
(3,903)
(3,609)
Net cash (used in)
provided by investing activities
(23,076)
(12,944)
(99,627)
(73,118)
(286,346)
Financing
Activities
Net change in:
Deposits
52,082
31,415
82,105
113,512
177,331
Federal funds
purchased and securities sold under repurchase agreements
7,065
(1,862)
36,248
(7,833)
15,250
Commercial paper and
other borrowed funds
(4,343)
2,618
12,657
41,412
9,186
Proceeds from the
issuance of long-term debt and capital debt securities
25,344
43,721
56,721
95,141
72,407
Repayments of
long-term debt and capital debt securities
(16,039)
(26,883)
(34,267)
(49,410)
(62,691)
Proceeds from
issuance of common stock
11,969
Proceeds from
issuance of preferred stock and warrant to the U.S. Treasury
25,000
Proceeds from
issuance of preferred stock
7,746
Net issuance of stock
and stock-based awards
848
682
1,659
1,467
Redemption of
preferred stock
(670)
(200)
(139)
—
Redemption of
preferred stock of subsidiary
–
–
302
365
148
Treasury stock
purchased
(738)
(3,412)
(3,938)
(8,178)
—
Cash dividends paid
(3,927)
(4,878)
(4,846)
(5,051)
(5,911)
All other financing
activities, net
(26)
3,868
6,247
1,561
71
Net cash provided by
(used in) financing activities
59,596
45,069
152,749
182,986
250,506
Effect of exchange
rate changes on cash and due from banks
185
(387)
199
424
(507)
Net increase
(decrease) in cash and due from banks
14,900
1,502
3,742
(268)
(13,249)
Cash and due from
banks at the beginning of the year
20,268
35,168
36,670
40,412
40,144
Cash and due from
banks at the end of the year
35,168
36,670
40,412
40,144
26,895
Cash interest paid
13,384
24,583
36,415
43,472
37,267
Cash income taxes paid
1,477
4,758
5,563
7,472
2,280
Note: In 2008,
the fair values of noncash assets acquired and liabilities assumed in
the merger with Bear Stearns were $288.2 billion and $287.7 billion,
respectively; approximately 26 million
shares of common stock,
valued at approximately $1.2 billion, were issued in connection with
the Bear Stearns merger. Also, in 2008 the fair values of noncash
assets acquired and
liabilities assumed in the Washington Mutual
transaction were $260.0 billion and $259.8 billion, respectively. In
2006, the Firm exchanged selected corporate trust businesses for The
Bank
of New York’s consumer, business banking and middle-market banking
businesses. The fair values of the noncash assets exchanged were $2.15
billion.
Ce filtre est nul !
Il ne modère pas un commentaire pareil qui est un code HTML
Dans la série « Plus ça change, plus c’est la même chose », une petite devinette pour « détendre » un peu l’atmosphère terriblement pessimiste de ce blog (mais, comme l’a écrit l’aphoriste espagnol R.Panizo, « le pessimisme n’existe pas, puisque tout pessimiste est optimiste sur l’avenir de son pessimisme »): qui a écrit ces lignes trouvées par hasard dans un livre acheté (50 centimes!!) aux Puces de Montreuil ce matin :
« Aujourd’hui il n’y a pas un homme d’Etat, pas un parti, il n’y a guère de penseur politique qui se sente suffisamment sûr pour dire la vérité. Ils mentent tous, ils chantent tous à l’unisson avec la foule gâtée et ignorante, qui voudrait toujours que le lendemain soit aussi bon et même meilleur que le passé, bien que les hommes d’Etat et les dirigeants de la vie économique dussent mieux connaître la terrible vérité. Mais quels chefs avons-nous aujourd’hui ! Ce lâche et malhonnête optimisme annonce tous les mois le retour de la conjoncture favorable et de la prospérité, aussitôt que quelques petits hommes d’affaires parviennent à hausser le cours [sic – de la Bourse?] pour une brève durée […] et surtout le succès enfin consommé de « l’entente » entre les peuples […] Et dans toutes les assemblées, et tous les journaux retentit le mot « crise » dans le sens d’une interruption passagère du bien-être; on se berne avec ce mot pour ne pas voir la vérité: à savoir qu’il s’agit d’une catastrophe dont on en peut prévoir les effets et qui est la forme normale de l’accomplissement des grands tournants de l’histoire. »
Réponse: l’auteur de ces lignes, écrites en Allemagne à la fin de 1932 (ce qui fait froid dans le dos), est O.Spengler. Elles se trouvent dans son livre « Années décisives. L’Allemagne et le développement historique du monde » (Mercure de France, 7e édition, 1943, pp. 29-30).
Question logicielle : WordPress accepte t-il un banal tableau, quel qu’il soit ?
JPMorgan Sources & Emplois de Fonds ( Consolidated)
Million of Dollars2004
2005
2006
2007
2008
Operating activities – Net income4,466 8,483 14,444 15,365 5,605
A supprimer après visionnage
Paul est le messie de notre Sainte Crise, il nous guide vers le surhumain. Oui mes frères, le Grand Midi arrive enfin, le vieux monde se putréfie. Ne sentez-vous pas le renouveau poindre ?
Ne serais ce pas le plaisir qui nous fait juger de la beauté , le plaisir d’une rencontre qu’elle soit intellectuel , sensuelle ou visuelle avec ce en quoi nous aspirons ?Freud disait que nous n’avions rien de mieux a faire que d’etre en accord avec nous meme .
Et si nous ne trouvions beau que ce qui nous mene vers cet accord?
Le beauté s’apprend-elle ? Est-ce une connaissance comme une autre ? Si oui, certains pourraient devenir expert en beauté. Si non, qu’est-ce ? Une sensation, comme le toucher ou la vue ? En ce cas où sont les récepteurs et les organes de transmission ?
A l’évidence, quelque chose en nous reconnait le beau mais sans pouvoir l’expliquer, car de belles choses ne sont pas valables pour tous. Peut-être qu’une entité propre à chacun vibre à ce qu’il reconnait comme beau. Une vibration à l’unisson comme une amplification de fréquences. Comme si le beau préexistait avant même sa perception. Une sorte d’écho ou de miroir à quelque chose de beau en nous.
à Pablo75 (16:59)
Actuellement que font les « optimistes », les bienpensants, les « actifs » à certaines des manettes ?
Quels sont leurs leurs actes conscients ou non ?
Etre dans le déni et/ou maquiller, mettre la tête dans le sable, noyer autrui en espérant ainsi gagner la berge, amoindrir [prétendument pour ne pas effrayer, pour rassurer les ‘marchés’, « pour que ‘ça’ (la confiance) remonte plus vite »], tromper, ne pas aborder sérieusement les vraies questions de fond (faire semblant), dire ‘Nous allons faire ceci ou cela’ alors qu’on en a nullement l’intention; parler d’autre chose; blablater pour rien; occuper le terrain; cacher, courir de tous les côtés, induire en erreur,…
se faire construire un Airbus A330 pour imiter le roi d’Arabie, le président américain, le Premier du Japon.
A Bâle, la France — devant ce même roi et jpMorgan et DubaiCiticorp — se trouve aussi démunie que dans cette même ville en 1930, dix ans après la Première Guerre Mondiale et dix ans avant 40-45 !
J’ai cru que c’était une blague
Lire Magazine Capital n°213 juin 2009 page 86
Observer et décrire les orgas anatiofurtives (EuroclearVersantOffshore, commissions pakistanaises converties en retrocommissions, maîtres du Libor en symbiose avec les bqes centrales, …), leurs flux en dizaines de milliards,
quelques faits marquants insoutenables tels qu’ils sont (cf. supra), les principes socio-économiques indéfendables
bâtir des scénarios de long terme à comparer, présenter de nouvelles voies en cohérence les unes avec les autres, etc.
serait-ce être pessimiste ?
Evidemment non ! Un pessimiste ne prendrait pas cette peine.
C’est être proactif, en parfaite santé, non pollué par la propagande insupportable.
