La chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel
Sur YouTube, c’est ici.
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*Godot est mort !*
La chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel
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Ça s’appelle le boneto ! 😉
Un moine bouddhiste se réveille un matin après avoir rêvé qu’il était un papillon. La question qui lui vint alors…
Tessa Dick explique : De nombreux lecteurs se sont interrogés sur la fin d’Ubik, lorsque Glen Runciter trouve une pièce…
Un paramètre à prendre en compte : « Si, à un moment, ils ont l’impression qu’ils sont débarrassés de La France…
( A mon avis ‘d’utilité publique’ … donc je décide d’offrir en lecture les meilleurs morceaux de cet excellent article…
ça va venir, ce marché est tronqué depuis longtemps, ils manipulent les contrats papiers, ils vendent des contrats a terme…
Les services secrets du monde entier ont les yeux rivés sur Grand-mère Michelle. Rassurez-vous, je ne pense pas qu’ils oseront…
un lecteur, Pour les femmes iraniennes, shah ch’rait quand même mieux. Mais bon ch’est pacha encore.
Ah ! Sur ce blog, nous aimons bien les « analystes » et les « experts ». Hier ils nous prévoyaient une hausse du…
…………… » Dmitri Medvedev, qui a été président de 2008 à 2012 et l’un des principaux collaborateurs du président russe…
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80 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 13 JUILLET 2012”
Félicitations !
J’espère pouvoir assister à votre leçon inaugurale pour commencer !
Félicitations et encouragements
Je suppose que les cours seront en français ?
La VUB est néerlandophone et Paul Jorion aussi mais Il nous dit dans la video que les cours et tables rondes se donneront en anglais (qui est la langue des affaires à Bruxelles comme presque partout).
Enfin des bonnes nouvelles, il existe donc un passage, nous sommes heureux de vous suivre.
Sur YouTube
très bien, mais aurez-vous le temps de continuer ce blog ??
Question qui m’intéresse aussi car le blog est pour moi une source d’information majeure sur la crise.
le torrent de la semaine : https://thepiratebay.se/torrent/7439217
problème c’est que personne ne va comprendre « stewardship » à part les anglais. Suivi de vos explications c’est très bien mais pour un intitulé??
Sans indiscrétion Paul,
C’est une activité rémunérée d’avoir une chaire ?
Il faut espérer, oui.
Les jetons de présence seront investis et bloqués 5 ans dans le plan d’épargne universitaire belge. Les golden hello, retraite chapeau et plan d’actions gratuites sont actuellement en négociation.
Plus d’info au prochain point météo.
Oui la Belgique rémunère ses enseignants 🙂 enfin pour l’instant.
Un professeur d’université peu espérer plus de 5000 euros par mois brut soit quasiment la moitié en net bref mieux vaut être trader pour devenir riche.
En général c’est le parcours du combattant pour devenir prof, de nombreuse années dans l’ombre à gagner des misères comme doctorant puis assistant à faire du travail de recherche pour permettre au professeur de pouvoir publier.
En fait le statut de professeur et le salaire permettent de ne pas avoir trop de soucis et beaucoup de temps « libre » avec environs 10 heures de cours. mais pour améliorer le quotidien il y a des extras, des conférences, des publications de livres (dont certains deviennent des références et apportent de la notoriété à l’université) parfois des partenariat avec le privé.Un Professeur a beaucoup de liberté dans son organisation mais souvent ce qui manque c’est les budgets pour ses recherches, pour voyager pour acheter du matériel, organiser des colloques ….
Dans le cas de Paul Jorion, il est intéressant de voir que cela soit la VUB qui lui ait offert cette chair. Bruxelles est le coeur du conflit linguistique belge et la Flandre fait beaucoup d’effort pour augmenter l’impact culturel et l’usage du néerlandais à Bruxelles (Bruxelles étant la capital de la Flandre).
Avoir offert cette chaire à Paul est non seulement preuve d’intelligence et de clairvoyance, mais c’est aussi s’associer à la notoriété d’un « flamand de souche » qui est célèbre du coté francophone. Paul Jorion est à mon sens le Chomsky belge et je pense que la VUB et Paul Jorion sont vraiment tout les deux gagnants .
Merci pour vos réponses !
