Billet invité.
Cliquer pour agrandir.
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Parce qu’en dialoguant avec l’IA on la forme et on la rends plus puissante pour influencer la réflexion collective (hypothétiquement…
@Claude Roux aucun doute !
Je comprends que tu ne compte pas l’introduction d’Annick Allaigre à 10h ;). Peut-être aura-t-elle un discours aussi de mère…
6 mars : Saint Gularité !… sur le calendrier Jorionnien !
@ Nikolaz « ChatGPT n’a pas d’émotion. Comment peut-il appréhender une situation où l’émotion est constitutive ? » Vous énoncez là un…
J’ai souvent tenu des propos analogues et je me suis retrouvé bien seul.
@Paul Jorion merci pour ce retour d’information . Je constate avec satisfaction un plateau de participants intéressant.
Désormais il y a plus d’informations ailleurs qu’ici, je vous suivais depuis au moins plus de 10 ans mais je…
Ce que Bibi et les sionistes religieux font à Gaza portera un jour un nom. L’histoire lui en donnera un.
» rien n’empêche Israel de se fournir ailleurs, » Bibi pourrait se fournir chez Poutine. Ce serait cocasse. Vont bientôt plus…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
14 réponses à “LE FMI, GUIDÉ PAR LA FIERTÉ, par Pascal Aulagner”
Pas récente la photo
elle doit dater de l’époque DSK
Avant hier, a l’approche du whitestone bridge et direction de JFK…aux alentours de 16 Pm. C’est juste le camion qui a l’air fatigue comme tout le reste ici.
C’est une vieille maison FMI Express Corp, c’est normal que leurs bahuts soient fatigués : http://transportfinds.com/index.php?option=com_mtree&task=viewlink&link_id=24042&Itemid=2
Photo assez amusante en effet, mais ce qui aurait été vraiment bien c’est qu’il se foute dans le décor 🙂
En agrandissant le cliché, on reconnaît au volant Mme Christine L., aisément identifiable à son bronzage « 4 saisons ». Elle doit livrer en express 35 tonnes de dollars au Caire, le 22 août, « pour soutenir l’Egypte dans la transition ». En conformité avec la fière théorie monétariste : pas de biffetons, pas de transition (traduction de Brassens : pas d’argent, pas de cuisse) 🙂
le FMI ne prend pas l’avion?
ya de pas de mal à s’appeler Dupont
Il son permis poids lourd Pride ?
Fallait le trouver !
Il y a au moins 20 ans , en me baladant en France ( je serais bien incapable de me rappeler l’endroit )
j’ai trouvé un panneau de lieu-dit » les belles ouvrières » et en dessous » voie sans issue » …
Mon fils affiche dans sa chambre la photo que j’en avais fait .
Ne serait-ce pas à Saint Vit, dans le Doubs? (si…si…)
Jadis, vers 1968, la station « Nanterre-Université » s’appelait « La Folie – complexe universitaire »
Je vous jure que ce n’est pas une blague
😀
Sur la nationale Saumur-Le Mans, vers La Flèche, vous trouvez ces noms de hameaux à quatre ou cinq kilomètres les uns des autres . Après « les belles ouvrières », vous trouvez « la belle entreprise » et « le réveil ». Toute l’ ambiance d’une certaine époque . Aujourd’hui ce serait « mon beau pôle emploi ».
Dans un patelin d’Indre et Loire, sur un même petit panneau de direction, vous lisez « cimetière » et au-dessous « parking 25 places »
Cette photo m’évoque un récit que me faisait une aïeule du jour où « les Allemands » sont arrivés dans sa commune au tout début de l’Occupation.
Elle était là avec sa fratrie et ses parents et les autres habitants de la commune, au bord du chemin emprunté par les véhicules dont je ne sais ce qu’ils étaient, voitures ou camions …
Elle raconte qu’ils savaient déjà depuis plusieurs jours que « les Allemands » étaient sur le point d’arriver et qu’avec ses sœurs, elle avait convaincu son petit-frère de se déguiser en « fille », car ainsi « il ne lui arriverait rien ».
Ce qui fait que ce jour-là, au bord de ce chemin-là, une brochette de filles pouffant comme des tordues, se tortillait devant la mise d’un malheureux.
Jusqu’à ce que le père de celle qui me racontait l’histoire, avec un air très grave et solennel, lui donne une gifle. La seule, la première et la dernière qu’il lui donnerait.
En écrivant cela je fais soudain un lien entre l’humiliation du cadet et le sentiment d’humiliation qu’a représenté l’Occupation allemande pour beaucoup.
Mais aujourd’hui, devant cette photographie d’un camion du FMI aux parois métalliques et lisses, le furtif sentiment d’effroi qui me traverse me fait voir plutôt le danger de sombrer dans l’insupportable de la condition humaine. La faim, le froid, la maladie, sans soins, les morts violentes, la violence, physique, institutionnelle, le mépris pour les âmes vivantes, ou mortes. De sidération, des hallucinations de la faim, des désillusions, des angoisses si fortes qui poussent à s’en prendre à ceux qui n’y sont pourtant pour rien, bouc-émissaires, corps de l’indicible, portant tous les maux, subissant tous les mots, les moqueries, corps visibles de la misère de ceux qui voudraient qu’on les fasse disparaître après les avoir désignés, afin d’exorciser quoi ?
et ils envoient leur chèque à la Grèce par DhL, driven by profits
Chacun son truc(k) pour s’en tirer.
Le truc(k) du FMI à plutôt l’air costaud, j’voudrais pas me le prendre sur la route. Un pareil monstre fait toujours de solides dégâts lors d’une collision, les Grecs, Portugais (plus gais du tout au demeurant) en savent quelque chose.