Une fois que les rideaux de fumée, rideaux de théâtre, voiles (pas même translucides) auront été un tant soit peu écartés
un % suffisant (0.01%) de lamas, moutons et pigeons adoptera rapidement les dynamiques actuellement manquantes :
– fermer la télévision
– coder ‘SPAM’ (pourriel) des websites de la clique PsModemUmp et leurs alliés (nombreux – commencer à les lister)
– orienter la réflexion sur les morceaux déjà découverts de la réalité à peu près correctement dégagée
– couper les ficelles qui retiennent les masques et subordinations (PsModemUmp, Trichet <-> GoldQuatuor)
– mettre en quarantaine les faux blogs alter de diversion, mensonge ou manipulation (faisant comme si …)
– détourner l’oreille ou le regard des journalistes aveugles ou pourris ou idiots ou jesaistout ou perroquets-de-la-fausseté ou ne faissant aucun effort (s’intéressant aux garages à vélos)
– etc.
à Paul : Il y avait 5 questions. Toutes sans intérêt ?
La beaute s est perdu, elle s est transformée, en de l apparence.
L apparence est l ombre d une dure réalité.
Cette même realité qui nous tombe dessus.
Aziz de la Fourniaire
On essaie de cacher un apparent de plus en plus visible : la paupérisation rampante et lancinante.
Même les vérités qui réapparaisse ne choque plus personne, aseptisée.
On essaie de sauver les meubles dans un navire qui sombre.
Je ne retiendrais de tout ça, qu un seule chiffre : 1 000 000 000 d humains crèvent la dalle.
Et moi et moi et moi
@LeClownBlanc
Je faisais allusion à la période récente où la presse écrite a des problèmes financiers.
Arrêter de faire le caniche et avoir une vision critique et pertinente feront qu’a
petit soucis , je finis :
Arrêter de faire le caniche et avoir une vision critique et pertinente feront qu’avant de prendre le train ou l’avion, je me redirige acheter un journal (autre que l’équipe).
Se faire rembourser + 100/120 millions de $ par an par un journal est une prouesse. Mais que voulait il faire de plus un demi milliards de $ ? acheter des imprimantes ou fontaines d’eau ?
à wayside & Aziz de la Fourniaire en fournaise [18:54]
Ne serait-ce pas plutôt ?
La puissante Octop’Occultation Dotée (pieuvre GoldQuatuor)
qui exige des BrochettesFormatées (PsModemUmp en France et autres plus loin) ce qui suit :
1/ Feindre l’optimisme
2/ Concocter, avec les banques centrales du G20, le meilleur « Cumulative Discout CashFlow »
(le meilleur « retour » pour l’octopus, inflation par les taux d’intérêt comprise)
à l’échelle des cinq continents pour les 10 ans qui viennent. Inflation BRI > Inflation BCE et autres BqCentrales Serviles + Inflation LIBOR par jpMorganChase+DubaiCitigroup+HSBC+X
Trois beautés à différencier ;
A/ La Beauté de la Pieuvre : beau succès ! il faut bien le reconnaitre ! quel travail !
B/ La Beauté de la Propagande de LaBrochette : beau succès ! Quelle organisation ! Quel travail !
Tant de personnes embrigadées ! Le bel ouvrage, il faut le reconnaitre !
Et cette constance même dans cette peste mêlée de choléra ! Bravo !
C/ La Beauté des possibles petits-coups-de-morphing (133) qu’il faudrait commencer à envisager avant l’hiver.
Je ne me souviens plus si je vous l’ai déjà dit,
L’ouverture de l’ANANAS aux écailles protectrices « Droite-Gauche »
ne sera pas précédée que de danses, rires, bombances, airs de Jo Pipo et autres festivités
133 Rubans de Choux-fleurs à curseurs variables auront été placés sur les Marchés-aux-Flux
(Sources et Emplois de Fonds)
Ces choux-fleurs sont issus de gènes aux propriétés récursives étonnantes
Cela fera plaisir à Tigue (supra 14:12)
figures fractales (obtenues par itération d’ un algorithme simple) ont elles l’ air si belles/vraies ?
fr.wikipedia.org/wiki/Ensemble_de_Julia
Bonsoir,
Réponse à Tigue :
Le beau est la splendeur de l’ordre. Un beau désordre est un effet de l’art.
à Samuel [19:29]
– – – – – – – – – – – –
En France, 99.99% des gens ne connaissent que le journal TheWashingtonPost
Ce dernier n’est que l’une des filiales de la holding aux multiples ramifications
– Education
– Cable Television Operations
– Newspaper publishing
– Television Broadcasting
– Magazine Publishing
– Other Activities
Vous trouvez tout cela décrit dans l’URL que je vous avais donné
Les 20 premières pages du FORM 10-K déposé à la SEC (Securities & Exch. Commission)
Part I
library.corporate-ir.net/library/62/624/62487/items/329272/…
Bonne soirée
Déchiffrer, défricher, dessiner
De nouveaux jardins
« à quoi bon » y jeter des pierres ?
Révéler le système
et révéler « ces hommes »
Ce soir dans ma rue des dizaines (centaines?) d’hommes en bleu dans leurs exo-squelettes en kevlar attendent les danseurs
Un hélicoptère dans le ciel
Mon fils aura mon âge en 2048
1 milliards de crèves la faim. Si quelqu un voit du beau, c est qu il est aveugle.
Qu est ce le beau pour un affamé ?
Faut il être comble pour etre con ?
à Eleazar [19:55]
Un beau désordre est l’une des formes de chaos.
Certaines formes de chaos – odieuses – sont esthétiquement belles, perverses et mortifères,
insupportables pour moi
Se reporter à ce blog le 9 février 2009 : Chaos de Lorentz ! l’absence d’alternative !
Chaos_L … – Chaos_F1 = Chaos Frustré … – Chaos_FF ) Chaos Flip-Flop … etc.
Leuco n’est pas plus pessimiste qu’optimiste
Une trouvaille de sa part … pour votre route :
« Le bonheur est à la frontière du chaos_B … Je peux me tromper » ( leucotrio )
Je viens de vous lire.
Quel dé…luge !
Tiens à propos de déni ,serait-ce à rapprocher de celui de certaines donneuses de « vie »-mort ?
Peut-être : parce qu’en effet ces potentats ont ,de fait ,comme avant 1789 (pour les Français) pouvoir de vie et de mort sur nous , qui sommes leurs « gueux » …à leurs yeux aveugles.
tigue dit :
20 juin 2009 à 14:12
Ensembles de Julia. Très beau! On dirait que certaines figures sont de la même « inspiration » que les cercles de cultures (crops-circles) quel que soit leur origine.
Bien entendu que le phénomène oligarchique existe. Mais dire d’une part que l’oligarchie est omnipotente, insaisissable, et de l’autre laisser entendre que l’on voudrait s’y attaquer, manque de cohérence. Comment décrire, et surtout défaire, ce qui est furtif — insaisissable — par principe ?
Ce type d’attitude, pour polymorphique, cerveau-gauche-cerveau-droit tout un, qu’il soit, n’offre aucune prise réelle sur laquelle on puisse fonder une action individuelle et-ou collective, car il y manque une analyse à même de rendre compte des mécanismes sociaux-économiques qui mènent précisément à la constitution des oligarchies. Et à propos, que pense le Leuco trio de la théorie socio-économique qui fait reposer l’analyse du capitalisme sur les rapports de forces entre entrepreneurs, investisseurs et salariés ? Serait-elle nulle et non avenue ? Si oui, quels arguments pour la réfuter ? Et si non, si elle a sa pertinence, pourquoi systématiquement l’ignorer ?
Une autre possibilité serait que le leuco trio estime que face à la « furtivité » qui caractérise les forces adverses — les « top riches, les top banquiers, top financiers — il n’est d’autre attitude possible que de répondre à la furtivité par une attitude, une stratégie, elles-mêmes furtives. Mais alors, si c’est bien le cas, quid de la politique, de l’éthique, et du degré de transparence — le cartésio évoqué par François Leclec — requis pour dialoguer, réfuter les discours adverses au sein l’agora, ce qu’implique la démocratie en son principe ?
