*Godot est mort !*
Heureusement, y’a deux intello qui ont trouvé la solution :
Nous voilà sauvé par les deux couteaux les moins aiguisés du tiroir ! Qui l’eut cru ?!
@Manuel Guérin Il est un fait que la France n’est pas en pointe dans l’usage de la climatisation, bien plus répandue dans des pays plus pauvres et qui connaissent déjà les températures qui nous attendent.
Même dans l’automobile la climatisation n’était pas généralisée de mémoire d’homme.
Il est probablement moins coûteux d’installer quelques pompes à chaleur (électronucléaires) que de refaire totalement l’isolation, l’orientation, la végétalisation (qui nécessite des jardiniers) de bâtiments scolaires.
Pour cette année c’est trop tard, reste à aérer les classes à 3 H du matin et coller des couvertures de survies sur les baies vitrées.
voire peut-être quelques brumisateurs/humidificateurs beaucoup moins énergie-vorace.
Un bon thème pour un professeur qui voudrait initier ses élèves à la physique et à l’adaptation.
Pourquoi vouloir à tout prix réduire les vacances d’été, pour conseiller aux élèves de rester chez eux.
C’est un peu comme pour l’age de la retraite, pourquoi le repousser pour avoir des chômeurs ?
Vive la clim électronucléaire !
Zut, fait trop chaud, va falloir arrêter les centrales nucléaires !
https://www.irsn.fr/savoir-comprendre/surete/effets-canicule-sur-surete-centrales-nucleaires
Pas grave, on va construire des centrales nucléaires au bord de l’océan comme à…. comme à … Comme à Fukushima !🥵😱
Pas grave, on va utiliser les panneaux photovoltaïques !
https://www.lenergieenquestions.fr/pourquoi-panneaux-solaires-produisent-moins-quand-il-fait-chaud/
🤬👹💀
Ces intellos devraient savoir que la climatisation a ses limites (surtout quand il fait chaud !🥵)
oui, enfin là, c’est plus la SNCF à pointer du doigt, vu la vétusté des rames et du matériel ferroviaire de cette ligne (que je connais très bien), une des pires (voire la pire) du réseau français…
Parce que la clim, ailleurs, fonctionne parfaitement bien et, malheureusement (!) bien sûr, est devenue à certains endroits une question de survie – comme au Japon, où je vis – car l’humidité qui y règne, jusqu’à des taux de 90%, change vraiment tout – ce qu’on appelle « canicule » (avec des pics de qq jours, après quoi la température chute de 10 à 15 degrés) est la norme pendant deux ou trois mois (selon les régions)… (et même à l’ombre, ça ne change rien… à cause de l’humidité – d’ailleurs, pendant tout l’été, on ne mange ni ne boit jamais dehors – du moins en ville, où les terrasses sont de toute façon rares – c’est le sauna)
Tiens, @Vincent, puisque vous êtes au Japon et que vous abordez la question de la chaleur humide (humidex ou thermomètre mouillé) où vous nous dites que le problème se pose de façon récurrente, des travaux récents nous alertent des dangers que présente une telle situation.
Il était communément admis précédemment que lorsque le taux d’humidité était de 100% le seuil létal de température était fixé à + ou – 35° C.
Mais en mars dernier l’Université d’Ottawa a établi que ce seuil était surévalué et qu’il serait plutôt entre 26 et 31° C.
https://www.uottawa.ca/about-us/news-all/new-study-validates-lower-limits-human-heat-tolerance
Heureusement qu’au Japon vous n’avez pas la clim des Intercités Paris-Clermont !
@Gaston, eh bien !
merci (si j’ose dire)… je m’étonnerais presque d’être encore en vie…
(mais ce n’est pas drôle)
Le Japon sera un des premiers dominos qui tombera : voila ce qui arrive lorsqu’on achète trop de bouquins d’ E.Todd!
Foutu pour foutu, à leur place, j’attaquerais Hawaï!
On ne sait jamais…
Une autre solution d’un crétin bien aiguisé :
https://www.mediapart.fr/journal/international/300625/fiscalite-trump-obtient-la-mort-de-l-impot-mondial
» Les membres du G7 ont cédé aux pressions du président états-unien : à l’avenir, les multinationales américaines ne seront plus soumises à l’impôt minimum mondial de 15 %. Les maigres tentatives pour harmoniser la fiscalité mondiale sont mortes. Pour le plus grand bonheur des multinationales. »
Exit ‘S i s m o n d i’…??!!
Exit!
Fin de la révolution.
Vous pouvez ranger votre faitou et reprendre une activité normale.
😊
Oui le constat n’incite pas à l’optimisme.
