M. Johnson, je suis un critique virulent de la politique que vous menez : c’est une politique d’insensibilité et de division, dans une perspective du genre « il y a une lutte des classes, et c’est nous qui l’avons gagnée ». Je n’en ai pas moins salué l’autre jour, la « décence ordinaire » et l’humilité avec laquelle vous avez annoncé votre contamination.
M. Johnson, il est dommage que les électeurs votent en masse pour des gens comme vous, un « voyou bien élevé » comme je vous ai déjà appelé, je n’en souhaite pas moins chaleureusement que vous vous en sortiez : ce n’est pas une bonne chose de mourir – ni à votre âge, ni de manière générale.
Comme quoi il ne faut pas se résigner au Pyr(énées). Gauche (pure) et « gauche » (molle molle) ! J’y vois un…