Autrement dit, ce qui constituent les oligarchies ne sont-ce pas — aussi — des discours, une idéologie ? N’est-ce pas supposer inutile et perdue d’avance les combats de la démocratie si l’on n’analyse pas les discours et théories permettant la domination des uns sur les autres ? L’exploitation des uns par les autres ?
Je note ainsi que revient souvent cette idée sous la plume du leuco trio que tous les concepts en isme ne sont d’aucune utilité.
Je pense bien entendu à ceux de capitalisme, socialisme, libéralisme, et autres. Mais alors en ce cas pourquoi faire du phénomène oligarchique l’explication centrale du mal qui rongerait nos sociétés ? L’explication par l’oligarchie ne s’avère-t-elle en fin de compte un isme qui s’ignore ?
Leuco trio et tutti quanti dit : « Quant à Cartesio, en milieu opaque, ne serait-il pas incapable de nager entre-deux-eaux.
En surface, il lui manquerait un mufle, … la perception de la chair et la sueur, … »
Il y a là l’idée sous-jacente que le discours articulé et rationnel serait impuissant à appréhender la réalité car cette dernière serait toujours supérieure à la somme des parties du discours rationnel.
Cela semble avéré en maintes circonstances où la pratique défait la théorie. Mais est-ce à cause du trop de théorie ou l’inverse ?
Il me semble plutôt que c’est lorsque la théorie s’absente que le réel a le plus de chances de se dérober sous nos pieds. Que domination et aliénation apparaissent.
Peut-être cette réticence par rapport au rationnel quand il s’agit de l’expérience vient-il d’une opposition factice. IL me semble ainsi qu’on oppose à tord approche intuitive et rationnelle dans l’appréhension des choses du réel.
L’approche corporelle, intuitive, n’est jamais que du théorique-pratique incorporé. Tchouang T’sseu, penseur taoiste de l’antiquité chinoise, a écrit cette histoire célèbre du boucher qui découpe sans même toucher l’animal — un boeuf — qu’il a sous la main. Il découpe tellement bien qu’il le fait avec l’esprit et non plus avec ses mains est-il précisé. Mais ce n’est pas qu’il ait une approche plus de son rapport à la découpe, mais parce une pratique assidue de la découpe et une connaissance approfondie de la structure anatomique lui ont permis d’arriver au résultat qui est décrit : à savoir passer son couteau entre les interstices de l’animal si bien qu’il n’en touche plus rien, évoluant avec son couteau dans les interstices du cartilage avec une facilité déconcertante.
Pourquoi un discours clair, cohérent, articulé serait-il incapable de penser le vide, les interstices, les zones opaques ?
Le summum de l’intelligibilité des choses n’est-il pas de rendre limpide ce qui de prime abord apparaît comme opaque ? De même pourquoi faudrait-il opposer rationalité et monde de l’expérience concrète des choses ? Le monde sensible, de chair et de sang n’est-il pas tout entier dans le Capital de Marx ? Le monde sensible de chair et de sang n’est-il pas tout entier dans la prose classique de Freud ? Les humains n’écrivent jamais qu’avec leurs tripes pour dire ce qu’ils ressentent aussi raisonnés puissent paraître leurs mots.
La commedia dell’arte se met à la Top-Finance avec de nouveaux personnages masqués .Leucotrio, Cardio-testeur, Barbe toute Bleue dans le role de Matamore, Goldquatuor dans le role du banquier, JP Morgan dans le role de Mascarille, Trichet dans le role de Scaramouche .Les nouveaux zannis sont : la clique PsModemUmp, les maitres du Libor et les anatio-furtifs. Je n’ai pas identifié Bale (peut-etre à rattacher à Treponem ) ni Dubaiciticorp (peut-etre un roi-mage).Ou sont passés Pantalon, le docteur et le Capitan ? Un misérable lama-mouton-pigeon prie l’honnorable Auguste de lui épargner la lecture de ses Top-listings JP Morgan mais sera ravi de lire ses questionnaires bien ordonnancés.
@Pierre-Yves D
« Le summum de l’intelligibilité des choses n’est-il pas de rendre limpide ce qui de prime abord apparaît comme opaque »
Je pense qu’un type qui est prêt à accorder un prêt de plus d’un demi milliard de $ pour un client dont son employeur fait partie du cœur du système occidental (pas loin de l’imprimante toute chaude de la FED) doit fermer sa geu**** :
Rien qu’un demi pour cent de commission représente 3 millions de dollars. Je n’écrirais pas dans un blog si on m’avait autoriser à remplir mon sac de billets de banques comme des braqueurs.
Ou on est face à d’un loser (dans le jargon du monde d’où il vient) ou l’excès de cocaine et de call girl lui ont fait perdre la raison.
Quelque soit l’historique , en tant qu’ancien employeur, je ferais en sorte par contrat qu’il garde son secret professionnel.
Il semblerait que le trio et toute la troupe « sait » des choses importantes et aurait même ,avoue-t-il, apparemment participé jadis à ces choses.
Et puis a quitté ces choses ou a été quitté par ces choses.
Un Denis Robert de l’intérieur.
Mais ces choses ne peuvent être changées que par les Peuples.
Quand ils comprennent.
Trop tard.
C’est ainsi que le beau est menteur.
Que les lendemains ne chantent pas toujours.
Et que
Le vrai s’il n’est pas beau, est honnête et unique…et émouvant.
@leuco-trio
Ce que je cherche ce sont des failles qui permettraient à cette ‘opportunité’ qu’est la crise financière de faire émerger un monde différent: vous avez des pistes à ce sujet, mais vous semblez – en vous retranchant dans un style qui certes vous fait honneur – chercher davantage à identifier en temps que cause et bénéficiaire un hypocentre (toujours plus hors de portée) qu’à canaliser le ras-de-marée qui a rebondi contre les limites finies du système capitaliste et qui, s’il aura des conséquences, risque de ne pas provoquer celles que nous pourrions désirer. Il faut mettre en forme des données qui favoriseraient une analyse des réseaux aux intérêts objectivement oligarchiques (à contextualiser et à actualiser) susceptible d’engendrer une évolution du monde dans un sens favorable pour le plus grand nombre (présent et à venir) possible . Si, dans ce sens, vous avez des suggestions (même infra-minces), vous pouvez compter sur mon soutien actif.
Dans ce sens, je suis également favorable (et volontaire pour participer) à la mise en place d’une extension wordpress pour la chronologie des évènements majeurs de la crise financière analysés sur ce blog, voire (si Auguste acceptait d’en faire un récapitulatif) d’une timeline des levées d’OpaqVoile sur dipity.com.
lourd, lourd, lourd…
ce blog atypique et attachant est hélas toujours plus lourd
spirale de désenchantement? les paysages verdoyants sont-ils sans pitié?
catharsis en échec?
quand PJ paraît (?) accuser le coup, le blog évite mal une fuite verbeuse ou sentimentale,
peu aidé du reste par la présence de personnages improbables, quelquefois insiders auto-déclarés, qui usent et abusent du cryptage (je ne vise évidemment pas FL)
que l’on ne se méprenne pas, le pessimisme est largement autorisé, la lucidité y gagne presque toujours : l’une et l’autre exigent de la méthode et du courage
mais la constatation de l’inéluctable ne peut être le motif de son acceptation
et il faut brider la nostalgie lorsque cette dernière voisine la sensiblerie
il manque à ce blog, je le pense, l’envie et la jeunesse de l’action
je ne partage pas la ligne politique de sa majorité mais je laisse rarement passer un jour sans y jeter un oeil cordial
tenez bon
[montage parallèle]
Une machine de guerre se prononce, librement, superbe, contre l’impasse surcodée. Elle tisse Elle fabule se déploie dans des livres, des tympans qui se lèvent comme certaines épigraphes, l’ouïe ne se peut fermer.