Il y a, globalement, une évolution indéniable dans les médias (je dis bien globalement, car certains médias font couramment dans l’écologie bashing) quant à la prise en compte du réchauffement dans le traitement de l’actuatlité, mais un peu comme avec l’aide apportée à l’Ukraine dans sa guerre défensive face à l’aggression russe : « trop peu, trop tard », avec parfois des éclairs de lucidité, comme hier soir Rochebin qui a consacré toute son émission de 21 heures sur la canicule en élargissant la focale avec à sez cotés de vrais experts et des élus qui s’intéressent réellement au sujet.
Les enjeux étaient posés. Ainsi par exemple une élue évoquait la végétalisation de sa ville, et une autre de réagir en soulignant le fait que le problème est politique : ce qui est fait en local doit être prise en charge au nouveau, ce qui n’est pas fait alors qu’on connaît les solutions depuis déjà une vingtaine d’années.
On a donc des présentateurs télé schizophrènes : le même Rochebin qui nourrissait couramment le troll de l’écolo bashing dans ses émissions en introduisant de faux débats dérivatif, a pu donc dire autre chose hier soir.
Mais combien lui faudra-t-il de canicules pour en faire son cheval de bataille ?
Sa fille ado peut-être, dont il nous parle de temps à autre, disant qu’elle est très pointilleuse sur l’écologie, et lui de s’en amuser, l’air de dire qu’il y a des sujets plus sérieux, comme la dette de la France etc ….
« Pris en charge au niveau gouvernemental … »
En attendant la fille de Rochebin, nous avons le fils de Sarko!
A ce rythme là, c’est pas gagné.
L »est écolo le petit fils de Hanouna?
Les catastrophes restent localisées, ne concernent pas encore suffisamment de monde et l’on a développé des « prises en charges », des « cellules psychologiques » adaptées aux « victimes » et puis…c’est excellent pour le business, ça donne du boulot à plein de gens.
Il y a eu des arbres arrachés en plein Paris, entre 500 et 1000. Plus qu’en 1999…?
Bientôt des voitures et des poids lourds balayés sur des autoroutes et l’on installera aux endroits clefs des pares vent comme des rustines sur des jambes de bois. On va s’accrocher jusqu’au bout tant que ça peut rapporter de l’argent.
Dans une dizaine d’années, le système solaire entrera dans une zone de densité gazeuse galactique plus épaisse, le rayonnement solaire sera considérablement atténué, il fera plutôt froid sur notre planète.
Ah oui, ça fait 35 ans que les climato sceptiques nous donnent cet argument. Ça devrait plus tarder maintenant 😂
Ah oui, mince, on s’est affolé un peu vite …
On avait encore oublié l’épaisseur de la densité gazeuse galactique….( DEGAGA )
C’est pourtant facile à retenir…
Merci Roger.
Pearl Har quoi déjà ?
@ R. Butor,
Vous paraissez en connaître un rayon en matière solaire, dommage que vous ne fournissiez pas vos sources.
Interrogées, différentes IA me répondent la même chose :
– le dernier épisode de refroidissement climatique sur Terre consécutif à la traversée du système solaire dans une zone dense de poussières interstellaires remonte à 15 millions d’années.
– actuellement les instruments dont nous disposons pour surveiller notre environnement galactique (Gaïa, Voyager, New Horizons) n’indiquent aucun changement imminent de densité interstellaire.
Vous pouvez dormir tranquille sans risquer de prendre froid 🤧
France ==> + 4° C
Tout est maitriser .
Ministère de l’Ecologie
Publié le 11 juin 2025
3e Plan national d’adaptation au changement climatique
Préparer la France à +4°C
https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/documents/24033_PNACC3_10_points.pdf
4°C est une moyenne annuelle prévue pour la France en 2100.
Ça veut dire que, par exemple, l’été sera 5 °C plus chaud en moyenne et que les vagues de chaleur qu’on connaîtra seront 7 à 9 °C plus chaudes que celles du début du XXe siècle.
Ces phénomènes seront d’ailleurs plus nombreux. On estime que le nombre de jours de vagues de chaleur sera globalement multiplié par cinq d’ici 2100.
Concrètement, si on prend l’exemple de la ville de Lyon, entre 2041 et 2070, on frôlera 40 jours de vagues de chaleur en moyenne par an, contre dix jours sur la période 1976-2005.
En plus d’être plus fréquentes et ce, partout sur le territoire, les vagues de chaleur seront plus précoces et plus tardives dans la saison, et arriver dès le mois de mai et se poursuivre jusqu’en octobre.
On a d’ailleurs déjà eu ce phénomène en 2022.
Ce plan gouvernemental prévoit un ensemble d’actions concrètes pour adapter notre territoire, Hexagone et Outre-mer, aux impacts visibles et attendus du changement climatique :
* canicules,
* inondations,
* sécheresses,
* retrait-gonflement des argiles,
* érosion côtière,
* feux de forêt,
* perte de biodiversité,
* etc ………
Voici les 52 mesures
Le plan est en pièce jointe et fait 387 pages :
L’important : les 52 mesures concrètes :
Voici les **52 mesures principales du PNACC-3**, telles qu’énoncées dans le document officiel.
