Vidéo – Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge – « Crise du monde de l’économie capitaliste », le 19 septembre 2019

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Université de rentrée de l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge : « L’Église confrontée à la crise » – les 19 et 20 septembre 2019

« Crise du monde de l’économie capitaliste » par Paul JORION – jeudi 19 septembre 2019 from Orthodoxie.com on Vimeo.

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4 réponses à “Vidéo – Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge – « Crise du monde de l’économie capitaliste », le 19 septembre 2019”

  1. Avatar de MOYON Christian
    MOYON Christian

    Bravo pour cette présentation. Au fil de vos vidéos, les choses se précisent dans mon esprit.

  2. Avatar de Decoret Lucas
    Decoret Lucas

    On dirait bien que par ici se trouve la crème des cheveux blancs!
    Merci

  3. Avatar de de Ravinel Thierry
    de Ravinel Thierry

    Merci pour ces explications claires.
    je suppose que votre interprétation de la parabole des talents, la place du coté des paris spéculatifs, en terme de modèle, puisqu’elle est plus pessimiste que le modèle d’Aristote: le pauvre est dépouillé, le riche le devient bien davantage encore…Je crois que dans la vidéo vous n’allez pas jusqu’à l’analyse du modèle du Christ, plus pessimiste que celui d’Aristote, mais cela me paraîtrait cohérent. Evidemment Jésus ne justifie en rien l’avidité du financier et décrit très bien la perversité de la spéculation en tant que telle.

    Pourtant les pères qui ont lu le texte n’ont peut être pas tout à fait tort bien qu’ils n’aient sans doute pas perçu la profondeur de l’analyse financière faite ici…

    Si nous parlons bien d’un pari spéculatif, dont les méchants se sont d’ailleurs fait les spécialistes, nous sommes invités à un autre pari spéculatif mais pour les biens véritables, en misant les « talents » que nous avons reçu, i.e en acceptant d’entre être dépouillé pour les remettre à Dieu…qui nous les rendra au centuple, alors que si nous les gardons pour nous nous perdons tout…

    Le paradoxe est assez profond et à ressort…pour obtenir les « richesses » du royaume, qui ne sont en rien matérielles, il faut aller jusqu’à tout parier, tout risquer…ce que d’ailleurs nous sommes fort peu à oser, moi le premier évidemment…La loi évangélique est dure parce que l’ambition de Jesus est immense, alors que nous ressemblons fort par notre médiocrité aux contemporains du Christ qu’il tentait de secouer, avec violence, comme ici notamment…et sans beaucoup de succès comme aujourd’hui d’ailleurs…

    La violence du texte me parait être que le baptême nous engage dans un pari risqué, que nous ne pouvons pas refuser, comme celui qui a enfoui les talents dans un linge…Nous devons accepter de spéculer…ou tout perdre.
    La comparaison avec la finance est donc pertinente, même si l’analogie parait très provocante. Pour être du coté des « forts » et emporter la mise, il faut accepter de tout perdre, ou de tout miser.

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