à Auguste: être pessimiste ce n’est pas décrire lucidement des faits, mais croire que la bêtise et l’avidité humaines sont plus fortes que l’imagination de la Vie…
La beauté n’est pas dans ce que l’on voit : elle n’est pas celle dont on dit : « C’est un bel arbre, un beau tableau, un bel édifice, une belle femme. »
Il n’ y a de beauté que lorsque le coeur et l’esprit savent ce qu’est l’amour. Sans l’amour et sans cette beauté, il n’y a pas de vertu, et vous savez fort bien que, quoi que vous fassiez : que vous amélioriez la société ou nourrisssiez les pauvres, vous ne feriez qu’ajouter au chaos, car sans amour il n’y a que laideur et pauvreté dans votre coeur et votre esprit. Mais avec la présence de l’amour et de la beauté, tout ce que l’on fait est bien fait, ordonné, correct. Si l’on sait aimer, on peut faire ce que l’on veut, parce que cela résoudra tous les autres problèmes.
J.KRISHNAMURTI
Il n’y a qu’une seule beauté !!! Celle du diable 😉
Bonjour a tous ,a l’origine la ceremonie du the dans le boudhisme Zen sert a cela :percevoir la beaute dans les choses les plus simples ,aguerri a cette pratique l’individu est a meme de percevoir la beaute des mecanismes de vie (l’injustice apportant la justice par exemple).Il ne s’agit pas de voir le beau en toute chose ,non !il s’agit de voir la beaute des mecanimes de vie dans leurs evolutions et transformations .Regardez ce blog Paul, Francois et tous les autres c’est merveilleux!
Amities.
Ce qui est beau est toujours bizarre.
Cocteau
Un monde différent ne veut pas dire un monde meilleur.
La beauté n aura plus sa place dans le monde à venir. Elle ne sera plus qu un souvenir avant un soupir de nostalgie.
Le chien aboie et la caravane passe. Après tout, tout à une faim.
Bientôt une nouvelle bulle à éclater, la bulle de 9 milliards d’humains (infaltion ou pas inflation).
Et moi et moi et moi, j y pense et puis j oublie.
Moralité : rien ne sert à aboyer
Amen
à Samuel [hier 21:12]
Comme vos deux hypothèses sont erronées, je vous en propose d’autres, éventuellement panachables :
[B] Du temps de ces affaires les banquiers-analystes-financiers ne recevaient pas de commission
[C] Le ProtoPolymorphe ne savait pas encore qu’il pourrait, plus tard, toucher des commissions
[D] Le Non-Encore-Tres-Polymorphe (Clown + Nuage + tutti-quanti) n’avait pas le sens de l’argent et était un imbécile
[E] … (…)
Je n’ai pas reçu un euro. L’acceptez-vous ? Etait-ce une autre époque ?
Avec votre autre remarque … sur le demi milliard
tout d’un coup je me suis interrogé : Me serais-je trompé ?
aurais-je intuité un taux d’inflation trop élevé ?
De tête, une culbute d intérêts composés de tête, n’étant pas ma spécialité…
le calcul réclamait une calculette
Les américains furent ponctionnés d’une aggrégation de taux cumulatifs un peu moins forte
Le rythme de 100 mio $ par an est bien le bon … sur 5 ans.
En $ d’aujourd’hui, les capitaux à disposition furent de 470 mio $ (près de 500)
On peut le vérifier dans les comptes. En effet,
un jour, un head-hunter outplacer (entre autres « exigences » = conseils) me demanda
« Vérifiez si votre préconisation a bien été suivie pendant 5 ans » … et
je me suis alors exécuté; j’ai vérifié dans les comptes du Washington Group
(seul, ça ne me serait jamais venu à l’idée)
Ces quelques lignes visent à rappeler l’intérêt qu’il y a à lire Creutz,
même si beaucoup de ses croyances absolues ou aberrantes sont à mettre au panier.
Les historiques ci-après devraient inciter à regarder les enjeux de l’inflation autrement et avec davantage d’attention :
Cours conversion $ – Fr
industrie.gouv.fr/…/se_dollar
Inflation aux Usa
– depuis 1980
http://www.edito-matieres-premieres.fr/0337/economie/vrai-chiffre-inflation-etats-unis
– depuis 1990 avec commentaires inflation.free.fr/inflation_rate.php
– en mars 2009 :
linflation-repart-aux-eteacutetatsunis
à Clive [hier soir 20:12]
Plus haut, vous dites
Déchiffrer, défricher, dessiner (…)
Mon fils aura mon âge en 2048
Votre fils a 1 ans – Vous en avez 40
Votre fils a 2 ans – Vous en avez 41
Votre fils a 39 ans – Vous en avez 78
Q1 : L’énigme n’aurait-elle pas un petit élément manquant ?
Le 9 juin 2009 à 13:00 LeClownBlanc disait à a113 [12:31]:
L’impresario du Cirque Leucotrio a cette question :
Q2 : Beau jongleur-de-mots, auriez-vous une réponse à cette question ?
Un monde plus riche travaillant plus gagner plus pour le seul amour des richesses, du plaisir d’en posséder toujours plus dans l’empressement ne veut pas forcément dire un monde plus responsable, plus beau, plus libre, plus économe bien au contraire malheureusement non parce que je suis d’une nature pessimiste au sujet de l’homme mais bien plus parce que je le suis au sujet de la foule du plus grand « nombre » préférant s’illusionner plus longtemps encore entre eux à vouloir s’en cesse défier les Dieux ou le climat à ne vouloir principalement adorer que les oeuvres de nos mains on en devient forcément moins sage et plus déraisonnable dans une société mais ça bien sur je ne vous l’apprend pas c’est juste une question de temps avant que cela ne devienne davantage visible ou plus désastreux pour le plus grand nombre préférant encore dormir une montagne de dettes supplémentaires ne suffirait pas non plus à sauver tout le monde pratiquement une mission impossible …
Seul bien sur quelqu’uns en réchapperont mais pas le plus grand nombre ne préférant avant tout qu’en faire qu’à leur tête ou à la même marque de ce système sur leur esprit c’était déjà tellement prévisible à voir pour les sages d’autrefois….
LeClownBlanc, Auguste,
Comment vous y prenez vous pour me fixer un RV qu’on fasse affaire sur mon projet industriel politico-moral?
Mon Mr Hyde à rédiger le commentaire-Samuel dit : 20 juin 2009 à 21:12 – afin d’éclaircir les contours de cette affaire.
En partant du principe qu’aujourd’hui, lorsqu’un assureur,banquier, vend un produit, il reçoit une commission, un pourcentage,soit :
-L’époque à laquelle vous avez exercé est révolu
-Un autre à pris une commission.
Par contre , vos anciens collègues se sont et se goinfrent bien :
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/les-bonus-de-wall-street-echappent-a-la-crise-pas-a-la-polemique_141786.html
à eonemos
« le beau est toujours bizarre, (imagineriez-vous un beau banal ? » …) c’est Beaudelaire, critique d’art, qui s’insurge
contre les professeurs jurés d’esthétiques, …. (Victor Hugo lui répond …)
« le beau est toujours bizarre » de Cocteau est une citation en référence d’un texte écrit de Beaudelaire, celui où fut inventé de ce mot de « modernité » aujourd’hui détourné, perverti
(celui de « postmodernité » , un mot carrément assassiné, -sans doute trop dangereux??, … – avant le texte de Chantal Béret sur » l’ecclectisme radicale, la jubilation postmoderne » est à l’origine de l’architecture …)
Q1- Je ne suis pas encore né et en 2048 mon fils ne sera pas né.
Je suis né en 2008 et je ferai un enfant en 2047.
Q2- Silençor Vivan
(Gilles Deleuze, Pourparlers)
Entre les stries?
Le prénom avant la fonction…
@Auguste
Q1: ce n’est pas une énigme
juste une projection
Il a 6 ans, de grands yeux gris
Rieurs
Q2: ce n’est pas une question
c’est une énigme
pour moi
Autrefois on aurait dit: ne changeons pas le monde! il est si beau. L’antique beauté des villes n’a pas de prix. Qui oserait sincèrement préférer nos chères banlieues au paysage de toscane qu’a connu laurent de médicis. Nous savons transformer mais peu cultiver! pour notre malheu, Madoff a remplacé les Médicis… et Jeff Koons le modeste Ghirlandaio!