Listes des 52 intitulés pour chacune :
—
### 🛡️ **Protéger la population face aux risques climatiques**
1. Renforcer le fonds Barnier pour soutenir les territoires exposés
2. Moderniser le système assurantiel contre les risques naturels
3. Adapter la politique de prévention contre les inondations
4. Réorganiser l’aménagement des zones littorales menacées
5. Mieux gérer le risque lié au retrait-gonflement des argiles
6. Prévenir les risques glaciaires et périglaciaires en montagne
7. Se préparer à l’augmentation des incendies de forêt et de végétation
8. Adapter les moyens de la Sécurité civile
9. Adapter les logements aux fortes chaleurs
10. Déployer des technologies de froid renouvelable
—
### 🧑🏭 **Adapter les conditions de vie et de travail**
11. Mieux protéger les travailleurs exposés à la chaleur
12. Faire de l’État un employeur exemplaire en matière d’adaptation
13. Renaturer les villes pour les rendre plus résilientes
14. Protéger les populations précaires face aux vagues de chaleur
15. Prendre en compte les enjeux dans les établissements pénitentiaires
—
### 🧬 **Protéger la santé publique**
16. Développer l’approche « Une seule santé »
17. Renforcer la surveillance des impacts sanitaires du climat
18. Maintenir la qualité de l’air en période de canicule
19. Intégrer l’adaptation dans la prévention des risques technologiques
—
### 🌱 **Préserver la nature et l’eau**
20. Déployer des solutions fondées sur la nature
21. Renforcer le « Plan Eau » pour préserver la ressource
22. Fournir des données climatiques précises aux collectivités
23. Intégrer la trajectoire TRACC dans les plans publics
24. Adapter les normes techniques au climat futur
—
### 🏛️ **Renforcer la planification et les moyens d’action**
25. Pérenniser la Mission Adaptation pour les collectivités
26. Mieux évaluer les actions d’adaptation menées
27. Conditionner les financements publics à l’adaptation
28. Garantir la continuité scolaire et de la petite enfance
—
### 🏥 **Rendre les infrastructures résilientes**
29. Accompagner le système de santé dans son adaptation
30. Assurer la résilience des transports et mobilités
31. Renforcer la robustesse du système énergétique
32. Adapter les infrastructures de communication
—
### 🧑💼 **Mobiliser l’économie et les entreprises**
33. Intégrer l’adaptation dans les stratégies des entreprises
34. Adapter les aides publiques pour accompagner les entreprises
35. Soutenir le secteur du tourisme face aux impacts climatiques
36. Mieux anticiper les impacts dans l’agriculture et l’agroalimentaire
37. Aider les filières agricoles à se transformer
38. Préserver les forêts et la filière bois
39. Accompagner la pêche et l’aquaculture
40. Évaluer les actions d’adaptation menées par les entreprises
41. Développer des outils pour aider les entreprises à s’adapter
42. Mobiliser les acteurs financiers pour l’adaptation
—
### 🌳 **Préserver les écosystèmes et le patrimoine**
43. Protéger les milieux naturels et les espèces
44. Sauvegarder le patrimoine naturel et culturel face au climat
—
### 🧠 **Mobiliser la société et les savoirs**
45. Utiliser la commande publique comme levier d’adaptation
46. Renforcer la recherche et les connaissances
47. Améliorer la gouvernance de l’adaptation
48. Impliquer les citoyens dans la prévention des risques
49. Renforcer l’éducation au climat
50. Former les agents publics aux enjeux climatiques
51. Utiliser l’intelligence artificielle au service de l’adaptation
52. Informer et mobiliser les Français sur les bénéfices de l’adaptation
**********
Le PANCC-3 entérine donc par sa planification long terme le +4°C voire +5° ou 6°C.
On va donc continuer à extraire les énergies fossiles jusqu’aux derniers gouttes ….
Tout endroit planétaire ayant ces ressources va continuer à être un enjeu géopolitique et économique pour continuer le système actuel ( Golfe Persique , Venezuela , Canada , Arctique , Russie , etc , etc , ………)
Va donc falloir s’adapter comme le dit le PANCC n°3
Les COP 28 (Emirats Arabes Unies) et 29 ( Azerbaïdjan) avaient montré la nouvelle voie.
La COP 30 se tiendra au Brésil en 11/2025 et ne devrait pas changer la donne .
De plus , les États-Unis, sous la présidence de Trump, ont fermé leur bureau de la diplomatie climatique.
