« Dix-sept portraits de femmes » XI. Les femmes qui courent en bord de mer

Le samedi ou le dimanche matin je descends…

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14 réponses à “« Dix-sept portraits de femmes » XI. Les femmes qui courent en bord de mer

  1. Avatar de Yogi
    Yogi

    « il n’est pas fait pour courir sur la distance : ses genoux ne sont tout simplement pas adaptés à cet effort et s’abîment aisément du fait du choc répété » : selon mes informations, rien n’est plus faux.
    Tout au contraire, l’homme est l’animal ayant la meilleure aptitude à la course de fond, notamment du fait de sa bipédie et de son refroidissement par la sudation. Il est généralement reconnu que cette capacité a été un élément fondateur dans l’évolution humaine.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_du_coureur_de_fond

    1. Avatar de Paul Jorion

      Demandons aux spécialistes de trancher. Moi, j’ai donc entendu : excellent sur les petites distances, pas fait du tout pour les longues.

        1. Avatar de Paul Jorion

          L’article de 2004 dit bien qu’il s’agit d’une « nouvelle théorie ». Il faudrait voir si elle a pris corps depuis.

          1. Avatar de Yogi
            Yogi

            Le fait que l’être humain soit particulièrement bien adapté à la course longue distance semble généralement admis. Ce qui est débattu c’est l’origine de cette adaptation et le rôle qu’elle a eu dans l’évolution d’homo sapiens.
            https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4939291/
            https://www.embopress.org/doi/full/10.15252/embr.201949396

            1. Avatar de Paul Jorion

              … semble généralement admis

              Pourquoi est-ce qualifié alors de « nouvelle théorie » en 2014 ?

              1. Avatar de Yogi
                Yogi

                La « nouvelle théorie » en 2004 (et non 2014) c’est l’hypothèse que cette capacité ait été une technique de chasse déterminante dans l’évolution humaine, pour rattraper et épuiser par une course d’endurance des animaux plus rapides mais moins résistants.
                https://en.wikipedia.org/wiki/Persistence_hunting

      1. Avatar de juannessy
        juannessy

        La version de la BBC sur le sujet , sponsorisé par Adidas :

        https://www.youtube.com/watch?v=826HMLoiE_o&t=32s

    2. Avatar de arkao

      Réponse empirique d’un randonneur en montagne, les genoux c’est ce qui me fait mal en premier, surtout dans les descentes.

      1. Avatar de Paul Jorion

        C’est mon sentiment aussi : le point faible.

  2. Avatar de Maddalena Gilles
    Maddalena Gilles

    En général ? ou par rapport au lion ? ou au cheval ?
    Un marathon, faut se le faire d’accord, mais il paraît que c’est faisable…
    Mais pas avec un lion aux fesses, non merci !

    En gros : « smart-phone » ou enfermé grâce à des écouteurs dans …? Musique ? Radio ? Conférence ?
    En baladant dehors ? > Moi > Pas d’accord !
    Que ce soit des gens, des vagues ou des oiseaux, la vie existe encore un peu autour de nous…
    Profitons-en !
    Même ces petits c…s qui passent en moto tout-terrain derrière chez nous le Samedi ou le Dimanche —il faut bien que jeunesse se passe (se lasse)— Ils existent ! …et pétaradent pour bien le montrer !
    Tout comme le chien du voisin…
    Ben oui, quoi : on est encore sur la même planète…
    Encore quelques temps ? :¬)
    G.M.

  3. Avatar de Hervey

    Très proche : Eric Rohmer.

  4. Avatar de juannessy
    juannessy

    Il peut y avoir une explication beaucoup plus simple à la désolation de Paul Jorion , vis à vis d’une femme qui court .

    C’est qu’elle court plus vite que lui ,et qu’elle pourra lui échapper dès qu’elle le veut . C’est elle qui maîtrise et le macho n’aime pas ça !

    Et si en plus elle a des écouteurs dans les oreilles , c’est qu’elle accorde plus d’attention à ce qu’elle écoute qu’à sa présence .

    Ça fait 60 euros …

    1. Avatar de Paul Jorion

      C’est vrai, les mères de mes enfants vous le diront : « Ah ! Si j’avais pu courir plus vite que lui, je n’en serais pas là ! »

      Cela dit, je me souviens en particulier d’une course autour d’un lit qui se trouvait au milieu d’une pièce. Dans mon souvenir, la dame riait beaucoup, mais si ça trouve, c’était d’un rire nerveux.

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