La plupart de des posts me rappellent mes études de philosophie: je détestais la philosophie « continentale » (francaise, allemande ou italienne) que je trouvais verbeuse (pourquoi faire long et alambiqué quand on peut faire simple et court?) et adorait la philosophie anglo-saxone. Sans hésitation aucune, la discussion ici rentre pour moi dans la première catégorie. Et une bonne partie du blog également, malheureusement.
Ne lisant ce blog que depuis 2 semaines, je me demande si l’allocation universelle a été discutée ici. En tous cas dans sa version défendue par Philippe Van Parijs (cfr son livre Real Freedom for All), elle s’oppose clairement à la concentration du pouvoir et de la richesse, en donnant une liberté réelle et inconditionelle à chacun, et ce à un niveau soutenable le plus élevé possible.
@ Mathieu
Arrivant en Angleterre en 1975, je ne connaissais pas grand-chose à la philosophie anglo-saxonne, je m’y suis longuement plongé jusqu’à m’y sentir chez moi. Aujourd’hui cependant, il ne m’en reste que des souvenirs, rien dont je puisse vraiment faire usage : trop loin, beaucoup trop loin du concept.
PS : Je ne parle pas de Hobbes, Locke, Berkeley, Hume, bien entendu mais de Quine, etc.
@Mathieu
L’allocation universelle a été discutée sur le site ECCE (constitution pour l’économie).
http://www.ecce.name/
@Mathieu
Ben non, désolé, la discussion relative à l’allocation universelle semble avoir disparu…
Mathieu arrive au Bar (au moment ou on parle avec nostalgie de la grande époque, celle de « Joe le Trembleur, un fondu qui ne travaillait qu a la dynamite ») il dit aux piliers de bar que leur rade est nul, avec un air guindé et un petit accent « So British » je vous laisse imaginer la suite…
@Tigue
C’est exactement ça !
Les tontons flingueurs, ça a beau être de la philosophie « continentale », ça reste clair et percutant !
Les Angliches, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les r’connaît !
@tigue
j’en conclus que vous êtes tous bourré à l’heure qui l’est 😉
Plus sérieusement, je ne veux pas surtout pas me la jouer monsieur je sais tout etc,… mais je commentais ce genre de discussion sur l’interprétation de posts d’une personne qui se présente sous des identités multiples parlant d’un sujet compliqué: le risque est toujours que ça tourne à la masturbation intellectuelle. Et ça me faisait effectivement penser à mes études philo, surtout à la tendance de la plupart de chercheurs du domaine dont les travaux ne sont quasi toujours que des « commentaires sur… ».
@ Paul Jorion
philo continentale avec laquelle j’ai toujours eu du mal: Heidegger, Lacan, Deleuze, par exemple.
philo anglo-saxonne que j’ai apprécié: Pierce, James, Russel, Moore, Popper, Putnam en philosophie des sciences. Et toute la littérature à partir de Rawls (Sen, Van Parijs) en philosophie politique, qui est sans doute plus applicable sur les questions d’organisation de la société discutées ici.
Mais il est tout-à-fait possible que ce soit plus une question de style de que fond. Je ne sais pas…
Oulalaaa: « l’heure qu’il est » et pas « l’heure qui l’est ». Il est tôt, mais quand même…
@ Mathieu,
Au bilan on a sous les yeux où mène l’utilitarisme paravent du néolibéralisme!
La simplification a fini par zapper les questions morales, et je n’ai pas l’intention de m’en laisser conter par les seuls religieux ou théologiens pour la réintroduire.
@ Le ClownBlanc, Auguste, & co,
Je suis ds l’obligation, cher ami, de constater que vous vous défilez!
Finalement, vos propos très informés sur le monde de la finance ne nous font pas avancer ds les réponses aux questions cruciales qui se posent sur ce blog pour nous sortir de la m… .
Au Lenox Hill Hospital, tu as reçu, un jour, un magnifique cadeau. Tout un chacun pense à sa petite babygirl.
Mon @professeur devrait apprendre à donner.
@Eugène
Effectivement on peut voir ça comme ça. Mais il reste le problème fondamental de concilier liberté et, disons, solidarité. Les dictons du genre « Ma liberté s’arrête où commence celle des autres » n’est pas très utile en pratique. Qu’elle est ta philosophie politique favorite alors? Par « philosophie politique » j’entends une réponse générale à la question « Qu’est qu’une société juste? » ou « Qu’est qu’une société bonne? » et « quelle organisation, quelles institutions pour favoriser/garantir cela? »
à Nuage blanc
« …
Les années 90 ouvrent la méta-modernité loin d’un destin historique, la fatalité du monde millénariste, la généralisation du néo-libéralisme et l’événement des gouvernements supranationaux après la disparition du code de la valeur, l’émergence des populations en « vie nue », dans une réversibilité de la globalisation du monde qui prescrit de fait et de droits le pacte humaniste (qui était la part symbolique du code de la valeur associé à l’économie politique dans les sociétés modernes) : la fin du monde politique dans un univers hégémonique supra-national, où le vecteur intègre toute chose matérielle ou virtuelle du monde égale au flux de la communication numérique en terme de rente en place de commerce. Ce qui change toute la donne
…. »
http://juliendoredigupelvis.level52.com/t170-R-Qu-est-ce-que-la-Post-modernite-References-citees-par-Julien-Dore.htm
plus
« …..
1. Qu’est-ce que la postmodernité — être postmoderne ?
Introduction
Pour s’entendre sur le terme d’émergence, on se tient au sens matérialiste de l’émergence. Pour mémoire de la basse modernité, il s’agit de l’émergence collective de l’univers technique, qui surgit avec l’hégémonie du monde judéo-chrétien. On s’en tient au monde historique de l’universalisme qui sépare dieu de l’État dit l’époque moderne, fondée par Les Lumières à l’ère l’industrielle. Celui qui lui succède est dit le monde postmoderne, et celui qui advient après le monde postmoderne est le monde métamoderne — comme on put dire que la métaphyisque succéda à la physique d’Aristote. La modernité regardée est un concept occidental du projet collectif à l’égide du progrès matérialiste, agi par des avant-gardes révolutionnaires partisannes, supposées inventer et expérimenter l’innovation et participer au pouvoir de la généraliser dans la société, sous le pacte d’un code de la valeur qui installe des rapports d’équivalence liés dans la production et dans l’organisation des rapports sociaux, ce qui constitue l’économie politique (la valeur d’usage, la valeur d’échange, l’offre et la demande, l’équivalence générale (l’argent), le savoir, les droits de l’homme, la répartition des ressources et leur reproduction, l’éthique, l’esthétique, sont des règles ou principes stricts mais inséparablement solidaires, donc plastiques, soumis à un jeu réciproque exécutif par leur mise en équation ou en relation inter-dialectiques).
Dans la pensée matérialiste — qui ne fait pas acte de la croyance –, aucune valeur du code ne fait sens en dehors de son environnement dans le code. Parler de valeur suppose les autres valeurs du code — et le code. Sans code de la valeur, il n’y a plus à proprement parler de valeur. Cela concerne y compris le divertissement — et le rock’n roll.
Les avant-gardes se sont toujours signalées à l’origine des styles, et les pouvoirs par l’éxécution hégémonique de ces styles représentant ou communiquant les traits consensuels ouvrables pour les peuples.
L’époque moderne, du XVIIIè au milieu du XXè siècle, procède de l’utopie humaniste des Lumières, basée sur le principe d’autonomie de l’homme sur terre, de sa capacité de vaincre les forces de la nature par l’amplification de la technique, de développer ses connaissances pour contribuer au destin anthropologique du partage, conçu comme un progrès du « genre humain » (le libérant du règne animal et de la contrainte de la nature, et de l’exploitation de l’homme par l’homme), et de s’organiser en société dans le cadre de la diversité des langues, du développement des connaissances, et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes en nations : selon leurs cultures et leurs sites, et la séparation des églises et des Etats, comme des pouvoirs au sein des Etats.