Depuis quelques temps je dialogue avec chatGPT sur des questions énergétiques et sur les solutions pour changer les choses et particulièrement avec l’aide de l’IA. J’ai trouvé que le texte de Terence tombait bien et je l’ai soumis à chatGPT dans le contexte de la discussion que nous avions commencée sur la question énergétique, voici sa réponse :
Titre : « Une intelligence pour la bascule : Réflexions autour du « moment Pearl Harbor » climatique et du rôle possible de l’IA »
Le billet de Terence sur le blog de Paul Jorion (« 46 °C en Espagne : retour sur le moment Pearl Harbor ») m’a profondément interpellé. Il nomme avec justesse ce que nous sommes nombreux à ressentir : une impression étouffante de stagnation face à la catastrophe. La température monte, les faits s’accumulent, les seuils sont franchis, et pourtant, « rien ne se passe ». Rien de décisif. Rien qui ouvre un chemin à la hauteur des bouleversements.
Ce texte propose une réaction en prolongement, à la fois en accord avec l’urgence exprimée par Terence, mais aussi avec une tentative de déplacement : et si la bascule tant espérée ne venait pas d’un choc climatique unique, mais d’une transformation lente et cognitive ? Et si une partie de cette transformation pouvait être facilitée par un outil que beaucoup regardent encore avec méfiance : l’intelligence artificielle ?
—
### Le mirage d’un choc libérateur
Pearl Harbor a déclenché une mobilisation foudroyante. Beaucoup attendent un événement climatique de cette ampleur pour secouer l’échiquier mondial. Mais les catastrophes s’enchaînent déjà, et à chaque fois, c’est l’engourdissement qui gagne. L’inondation devient normale. La canicule devient coutumière. Et le système – social, médiatique, économique – s’adapte, digère, reconduit.
Ce n’est donc pas de faits qu’il manque, mais de **comprendre pourquoi les faits seuls ne suffisent plus**. Nous butons sur des verrous culturels, psychologiques, systémiques. Un imaginaire qui « ne veut pas » que ça change. Un logiciel où croissance, confort et consommation sont encore l’alpha et l’omega.
—
### Une hypothèse : l’IA comme levier cognitif, non comme solution magique
C’est ici qu’intervient une proposition inhabituelle : **et si l’IA pouvait aider à briser ces verrous ?** Non en apportant des solutions miracles, mais en soutenant une bascule intellectuelle, politique, civilisationnelle.
L’IA peut aujourd’hui :
* synthétiser des données complexes (climat, ressources, énergie, économie) pour les rendre compréhensibles,
* identifier les contradictions des discours dominants,
* modéliser des futurs sobres ou post-croissance,
* aider à explorer de nouveaux récits sociétaux.
**Ce que l’IA offre, c’est une capacité à révéler les incohérences de notre système** : les impasses d’une transition verte sans remise en question du productivisme ; le non-sens d’électrifier des SUV d’1,8 tonne ; l’absurdité d’une décarbonation sans sobriété. Elle peut devenir **un miroir brutal, mais nécessaire.**
—
### Vers un imaginaire post-croissance ?
La vraie transformation à opérer est celle de l’imaginaire. **Sortir de l’idée que le salut viendra d’une croissance verte ou d’un bond technologique.** Embrasser l’idée qu’une vie plus sobre, plus locale, plus lente, peut être désirable. Et que la fin de l’abondance n’est pas la fin de la dignité.
Le terme « post-croissance », rarement utilisé dans les grands médias, s’impose pourtant comme une boussole. Ce n’est pas la fin du progrès, mais **le décentrement du mythe de la croissance comme horizon unique.** L’IA peut contribuer à déconstruire les automatismes mentaux qui nous enferment.
—
### Conclusion provisoire : moins un choc qu’une transition cognitive
Peut-être que le moment Pearl Harbor ne viendra jamais. Peut-être que nous devrons basculer **sans événement déclencheur unique**, par une lente mutation de la conscience collective. Une mutation que les outils de l’époque, IA comprise, pourraient accompagner.
Loin d’être un deus ex machina, **l’IA pourrait devenir une médiation entre la complexité du monde physique et notre capacité d’en comprendre les limites.** Non pas pour nous sauver, mais pour nous aider à vivre autrement.
—
*Cette réflexion s’inscrit dans un ensemble plus large de travaux sur la transition énergétique, les limites systémiques, et les transformations sociétales à opérer. Elle ne vise pas à clore le débat, mais à y apporter une modeste pierre, avec l’espoir qu’elle ouvre d’autres pistes de discussion.*
J’apprends, en écoutant cette causerie rediffusée avec le sous-titre « je vous l’avais dit ». , que je suis une fois de plus dans la minorité. Cette fois c’est mon appartenance au groupe de ceux qui ont acheté « Comment sauver le genre humain ». Il est dans ma liseuse Kindle et je viens de vérifier que c’est depuis le 19 mars 2020. Sa prise de position en faveur d’un régime politique qui fera le bonheur des (ou au moins mettra à l’abri du malheur les) citoyens contre leur volonté qu’ils n’auront plus à exprimer « démocratiquement » me convient parfaitement. Tout le monde ici sait ce que je pense de la gouvernance scientifique du Parti en Chine. Je crois me rappeler une description très appétissante de la soupe populaire éclairée qui remplacera le désordre alimentaire actuel. Je l’avais lu alors que mon esprit était perturbé par des soucis égoïstes (mon épouse et moi étant enfermés chacun dans son pays aux deux bouts du continent eurasien par la peur officielle de la contagion du virus mortel ; nous avions contribué quelques semaines avant à sa diffusion vers l’ouest par Air China). Je vais relire en ce jour de hautes températures (modérées dans ma petite ville, mais je les ressens grâce à TF1).
