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*Godot est mort !*
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4100 milliards de $ de PIB pour la Californie … soit 1.55 fois le PIB de la France pourquoi parlez-vous…
Une manif spontanée qui rappelle dans sa forme celle des gilets jaunes… mater les pauvres et les précaires, pour faire…
Trump prépare une annulation massive du financement fédéral pour la Californie, selon des sources https://edition.cnn.com/2025/06/06/politics/trump-california-federal-funding?dicbo=v2-8LDQEmi&hpt=ob_blogfooterold
Poids économique et position mondiale de la Californie ≈14 % du PIB américain : avec un produit intérieur brut d’environ…
Rien compris, Tu t’es trumpé, sans doute.
Long mais fouillé historique de la « question palestinienne » sans se focaliser sur la situation à Gaza : https://www.contretemps.eu/resister-quotidien-cisjordanie-temoignage-camp-dheisheh/
Une peut-être bonne nouvelle dans la grisaille… la lâcheté citoyenne en embuscade derrière Bibi.. : https://www.rtbf.be/article/israel-le-parti-ultra-orthodoxe-shass-menace-de-faire-tomber-le-gouvernement-mercredi-11559187
Aurait-on alors nos chances ?
@arkao Sauf peut-être qu’aux States ils font peut être fait pareil que pour les gilets jaunes où les forces de…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
10 réponses à “Si je suis assassiné un jour ce sera par quelqu’un venu du futur”
Qu’est il advenu de vos contacts avec les Google men ?
Oui, c’est vrai ! J’avais tout à fait oublié (ils ne me sont apparemment pas revenus !).
Paul je voudrais comprendre ?
Comment ce fait-il qu’après 32 ans aucune personne, entreprise, institution n’ai continué à suivre ce que vous avez commencé à poser comme base ?????
J’ai déjà fait quelques remarques dans ce sens-là mais je vais préciser.
La réponse classique, c’est : « Parce que vous vous dispersez ! Quand les gens ont une bonne idée, ils écrivent 20 articles à son sujet sur une période de 10 ans. Quand vous écrivez UN article à son sujet, on a déjà de la chance. En plus, vous êtes un touche-à-tout inclassable ».
Il y a un peu de ça : quand je reçois un prix de l’Université de Californie pour mes modèles algébriques de la parenté et la mise au point d’un algorithme qui analyse les généalogies j’ai déjà travaillé 3 ans pour les Nations-Unions dans le secteur de la pêche, 2 ans dans l’IA et 7 ans dans la finance.
Pourquoi je me disperse ? Parce qu’on me vire (je n’ai pas le talent des coups de poignard dans le dos qui permet de réussir dans le domaine universitaire) et que, contrairement à d’autres collègues dans le même cas et qui sont maintenant des « anthropologues célèbres » après avoir ramé 25 ou 30 ans, on m’a toujours rapidement offert des boulots dans d’autres domaines où mes talents de mathématicien appliqué étaient appréciés.
Mais il y a une autre raison : quand je résous un problème, c’est en général en le mettant complètement sur la tête (« changement de paradigme »), si bien qu’il y a peu de gens pour reprendre le bâton. « Cherche spécialiste de la finance n’ayant pas eu les vues corrompues par un enseignement universitaire en finance … », « Cherche spécialiste de l’IA ayant une connaissance approfondie de la psychanalyse… » Vous voyez ce que je veux dire ?
Bonsoir Paul,
Merci beaucoup pour cette réponse.
Vous êtes une espèce d’OVNI dans différents domaines universitaires.
Ceci fait que du coup, si je vous suis bien, vous ne faites pas parti du sérail et vous êtes disponible pour toutes études qui vous passionnent et même vous êtes recruté pour cela.
J’avoue que je suis impressionné d’où je parle, étude universitaire en psychologie et en différentes interventions thérapeutiques, par l’ampleur de vos recherches.
En lisant vos retours sur votre parcours universitaire en Angleterre je me disais que c’était quand même un temps où cela était possible et les rencontres avec toutes ces personnages connus en anthropologie et dans d’autres disciplines, pouvaient se faire dans une petites maison autour de repas ou de soirées bien sympathiques.
C’est vrai que de nos jours pour « nos jeunes » c’est un peu plus difficile.
Même si l’autre jour donnant un cours, en visio, à des ingénieurs en fin d’études sur aspect humain dans leur travail certains m’ont dit, Mr ne culpabilisez pas de ce qui nous arrive « nous nous débrouillons !! » OK ils n’ont pas développé, mais ces 5ème année eux savaient faire pour…
Amitiés
Allegro ma non anthropo…
L’interdisciplinarité est vantée dans le monde de la recherche. Pourtant, de ce que je connais comme doctorants qui se sont conformés à ce bel objectif, la plupart se sont fait fait griller la place des rares emplois par les toutous rabâchant la voix d’un unique maitre.
https://www.echosciences-grenoble.fr/uploads/article/image/attachment/1005167357/xl_la-voix-de-son-maitre.1228427589.jpg
Les mêmes toutous qui passeront aisément leur HDR (Habilitation à Digérer des Reptiles je ne m’en lasse pas encore).
« Mais c’est en un certain sens un naufrage subtil, parce que la plupart des notions que j’ai introduites ont fait leur chemin. C’est en fait passé dans le langage de tous les jours, et tout le monde parle de fronces, on sait ce qu’est une queue d’aronde, etc.
Alors, il est vrai que, dans un sens, les ambitions de la théorie ont fait naufrage, mais la pratique, elle, a réussi. Mais les théorèmes de mathématiques ne font pas l’objet de patentes, et je n’en ai retiré aucun bénéfice. C’est d’ailleurs une bonne chose : cela fait de ce domaine scientifique l’un des derniers qui soit pur de tout impératif commercial. De ce point de vue, au moins, je tiens beaucoup à l’échec de la théorie des catastrophes ! »
Pour répondre @ P. J. (17/49) : je n’ai aucune spécialité universitaire, mais j’adore résoudre des problèmes !
C’est ce que je préfère…
Y’a que ça de vrai !
En les tournant dans tous les sens possibles, et surtout impossibles.
Encore mieux : impensables !
Vous dites que ça s’appelle « changement de paradigme » ?
Je ne savais pas.
Merci,
et bonne soirée…