L’organisation politique et administrative de référence de la modernité est la démocratie électorale sous toutes ses formes, de la monarchie constitutionnelle aux conseils ouvriers (soviets ou communes) en passant par la république. Deux systèmes économiques du mode de production et de la répartition des ressources se sont constitués à la fin du XIXè siècle et au début du XXè, l’un gagé sur la propriété individuelle autorisant l’accumulation des moyens et des ressources dans l’organisation de la production et du travail et la jouissance de l’argent, modéré diversement selon les régimes par le code de la valeur et ses variantes, et gouverné par un pouvoir représentatif élu, renouvelable : le système capitaliste ; l’autre gagé sur la propriété collective et la gestion commune des moyens de reproduire et de répartir les ressources, auto-organisé ou dirigé et géré par le pouvoir central de l’Etat : le système communiste. Les deux systèmes ont connu des dictatures ou des totalitarismes internes, ainsi que des colonialismes et des impérialismes hégémoniques, mais le système communiste installé par les gouvernements révolutionnaires consitués en comités de salut public, dits dictature du prolétariat, n’ont pas connu de dissolution consentie de la dictature avant leur effondrement définitif.
On dit que c’est une lampe moderne d’un style historique composite, dessinée par Gae Aulenti en 1959, pour participer à l’exposition milanaise « Nouveaux dessins pour le meuble italien » qu’elle avait organisée avec Guido Canella, qui innova le style déconstructiviste post-moderne, assemblage anachronique de références formelles ou conceptuelles (telle une critique de leur histoire), par l’application au design d’ameublement d’une théorie sémiologique et structuraliste de l’architecture, dans les problématiques de l’histoire et de la géographie du site et du territoire social, réfléchie après la 2è guerre mondiale contre l’architecture moderne par Vittorio Gregotti, architecte de la reconstruction Italienne, et dont celle-ci fut l’élève à l’école polytechnique de Milan et l’assistante, en même temps qu’elle se développait par elle-même.
Il est possible de considérer qu’il y a deux périodes en post-modernité, les années pop, de 1956 à 1969 ou la post-modernité comme réalisation, solde des guerres coloniales et années de l’abondance occidentale et du déploiement de la marchandise et des mêmes droits pour tous (le point extrême des Lumières), en Europe après les Etats-Unis.
Puis ce fut la post-modernité comme condition, ritualisée par une méthodologie déconstructiviste de l’histoire sous un mode d’apparition anachronique et/ou diachronique et/ou polychronique : formes, pensée et pensée des sciences (épistémologie), société, économie politique et économie fusionnant dans une vision libérale hégémonique du monde, système financier absorbant peu à peu les équivalents de la valeur, dans un style et un dispositif d’événements international dérèglementé, et l’explosion des barrières dans tous les domaines tendant à l’alignement indifféremment égal de toute chose, comme la mise en circulation spectaculaire de la marchandise (La société du spectacle), puis à travers les signes langagiers de l’aspect des marchandises et de la publicitté (Le système des objets) son flux communicant égal à la communication elle-même.
Cette seconde période va jusqu’à la fin des années 80 ; précisément 1989, chute du mur de Berlin, événement irreproductible ritualisé à l’occasion du bicentenaire de la révolution française, réunification de l’Allemagne dans le cadre européen et symbole de la fin de la guerre froide entre l’occident capitaliste et l’URSS communiste, dans l’effondrement du communisme et l’avènement mondial du néo-libéralisme de marché (OMC, FMI) gagé par le système boursier…
Fin du code dialectique de la valeur : matérialisme historique et économie politique.
Les années 90 ouvrent la méta-modernité loin d’un destin historique, la fatalité du monde millénariste, la généralisation du néo-libéralisme et l’événement des gouvernements supranationaux après la disparition du code de la valeur, l’émergence des populations en « vie nue », dans une réversibilité de la globalisation du monde qui prescrit de fait et de droits le pacte humaniste (qui était la part symbolique du code de la valeur associé à l’économie politique dans les sociétés modernes) : la fin du monde politique dans un univers hégémonique supra-national, où le vecteur intègre toute chose matérielle ou virtuelle du monde égale au flux de la communication numérique en terme de rente en place de commerce. Ce qui change toute la donne.
… »
à Jef [23 juin à 22:09]
Ref. Lenox Hill. Il m’a fallu la durée limite des trois jours pour me décider sur le prénom.
Je comprends votre interpellation, mais savez où et dans quelles conditions je virevolte ?
… en une spirale insensée
… suspendu à un harnais
… couvrant d’incroyables canopées
… aux lianes multicolores.
Mes repères-marqueurs étant bien-fondés
je ne cours aucun risque
la réussite de l’An II est probable si (…)
Merci pour Paul qui m’a rappelé ce fil que j’ai délaissé ces six derniers mois.
Ref. Nikademus
Quant à la représentation de ces repères, il est essentiel que j’y consacre, à nouveau, au moins X heures par jour.
Entre Camille Pissaro et Paul Cézanne, je préfère souvent le premier, moins Cesario.
Pourquoi ça ? Un être vivant, animal… est presque toujours présent dans la peinture du premier.
latribunedelart
Sur le même chemin autre
M’imaginez-vous peignant l’Ananas Offshore ou une Façade Nord sans au moins un de ses Gardiens ?
Simultanément, il y a des risques que je ne veux pas prendre.
C’est bien joli la peinture, mais ne faut-il pas parfois tirboulifer les couleurs par le bout-bout du pinceau ?
Je ne travaille pas du tout comme un artiste du XXe siècle. Pas du tout du tout.
Ce n’est pas une progression à la petite semaine, façon Toulouse Lautrec ou qui vous voulez.
Fab s’interrogeait. Or, chacun a sa méthode.
Chaque démarche a sa dynamique, son fondement, sa singularité.
Ce qui apparait optimum pour votre voisin ne l’est pas nécessairement pour vous.
Merci d’être patient.
Si j’avais suivi ma dynamique personnelle, antérieure à février 2009
vous n’auriez pas lu une ligne de moi sur ce blog-forum ou un autre avant le second semestre.
A ce stade, je n’ai rien changé à mon calendrier, alors que mon délai résiduel se réduit comme peau-de-chagrin.
à Mathieu (23 juin à 09:57)
Je ne sais pas si votre commentaire s’adresse à Paul ou à moi.
Pensez-vous sérieusement que ma trico-philosophie puisse se résumer ?
La réponse est positive et même très simple.
Mais aujourd’hui, de mon fait, elle serait incompréhensible si je commettais l’erreur de vous en parler.
Peut-être commencerez à me comprendre davantage quand,
étant moi parfois bouche cousue, il y aura néanmoins un bout de pertinente réponse pour Jef [23 juin à 22:09].
A chacun(e) d’entre vous :
Merci pour vos commentaires.
Ils me sont précieux.
Ceux-ci activent autant de chantiers sur l’Open dodeEspace à venir.
Combien de tableaux me demandez-vous de mettre en chantier ?
40 ? – 44 ?
400 ?
Le format ?
Je penche pour un carré 1.92 x 1.92 m
ou bien, même surface, deux fois 1.92 x 0.96 m (Hrz ou Vtc)
Vous trouverez ci-après le titre de chaque dynamThématique.
C’est un premier jet.
Je vous invite à le remplacer si vous en préférez un autre
Ne vous privez pas !
Piochez aussi dans ce qui vous a le plus agacé
parmi mes néologismes ou eidos entre-les-lignes
Ne vous privez pas pour suggérer qq personnages et
qq symboles auxquels je pourrais ne pas penser
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Quels « Concepts Leucotrio » appellent, selon vous, une scène (…adjectif…) incarnée ?
Qu’est-ce qui aiderait la personne qui débarque et
ne connait rien aux quelques aspects que je n’ai fait qu’esquisser,
étant sorti du bois beaucoup trop tôt.
N’hésitez pas à élever l’enjeu de création de l’un quelconque des tableaux ci-après,
aux effets éventuels recherchés sur les regards de vos contemporain(e)s.
A l’avance, merci trois fois : (1) la scène, (2) l’enjeu, (3) les finalités éventuelles à l’égard des regards
Il est possible que je pose des questions pour faire avancer un tableau.