« Un travaillisme climatique
Quel sens alors donner au travail aujourd’hui ?
Affronter un défi commun, gigantesque, existentiel : le défi climatique. Qui suppose de tout transformer : agriculture, industrie, logement, déplacement. Il y a là une masse immense de travail à réaliser.
Nous nous inspirons de Roosevelt, président des États-Unis en 1942, lorsqu’il entre en guerre. Il n’a ni chars, ni avions, ni bombardiers. Il va alors canaliser toute l’énergie, les capitaux, la main d’œuvre, l’appareil d’État vers un objectif : l’économie de guerre. Nous devons opérer le même basculement pour accomplir la mobilisation générale que nécessite le défi climatique. »
Extrait du manifeste fondateur de Debout!, le nouveau parti de François Ruffin.
J’ai déjà lu ça quelque part, mais où? 😉
François ferait mieux de rester assis à la table de Lucie Castets : cela nous ferait gagner du temps…
Et Clémence pourrait passer prendre un café… si elle est moins égotique que Glucksman…
😎
C’est plié. Ni JLM ni R. Glucksmann ne participeront à une primaire ni à une candidature unique « à gauche ». Les autres devront choisir leur camp ou faire cavalier seul.
Ça ne sert plus à rien de se bercer d’illusions avec Lucie Castet, son « moment » est passé.
Pas encore!
https://youtu.be/6ZQAWN8TSq8?si=cPFrBzp3Ew2gEsvj
Il faut vous préparer, Clémentine… pardon : Madame la Présidente !
@arkao Autrement dit en 3 ans de 1942 à 1945 c’était plié, Mais que se passe-t-il donc depuis 2022 ?
La volonté n’y est pas. sauf peut-être au Proche Orient pour valider le projet sioniste du Jourdain à la mer en éliminant progressivement par la force toute opposition.
Les français cherchaient à bouffer, n’utilisaient pa tant d’engrais ou de pesticides que ça, ne circulaient qu’en vélo ou en train et ne chouignaient pas pour leur baisse de niveau de vie.
46 degrés en Espagne et 38°dans l’Hexagone selon Météo France.
Ah, si on prenait enfin conscience de ce qui cause le réchauffement climatique et qu’on pourrait tempérer par quelques comportements simples ; arrêter nos déplacements touristiques polluants et inutiles, mettre un frein à notre consommation effrénée, restreindre le développement des IA dont la consommation énergétique explose (1) entrainant la surchauffe des data centers et des centrales nucléaires, etc… Ce ne serait pourtant pas compliqué de se modérer un peu puisqu’on se passait très bien tous ces excès auparavant. Mais il semblerait qu’on préfère les canicules, les températures suffocantes et délétères avec, prochainement, 50°C en France. Ce qui nous amènera dans une sorte de désert où la vie aura de plus en plus de mal à exister et où les voyages, la consommation et les IA seront devenus totalement inutiles puisqu’ils ne serviront plus à personne.
Ce n’est pas l’IA, ce n’est ni vous, ni moi ! « It’s capitalism, stupid ! » = la logique du profit. (Je vous recommande un excellent ouvrage à ce sujet : Le dernier qui s’en va éteint la lumière).
