Je deviens semble-t-il un vieux ronchon avec l’âge. Ne vous inquiétez pas…
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*Godot est mort !*
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Oui. En plus il va t’expliquer. C’est Rantanplan, doué de la parole.
Jorion écrit sur le retard des consciences. Vous semblez vouloir remporter le concours de celui qui arrivera le plus tard..
@Alvin Dans les années 60, j’avais appris que des espagnols mangeaient des oranges de Floride, alors qu’en Floride se vendaient…
CQFD
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13 réponses à “Les traductions. De qui se moque-t-on ?”
Traduire , c’est à l’origine , faire passer d’un point à un autre . Il n’y a alors pas trop à s’étonner si la » marchandise » transportée subit quelques atteintes durant le transport.
On ne doit sans doute pas regarder avec la même sévérité les atteintes par ignorance , par bêtise ou par légèreté , avec les atteintes par difficultés du transport .
Les premières sont impardonnables , les secondes , potentielles , sont à partager entre auteur et traducteur pour trouver la meilleure maille .
Reste , dans le cas idéal d’une traduction qui aurait respecté la syntaxe de chaque langage , que la traduction d’un texte , romanesque en particulier , c’est aussi la difficulté de rendre le rythme ( le souffle ?) de l’auteur , et c’est là que la partie est la plus difficile et révèle parfois les bons traducteurs comme d’authentiques auteurs .
Un truc bizarre qui en dit long aussi sur l’inscription des langues dans leur temporalité et environnement , c’est de conster comment un même texte traduit à des époques différentes par des traducteurs de talents et pointilleux , peut avoir de nouvelles nuances à défaut d’en changer totalement le fond .
Comme on a confronté les champions de Go avec l’IA , on confrontera peut être un jour les excellents traducteurs avec une IA digne de … digne de quoi au juste ?
Traduttore, traditore… disent les Italiens!
Pour les titres de films, ce sont peut-être plutôt les producteurs ou distributeurs locaux les coupables, choisissant un titre qu’ils imaginent “ racoleur”?
Anne Tancrède
Ce n’est jamais facile de traduire ce qui a été écrit dans le contexte d’une culture donnée et de le rendre sous une forme admissive et compréhensive dans une autre culture, d’où l’intérêt pour le traducteur de s’imprégner des deux cultures considérées.
Une autre difficulté apparaît lorsqu’il s’agit de traduire des textes scientifiques ou techniques, il ne faut en aucun cas trahir ce qui est démontré ou exposé, il faut donc au minimum avoir une culture scientifique et beaucoup de rigueur dans la présentation rendue.
Quant au titre donné à un bouquin ou à un film, il est nécessaire quelquefois de l’adapter pour qu’il ait le maximum d’impact et se vende bien sur le marché culturel pour lequel il a été traduit . 🙂
Que penser alors quand vous voyez l’interview du « grand traducteur » de l’auteur X, et qu’il est incapable de prononcer une phrase en anglais correct ? Qui lui a confié la tâche ? En jugeant comment ses compétences ?
Effectivement, le choix d’un bon traducteur n’est pas aisé, mais il me semble que l’un des critères, hormis le fait qu’il doive parler correctement la langue, serait de vérifier quel a été sa vie et son expérience au sein de la culture dont il sera amené à en traduire la langue.
L’exemple de votre parcours au sein de la culture anglo-saxonne, tout en gardant des liens forts avec votre culture d’origine, devrait permettre de s’en inspirer pour le choix d’un traducteur correct ?
Je mets en doute qu’une personne qui dans une interview parle un broken English, un anglais approximatif, puisse être un « grand traducteur » de l’anglais.
Cela tombe sous le sens, et est même frappé au coin du bon sens (DeepL le traduirait à l’emporte-piece par « hit with common sense » ) 🙂
Il en est de même en particulier pour une langue idiomatique, s’ imprégner en effet de la culture de l’autre dans ce cas est loin d’être « payant ». Un exemple parmi tant d’autres, en néerlandais: A moins bien sûr d’être un connaisseur des produits de la mer.:qui pourrait en effet traduire correctement « ‘t neusje van de zalm » (littéralement: le petit nez du saumon qui pour les vrais connaisseurs, semble-t-il très savoureux)?
Réponse: il s’agit en réalité de « nec plus ultra ».
Quand on connaît une langue sur le bout des doigts on peut même traduire « wipneusje » par « Amy Adams »
Oops ! Là, on cale un peu, est-ce en néerlandais une référence au joli petit nez de Amy Adams, ou une évocation lointaine dans le rôle qu‘elle a pu jouer dans ‘Smallville Season One’ ??
Je suis allé voir sur DeepL, et là – tenez-vous bien (une grande défaite pour l’IA) – « wipneus », nez retroussé, nez en trompette, en néerlandais, est traduit : « saucisse », « zizi », « nez de rocker » (vous pouvez vérifier, je n’invente rien !)
Le diminutif « wipneusje » ajoute la connotation « irrésistible », « à croquer », etc.
L’évidence est là, tout comme l’ajusteur-outilleur qui sera amené à réaliser rapidement une ébauche avec un étau-limeur ou une fraiseuse, il devra ensuite assurer la finition à la lime douce faisant ainsi appel à sa dextérité et à la connaissance précise des caractéristiques des matières utilisées, le traducteur s’il peut faire appel à l’I.A pour obtenir un texte rapidement, devra obligatoirement peaufiner cette ‘ébauche’ pour en faire apparaître le sens le plus exact et compréhensible dans la langue cible utilisée dans l’environnement culturel déterminé.
knorrig ?
Pas bonne la soupe de la traduction ?