J’ai déjà, souvent, des idées précises sur l’aire linguistique et culturelle que je compte retenir,
mais bon … c’est souple.
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Allfeel — Auprès des masses aliénées, amplification des quelques décibels de la clique PsMDemUmp. Le Beau issu de l’Autre devenant par l’échange une partie de Soi.
Barbe-toute-bleue — [#] Successions de générations > Positions dominantes – Contre Angoisse et Malaise voir le mécanisme en place
[#] Suo Fun¤… aux … (…) filtrées [Suo = Sources & Uses Of …]
Bellini — Rurbannerie dreevdique – Hommage à Ghirlandaio et d’autres
servante aux fruits – L’un hésite, l’autre encourage sans mot dire, quant à la fille le peintre sait-il où elle est en est ? cène —
Benoit — Suprême simplicité et Cohérence couvrant tout ce qui précède et suit (élégance), à l’exception de qq dauphins et albatros
Bertrand — [#] Rapports au Temps de la famille et ses mémoires, d’une part, et de l’Oligarchie financière, d’autre part [mos 5] … avec les Rapports Inter-Espaces dans le décor [mos 6]
[#] Territoires diaboliques : Incarnations de sang et nerfs au Chaos de Lorentz (TINA) … Chaos frustré …Chaos Flip-flop – …
Boukovski — Platon au miel et Aristote sans casser des oeufs ? l’inexistence du concept ? Meringue au miel ? ça existerait ? Combien de meringues à partager pour de plus subtiles attentions réciproques ?
Clive — Protection-Sec & MegaPreserFilsDuSerpent & Codes & Chiffre fatal
[ Pour la petite scénette virtuelle Place-des-Vosges, l’activité pour l’instant non décrite n’est pas du tout le sujet; j’ai simplement besoin d’un mot de notre langue (existant ou pas) pour caractériser le « métier » du personnage et ensuite décrire clairement l’activité. Alors, ce sera sans aucune énigme. Dans une autre sphère, votre trouvaille « furtivité » fut parfaite ! C’est pourquoi je me suis adressé à vous. Mais tout(e) internaute peut chercher et trouver qqchose même si ce n’est pas parfait. Dans l’exercice le mot « banquier » est interdit ]
Cécile . . . (je vous fais confiance en art architectural ou plastique, pour à la fois (a) revenir loin en arrière, surmonter les horreurs du XXe — nombreuses parmi les réussites — (b) prélever qq petites pistes disjointes vaguement positives mais en impasse, (c) proposer une finalité qui vous paraisse impassible avec un titre de tableau)
Coucou — …. ( auriez-vous un sujet ? ) ….
Eleazar — Au sommet des enjeux : Ordre flexible et Désordre artistique
Eomenos — [#] Civilisation à l’agonie supplantée par la nouvelle
[#] Cocteau a tort
Eugène — Industrie culturelle-et-politico-morale ! Diable ! Ah ! un défilé !
François Leclerc — La carte biface (endroit, envers) d’un monde méconnu aux comparses immergés. Tableau signé par Cartesio ? Hmm! Mieux vaudrait en peindre deux : j’ai moyennement confiance dans celui de Cartesio.
François2 — Kinesthesie transmettrice plus de V s. avant J.C. en 3dVirtuel avec retour d’effort F & H
Grospolo — Les dodeForces de combat en ordre de bataille, capucine à la bouche et cerises à l’oreille
Insipide — Bords-de-l’Eau Dodeaux Désirés embaumant les vallées aux heteroSenteurs préférées – SavoureuseChrono2010 des cortèges, par Insipide
Jacques — [#] Commedia dell’arte du Pommier-de-Bois et non du Viale (plus à distance du Loup Pendu)
[#] Naissance en 2047 à 22:23 de (…) Pas de « Silençor Vivan je n’ai pas compris)
Jean-Louis Bars — DesLuges & Donneuses de « vie »-mort (je n’ai pas compris)
Jef . . . ( Quel sujet ? Le don ? … Education-Transmission ? )
Jérémie — « Smalli Zbeautiful » faisant poids égal avec (…ogresse…) et Maciste au sourire carnassier
JIEL — Désamour auto-ré-arnaché sur une nouvelle voie, avec d’autres pistes vaguement repérées dans le paysage.
Joelle — 133 metamorphoses (133 « petits-coups-de-morphing ») sortant de l’abîme
Johannes finckh . . .
Juan Nessy — Coup-de-mou avant la fête foraine (Oscar Wilde), le corps endormi, le contournement du Désert des Tartares, puis l’audace
Karluss Renouveau … (dans le midi ?). J’ignore le « Grand Midi » (aurais-je lu et oublié ? quel ouvrage ?)
Lenz — Le laid (?) labeur qui fait passer de la promesse à l’émancipation jubilatoire, bien en sécurité, au dessus des gorges_B, celles du Bonheur Perdu
Marc Peltier — Une question était posée et une réponse non crédible existait (ref. millions d’emplois manquants)
Mathieu — Jumelages franco-britanniques (tableau 11) ? … Grappes monumentales des Ordres ? …
Mary — Multiplication des bonheurs simples à veiller le rouge-gorge s’approchant des miettes
Pablo75 — Aux Puces de Montreuil, le prétendu pessimiste, livre en main, fort optimiste sur l’avenir de son pessimisme
Paul Jorion — Avec l’exemple Yield_vs_Greed, six milliards de Fooo!!dorsal et NewLooks
Paul Kaizermann — Foyer Vibrant 1+1=3, réceptacle de Beauté Inédite rejetant l’unisson
Phil — Tandems transtrentenies ( 12+12=24 ) le petit-fils par Ghirlandaio … Encore trop petit le gamin pour un tandem UltraJunior (12-18ans) et un(e) Franc(he)Senior (66-77ans)
Pierre-Yves D. — tj_56 ( ΦΨ + Chine + …)
Rumbo — Pépinières ( des semioBâtonnets étiquetent graines et tubercules multi-sources)
Samuel — Paisible amputation fleurie des flux à goinfrer et tentacules dorés de l’hydre du GoldQuartet, compréhensive (…) nullement …
De jour, … (Hyde n’est pas de la partie).
SimoleSansTete — Scène gracieuse entre commenselles, co-sbires et pairs … après « Noir-et-Impair »
Tartar — Cordée dyonisiaque de codeurs du matin ou du soir riant de la vraie histoire cachée par les anciens maîtres
( ? rallods ? hmm ? à voir … ) – Au stade où en est le lapin d’Alice Opidmerv, il n’est pas trop tard comme il le craint
TelQuel —
Tableau 57 (Ah! ça va bien me plaire)Ah non ! Bien mieux ! Barbe-toute-bleue va me comprendre à moitié ! … A Kyoto … tableau 330 ! ça pourrait être à la fois Beau et Horrible ! … Bien peint et d’une rapacité fascinante 1/2 joyeuse 3/4 calculée (la personne qui regrade la toile ne sait si elle doit rester et chercher à comprendre ou fuir ! dilemme !) ce serait en phase avec Bertrand [21 juin à 09:57] (Ah! elle me plait bien cette vague idée de tableau. Je ne sais pas encore ce qu’il y a dessus, mais je le sens bien)Tigue — [#] Joyeux entre de multiples feuilles hiéroglyphées,
pour une unique minuscule composition au burin, BiClown (sous un Nuage qui passe) au fond de la classe, gentiment secoué pour participer
[#] Bergson pliant et coupant en quatre les voiles tissés par la fée par malice et amitié … pour vivre
[#] Propagations (résonnances) induites par de belles récursivités dodeales, sans mesure des différences
VBS — Cib Incantations ΦΨ versus …
Wayside — MontanteRéalité croisant DescendanteRéalité – A mi-course, lancinantes reptations
Yield_vs_Greed — Douche corpo-céphale (uTube), Fooo!!dorsal à la serviette, Habits noirs de parano à la poubelle, et NewLook kinestheCortical
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Pour que cette petite affaire puisse se réaliser
il faudrait que la ville de votre résidence (ou, pour un village, sa microrégion environnante)
me soit connue, d’une façon ou d’une autre
sur le blog ou via un e.mail to Paul.