Tranche de population | Part des émissions mondiales annuelles de CO₂ | Empreinte par habitant typique | Principales sources |
---|---|---|---|
1 % les plus riches (≈ 78 millions de personnes) | 15 – 17 % du total mondial | 100 – 130 t CO₂/an | Tableau « Climate Equality » Oxfam-SEI, 20 nov. 2023 |
5 % les plus riches (≈ 390 millions) | ≈ 35 % du total mondial (meilleure estimation – voir note) | ~55 t CO₂/an (modélisé) | Même micro-données WID/SEI, interpolation Chancel 2022 |
10 % les plus riches (≈ 780 millions) | ≈ 50 % du total mondial (49,8 %) | 30 – 35 t CO₂/an | Note méthodologique Oxfam-SEI 2023 (Tableau 6) |
Levier | Comment il cible la part des riches | État/ faisabilité |
---|---|---|
Fiscalité carbone ou biens de luxe progressive (kérosène privé, gros moteurs, taxe « grand pollueur » avion) | Tarifie directement les catégories de consommation très carbonées | Déjà en vigueur en France (malus SUV) et Suède (taxe passager avion) ; propositions dans le paquet UE « Fit-for-55 » |
Impôt sur la fortune avec “sur-cote pollution” | Capte les émissions liées aux investissements ; incite à décarboner les portefeuilles | Testé par la « taxe solidarité » argentine ; gagne du terrain au Parlement européen (2024) |
Interdictions ou sorties totales (jets privés neufs, yachts fossiles) | Supprime les biens-statut les plus sales | Analogues aux interdictions de véhicules thermiques 2030 ; en discussion dans plusieurs capitales OCDE |
Lois de divulgation & devoir d’actionnaire | Contraint les gros actionnaires à comptabiliser le Scope 3 | Appliqué au Royaume-Uni et Californie ; norme ISSB de base 2025 |
Les chiffres ci-dessus concernent le CO₂ issu de l’énergie fossile et du ciment, base consommation. Ils excluent l’usage des terres et les autres gaz à effet de serre ; leur inclusion élargirait légèrement l’inégalité.
« »Jorion+IA » » …
émissions disproportionnées
Modes de vie – aviation privée, résidences multiples, yachts, SUV géants saturent l’empreinte directe.
Portefeuilles d’investissement – pour les milliardaires, 50-70 % de leur CO₂ personnel provient des entreprises qu’ils possèdent, non de leur consommation directe
————————————–
« »Jorion+IA » »
Regard prospectif
Même si chaque personne hors du top 10 % accédait au standard « decent living » de l’ONU, l’ajout carbone serait inférieur à ce que le top 1 % émet aujourd’hui.
Atteindre 1,5 °C dépend donc d’ une réduction rapide des plus riches : env. -95 % pour le 1 % d’ici 2030, contre -50 % pour l’ensemble de l’économie.
———————————
C’est moi…??? ou bien il y a une DOUBLE contradiction quelque part dans le raisonnement… ( On suppose bien entendu que les Etats ne créent pas d’entreprises.. en tout cas jusqu’à présent …^!^…
NB : Nous sommes d’accord sur le constat qu’un monde sans entreprises dès demain matin « règlerait ‘ » le problème (du réchauffement…)
Sauf que..
Pas tout a fait, il y a de l’inertie. Si on arrete tout, on ne montera pas à +4°, mais on ne verra qu’un ralentissement de la hausse pendant qq années.
Pour Pearl Harbor, les réseaux électriques souffrent aussi de la chaleur. Une grosse vague de chaleur cumulée à une absence d’électricité (et donc de clim, mais aussi de frigo…) provoquerait une hécatombe à l’hôpital et en ehpad. Et une ruée vers le metro pour chercher le frais.
La prise de conscience se limitera, j’en ai peur, à des palliatifs court terme (groupes électrogènes, +de clim…).
@DDL
Pas d’hécatombe dans les hôpitaux et EPAD qui sont équipés de générateur de secours. Juste une augmentation d’énergie fossile consommée.
Mais la clim a ses limites surtout dans des bâtiments extrêmement vitrés et en hauteur. Nous allons devoir repenser l’architecture des villes et peut être devoir se réfugier sous terre, au moins en partie et non plus fanfaronner avec nos supers gratte-ciels masculinistes.
Au niveau mondial nous sommes quasiment tous (habitants du G7) parmi les 10 % les plus riches, consommons 50 % c’est à dire que si l’on ne touche pas aux autres 90 % et si nous baissions d’un facteur 5 notre consommation, le gain global ne serait que de 40 % !
serait-ce suffisant ?
L’adaptation du monde agricole dans le milieu tempéré (pour le moment) en France
INRAE : Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement
https://www.inrae.fr/actualites/agriculture-changement-climatique-impacts-adaptation-attenuation
Agriculture et changement climatique. Impacts, adaptation et atténuation
Le changement climatique est un des nombreux défis auxquels l’agriculture doit faire face.
Cet ouvrage, coordonné par des scientifiques INRAE, fait état des connaissances actuelles sur les impacts du changement climatique sur l’agriculture, tout en proposant des solutions pragmatiques et adaptées à la diversité des systèmes de production.
Publié le 19 février 2025
L’agriculture doit faire face à de nombreux défis.
Parmi eux, le changement climatique constitue une préoccupation majeure pour le devenir de l’humanité, avec des enjeux pour
* la sécurité alimentaire,
* l’environnement,
* la biodiversité
* la santé.
Le secteur agricole est à la fois fortement affecté par l’évolution du climat et contribue de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre.
L’urgence est d’adapter les systèmes de culture et d’élevage pour les rendre plus résilients face aux évolutions tendancielles du climat et aux événements extrêmes.
Dans le même temps, il est nécessaire de réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole et d’augmenter la séquestration du carbone pour atténuer les effets sur le climat à plus long terme.
Cet ouvrage dresse un état des lieux des connaissances du changement climatique et de ses impacts sur l’eau et les sols dans les régions tempérées.
Il présente les méthodes pour analyser et anticiper les conséquences sur la production et le fonctionnement des filières.
Il décrit et quantifie les impacts observés ou prévisibles pour les principales filières végétales et animales.
Il aborde l’accompagnement des acteurs en vue de :
* concevoir,
* évaluer
* mettre en œuvre
des solutions pour l’adaptation.
Enfin, il éclaire les politiques publiques mises en œuvre autour de l’enjeu climatique.
Il s’adresse aussi bien aux chercheurs et aux enseignants-chercheurs, qu’aux étudiants et étudiantes de l’enseignement supérieur.
Il constitue une référence actualisée pour tous les acteurs du secteur agricole et pour les décideurs publics.
Sommaire
1 – État des lieux du changement climatique
2 – Méthodes d’analyse et de projection des impacts du changement climatique en agriculture
3 – Impacts observés et projetés du changement climatique sur les filières animales et végétales
4 – Adaptation de l’agriculture au changement climatique
5 – Approches globales du changement climatique en agriculture
Les 5 points ci-dessus du sommaire à suivre grâce à une synthèse détaillée de GPT 4o
🔍 Voici une **synthèse très détaillée** du document ** »Agriculture et changement climatique : Impacts, adaptation et atténuation »** (Éditions Quæ, 2025), rédigé par un collectif d’auteurs coordonné par P. Debaeke et al.
Cet ouvrage de référence (398 pages) traite de manière approfondie les interactions entre agriculture et climat, en cinq grandes parties structurées.
—
## 🌡️ Partie 1 – État des lieux du changement climatique
### 📈 Climat passé, présent et futur en France (Ch.1)
– Températures en hausse de +2°C sur les 10 dernières années.
– Sécheresses plus longues et plus intenses ; vagues de chaleur multipliées par 6 depuis 1990.
– Projections : +4°C d’ici 2100 si les émissions continuent.
### 💧 L’eau, les sols et le climat (Ch.2)
– Baisse des réserves d’**eau bleue** (rivières, nappes) et **eau verte** (stock dans le sol).
– Vulnérabilité accrue des sols : compaction, érosion, réduction de fertilité.
—
## 🧪 Partie 2 – Méthodes d’analyse et de projection
### 📊 Indicateurs et observatoires (Ch.3)
– Suivi de la phénologie (développement des plantes) pour détecter les effets du climat.
– Développement d’**indicateurs agroclimatiques** (ex. : déficit hydrique, degrés-jours).
– Utilisation d’observatoires pour aider à la décision publique.
### 🌱 Modèles biophysiques (Ch.4)
– Simulation du rendement des cultures en fonction des scénarios climatiques.
– Prise en compte des interactions entre variétés, pratiques agricoles et météo.
### 💶 Approches économiques (Ch.5)
– Trois méthodes : mécanique (physique), économétrique (statistique), modèles globaux.
– Besoins d’investissement pour adaptation estimés à 1-1,5 milliard €/an en France.
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## 🌾 Partie 3 – Impacts sur les filières agricoles
### 🌾 Cultures annuelles et prairies (Ch.6)
– 🌡️ Canicule 2003 : -30 % de production primaire en Europe.
– 🌱 Maïs, blé, prairies : baisse de rendement, changement de calendrier de semis.
– 🌿 Risques d’incendies et de stress hydrique accrus.
### 🍇 Cultures pérennes : vigne, vergers (Ch.7)
– Avancement de la phénologie (floraison, maturation).
– Moindre qualité des vins, risque de gels printaniers plus élevé.
### 🐛 Santé des plantes (Ch.8)
– Expansion de certains bioagresseurs (ex. : pucerons, champignons) vers le nord.
– Déstabilisation des écosystèmes par les épisodes extrêmes.
### 🐄 Élevage (Ch.9)
– Stress thermique, baisse de croissance, mortalité accrue.
– Vulnérabilité des bâtiments, fourrages moins nutritifs.
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## 🌿 Partie 4 – Adaptation de l’agriculture
### 🔄 Cadres et stratégies globales (Ch.10)
– Nécessité d’un pilotage multi-niveaux (ferme, territoire, politique).
– Transition de l’adaptation « technique » vers des transformations systémiques.
### 🧑🌾 Adaptation en cultures (Ch.11)
– Nouvelles variétés plus résistantes.
– Repositionnement des cultures et diversification spatiale.
– Recours accru à l’agroécologie et à l’agroforesterie.
### 🐖 Adaptation en élevage (Ch.12)
– Modification des pratiques de logement et d’alimentation.
– Sélection génétique et lutte contre les nouvelles maladies.