Pour traiter un sujet, si vous pensez à un style singulier et à des couleurs de préférence,
avec tout mythe ou symbole vous semblant adapté ne vous privez pas.
Je recouperai avec ce qui est sur mon plan de travail.
Il est difficile de se décider à peindre plutôt que de créer autre chose (roman, jeu, simulateur, technologie inédite, etc.)
Il est plus simple de jouer avec les formes et couleurs que de se décider à s’y mettre.
Une fois lancé …
Si vous le souhaitez,
n’hésitez pas aussi à penser
aux dynamiques à l’oeuvre dans le « Bain » de la scène,
aux lumières jouant avec la scène,
aux senso-réactions des êtres, probablement diverses sur un même tableau,
aux CoupsDePatte très différents attendus selon le tableau,
etc.
En « civilisation » (éthique, ΨΦ, socio, anthropo, etc.) n’y a pas une large part de « Beau » qui est conditionnée par la Justesse par rapport au sujet à traiter ?
Exemple: Cette repasseuse d’Edgar Degas pastel
est très différente de celle-ci de Toulouse Lautrec ou encore de cette autre de Picasso (1904) dont la fatigue est insoutenable.
Bonnes réflexions et propositions.
Merci.
@ LeClownBlanc,
Une pirouette de plus avec beaucoup de bavardages. Par contre le « défilé » au sens où vous le prenez est, lui, opératoire, mais vous prenez bien soin de ne pas vouloir me contacter directement alors qu’il vous suffit de demander mon adresse mail à Paul!
Transmission et travail en commun. Un coup de fil à Paul puis…
à Eugène [26 juin 22:32]
Pourriez-vous réunir en un meme email (avec pieces-jointes) tout ce que vous désirez transmettre à LeClownBlanc,
pour l’instant tout noir (parti se laver)
à Paul,
(vraiment courageux et solide)
« Vous êtes chaque jour — sans exception —
– (1°) surchargé de centaines d’emails auxquels répondre,
– (2°) surchargé de centaines de contributions à lire avant de mettre en ligne (fonction d’éditeur dite « moderation »)
– (3°) soumis à des infiltrations qui doivent être bien pénibles
– (4°) tenus d’assurer la continuité
– (5°) tenus d’anticiper les relations aux medias
– (6°) etc. etc.
Comment faites vous pour ne pas vous laisser envahir ?
J’imagine, hors de ce blog, pour d’autres échanges sur le net, que vous n’utilisez que des pseudos et des adresses email externes temporaires pour éviter les Junks-mails. Je n’ai jamais fait et je n’ai pas la tête à cela … d’autant plus que je travaille presque plus à ce qui est pourtant absolument prioritaire. J’imagine que vous vous faites piéger lorsque vous commencez à utiliser régulièrement une adresse dans un échange moins anonyme. Sur ECCE la règle est de se présenter sous son patronyme d’état civil traçable par la terre entière ( call centers, marchands, particuliers-râleurs, particuliers ceci ou autre chose, etc.).
« Franchement je ne vois pas comment vous allez pouvoir tenir vos délais que vous demandent les éditeurs pour vos écrits à publier en librairie en temps opportun.
Néanmoins, vu l’insistance d’Eugène, je vous saurais gré de bien vouloir lui permettre de vous ôter quelques minutes au temps limité dont vous disposez (comme moi) dans votre courte journée. Dit autrement, vous lui rendriez le service qu’il souhaite : transmettre son projet. A ce stade, les internautes ont aucune idée de la valorisation qu’il a en tête.
Vous êtes seul juge. Eugène vous dira probablement ce qui est confidentiel (projet industriel) et ce qui pourrait (éventuellement) être évoqué (en X lignes ou X pages) sur Internet.
à Jef [27 juin 09:08]
Ne pourriez-vous pas proposer à Paul de rédiger un billet relatif à votre finalité « 27 juin 09:08 » (à travailler).
S’il en accepte d’abord le principe, puis, plus tard, le texte,
des contributions seront faites à un n° de billet bien précis ( suivi les jours suivants par beaucoup d’autres billets habituels)
Le travail en commun que vous souhaitez seiat partagé, ne gênerait personne et n’impliquerait que celles et ceux que ça intéresse. Non ? De plus, surtout, je le souligne et le rappelle
Bonne réception. Cordialement
une photo pour l inspiration du Biclown
http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?/734/category/419
Eugène, petit sacripant… le commun, [27 juin 09:08], reste relatif à toi et à Paul.
D’ailleurs, ne fait pas l’innocent, cet article « @ nuage blanc, clown banc… je change le monde parceque c’est beau » sonne comme l’appel que tu as fort bien perçu.
à Jef [27 juin à 11:41]
L’ange-sourire de Reims !
Sourire … sourire jaune ? … souris blanche ?
Ah ! je vais rater 2 ou 3 merveilleuses ou subtiles interprétations !
Comment dois-je interpréter le cadeau ? le signe ? … le signe-de-piste ! >¤¤>> le prochain chemin à suivre ?
Allez ! Fais ton jeu ! Je tente ma chance sur (…) Ahlala ; je suis nullement joueur ! Tout ira bien !
(Aristote O. … pas le contradicteur de Platon)
Buenos Aires le 1er avril 2009 est devenu l’une des 20 capitales financières du G20.
D’où vient cette ville ?
Flashback en 1920:
1921 : Les Etats-Unis votent la mise sous contrôle de l’opium
Onassis ferme sa récente usine à rouler les cigarettes du tabas que lui envoie son père.
La prohibition en Amérique est la suprême opportunité à ne pas rater.
1923 : un kilo d’héroïne, acheté 2.000 $ vaut 300.000 $ dans la rue.
La même année, A.O. est accoudé au bastingage du Tommaso di Savoia, un paquebot qui fait route vers l’Argentine.
dans sa poche : un passeport Nansen, le modèle attribué aux apatrides, un billet lui donnant droit de dormir à fond de cale, de prendre l’air avec les gueux …
entre les hardes et les alcoolos … arrivée à l’extrême sud des Amériques,
deux ou trois ans passent … le jeune A.O. a alors environ 20 ans.
Alberto Dodero est armateur. Accessoirement, il a multiplié son capital en achetant des vaisseaux américains et en les revendant rapidement.
Italo-argentin, il est richissime. Il joue en Bourse, donne des réceptions fastueuses, a de l’entregent.
Il est en affaire avec ce jeune Grec déluré, importateur de tabac et d’opium, qui vient de s’installer dans une suite au Plaza.
Son nom, encore inconnu, Aristote Onassis.
Alberto lui présente une belle fille, danseuse à la troupe d’Anna Pavlova.
Aristote est ravi; il la promène dans sa toute nouvelle Bugatti. La love story vire à la scène de ménage.
Anna, sorte de cheftaine pour sa troupe tente de raisonner sa danseuse; peine perdue. Onassis finit par la jeter dehors.
En Amérique, les parrains des familles alcool+drogue se partagent les terrains de chasse.
Pour diriger la conduite de la partition ? un triumvirat : Meyer Lansky, Lucky Luciano, Arnold Rothstein.
Les mêmes bateaux et camions font transiter les imports d’Aristote Onassis et ceux de Joe Kennedy.
Onassis n’était encore récemment qu’un petit mercanti. Au Nord, à Boston, un autre homme se remplit les poches.
Les deux ne se rencontreront qu’au crépuscule de leur vie.
Les péchés de Joe ? Ils sont indélébiles.
Les péchés d’Aristote ? Une femme les lui fera payer ! Jackie.
1928-29 : Les riches sont plus riches; les pauvres sont relégués;
les chemins de fer traversent les noman’s lands; des villes bourgeonnent; à Buenos Aires, les snobs du Jockey Club jouent au polo;
le crédit est illimité; la Bourse s’emballe
[La suite … cf. billet du 28 juin « L’observatoire du monde financier – Semaine du 28 juin au 4 juillet
2009 »
Comparaison à 1929 — Commentaire n° 4 ]