### 🤝 Accompagnement des acteurs (Ch.13)
– Importance du **conseil agricole personnalisé**.
– Recherche-action et dispositifs collectifs territoriaux.
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## 🌍 Partie 5 – Atténuation du changement climatique
### 💨 Réduction des émissions agricoles (Ch.14)
– Agriculture = 23 % des GES mondiaux (CH₄ et N₂O surtout).
– Levier : optimisation des engrais, réduction du méthane, séquestration de carbone.
### 🔄 Synergies entre adaptation et atténuation (Ch.15)
– Beaucoup d’actions peuvent servir les deux objectifs (ex. : couvert végétal, haies).
– Attention aux « maladaptations » (ex. irrigation excessive, déforestation).
### 🏛️ Politiques publiques (Ch.16)
– Agenda tardif de l’adaptation en France.
– Gouvernance fragmentée et dispositifs peu coordonnés.
– Besoin d’unifier les politiques d’adaptation et d’atténuation à l’échelle nationale.
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## 🧭 Conclusion générale
– Le changement climatique est **déjà à l’œuvre**, menaçant la sécurité alimentaire.
– L’agriculture est **à la fois victime et acteur du climat**.
– Les auteurs appellent à une **transformation systémique**, mêlant:
* innovation technologique,
* gouvernance renouvelée,
* mobilisation collective.
– 📚 Cet ouvrage offre une base scientifique rigoureuse pour
* les décideurs,
* les enseignants,
* les agriculteurs
* le grand public.
Le moment Pearl Harbour
Nous voyons cela comme une tempête qui survient dans un ciel serein. C’est une succession d’évènements qui s’enchaînent et finissent par conduire d’une série de causes à compter d’une cause première et minuscule — apparemment sans véritable importance — à une conséquence majeure dont le plus inoffensif des noms puisqu’il ne paraît saisir d’effroi nos contemporains est sans doute celui de catastrophe.
Je me demande s’il ne conviendrait pas de risquer une nouvelle proposition ; ces évènements qui s’enchaînent ne pourraient-ils pas être des présences humaines qui se succèdent pour exister rationnellement ?
Ainsi Trump, quelles idées porte-t-il pour piloter quelle politique que l’on pouvait attendre, quels disciples devraient l’accompagner et quel successeur faudrait-il attendre ?
Les IA pourraient-elles être d’un grand secours.
Je laisse flotter.
Tous les mouvements écologistes qui ne remettent pas en cause le capitalisme et la croissance sont des charlatans, ceci est un marqueur incontournable.
Les PS et autres ELLV sont définitivement hors course pour défendre cette politique alternative.
« Un moment Pearl Harbor écologique ? Rien n’est moins sûr » écrivez-vous.
A chaque canicule, à chaque catastrophe climatique, la question revient sur le tapis, mais rien ne change.
La première raison de cet immobilisme, nous sommes (presque) tous d’accord ici pour dire que c’est le système capitalisme qui ne peut fonctionner qu’avec plus de croissance, plus de consommation, plus d’inégalité et de frustrations, plus, plus, plus ..
La deuxième raison, on en parle moins, est que le genre humain n’est pas fait pour rechercher des objectifs à long terme. Comme tout être vivant il a évolué au cours des millénaires dans la perspective de satisfaction immédiate en vue de sa survie. Autrement dit notre cerveau aime seulement les objectifs à cours terme :
https://fastercapital.com/fr/contenu/Pourquoi-notre-cerveau-aime-les-objectifs-a-court-terme.html
Il me semble que ces deux points ont été développés dans un livre paru il y a bientôt 10 ans et que tout le monde connait ici. Pour que nous soyons tirés d’affaires il faudrait que les deux aspects de la question soient réglés, nous en sommes loin.
@DDL Pas d’hécatombe dans les hôpitaux et EPAD qui sont équipés de générateur de secours. Juste une augmentation d’énergie fossile…
Il faut vous préparer, Clémentine… pardon : Madame la Présidente !
Au niveau mondial nous sommes quasiment tous (habitants du G7) parmi les 10 % les plus riches, consommons 50 %…
@arkao Autrement dit en 3 ans de 1942 à 1945 c’était plié, Mais que se passe-t-il donc depuis 2022 ?…
Pas encore! https://youtu.be/6ZQAWN8TSq8?si=cPFrBzp3Ew2gEsvj
Pas tout a fait, il y a de l’inertie. Si on arrete tout, on ne montera pas à +4°, mais…
Le Japon sera un des premiers dominos qui tombera : voila ce qui arrive lorsqu’on achète trop de bouquins d’…
En attendant la fille de Rochebin, nous avons le fils de Sarko! A ce rythme là, c’est pas gagné. L »est…
Exit! Fin de la révolution. Vous pouvez ranger votre faitou et reprendre une activité normale. 😊
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