Félicitations Paul ! Ce doit être une aventure excitante. Je me réjouis pour vous, et à l’idée de voir vos analyses, valeurs et sagesse se diffuser davantage. C’est un grand honneur pour la Vrije Universiteit Brussel d’avoir Paul Jorion comme enseignant.
C’est une tres bonne nouvelle ,toutes mes felicitations Paul Jorion ,a quand Francois Leclerc a Science Po?
Cher Paul Jorion,
Stewardship ! quel symbole ! Nous revoici au coeur de « l’esprit de Philadelphie » qui a fait l’objet d’un petit livre capital dont vous connaissez bien l’auteur : Alain SUPIOT, directeur du Centre d’Etudes Avancées de Nantes.
Voilà donc un courant de pensée qui donne une chaire à ce porteur du message central « la finance au service des communautés humaines » et plus l’inverse à savoir = les hommes, chosifiés au service de la finance. Remettre la dignité humaine au premier plan dans les décisions politiques, économiques … Quel évènement !
Signe d’un retournement de fond qui serait entrain de s’opérer …
Il était temps !
Et vous allez à n’en pas douter donner de la force et de l’impact et du rayonnement à ce retournement.
C’est de très bonne augure !
Et vous nous laissez entendre que des opposants qui auraient pu bloquer ce processus de votre affectation à cette chaire seraient en congés … votre parcours ne va être simple et vous le savez bien.
Chacun à notre niveau et à notre mesure, nous serons à vos côtés
+1
Magnifique réflexion (on ne s’en étonnera pas) qui a donné lieu à ce retournement. Tout, en fait, peut être au service de la communauté des hommes, à condition que le service de la communauté soit l’objectif recherché…
Mais il me semble que ce « retournement » n’en soit pas vraiment un… car selon moi, la finance, à l’origine (quelqu’un peut-il me contredire ou me confirmer ce point ? Et où placer cette origine dans le temps ?) était au service des initiatives industrielles (au sens large) qui sans elle ne pouvaient pas voir le jour. Pour le dire simplement, elle était au service de « l’économie réelle », et c’est lorsqu’elle s’est mise à travailler pour elle-même, en circuit fermé en quelque sorte, qu’elle s’est dévoyée de sa véritable finalité. Voilà à mon sens le véritable « retournement ». Ici, il s’agirait plutôt (tout simplement !) de remettre la finance à l’endroit…
C’est vrai que stewardship dans le sens retenu ici est difficilement traduisible en français. Mais la référence religieuse (Quakers) m’amènerait à rechercher du côté de certains usages des mots « ministère » ou « office » (cf. les sens latins de ministerium et officium). Au-delà de l’aspect strictement religieux, le « ministère » (le contraire du magistère, minor/magis !) comme l’ »office » impliquent en effet la dimension du devoir et du service, le munus latin, au fondement de la communis (communauté).
D’où le « Ministère de la finance » ? Son « Office »… ?
Oui, très bonne réflexion. Toutefois, si je traduisais en « ministère de la finance », la confusion serait totale !
Et pourquoi pas le « ministère du financier », pour désambiguïser ? Après la « communauté du nano » pour l’Internet…
On pourrait dire aussi le Grand Service de la finance ou le Devoir de la finance.
La Finance Verte!!! (non je plaisante…)
Stewardship = Commissionnaire (?) dans le sens commun (non pas commercial) de quelqu’un qui est chargé d’une commission pour un particulier.
Pour voir la traduction de stewardship dans différents contextes :
http://www.linguee.com/english-french/search?source=auto&query=Stewardship
La munifinance (sans munifiscence) ?
Si l’on pouvait éviter les mots-valises, qui embarquent parfois des passagers indésirables… [Muni] appelle munition autant que munificence. Je propose le plus plat : « la finance redistributive », ou le plus plaisant : « la finance aux petits soins ».
Le Saint Office de la Finance…
« Ravi de voir votre satisfaction pour cette mission ». Et enchanté qu’enfin vous puissiez enseigner et débattre au sein d’une structure académique. Bonne aventure…..
Félicitations,
Je me joins aux félicitations adressées à l’impétrant. 🙂
Mais pendant ce temps là, les marchés – jamais en repos – sont en train de découper la zone euro en deux, avec le chalumeau des « spreads ».
Toutes mes félicitations Monsieur Jorion! Je me réjouis pour vous. Times are changing indeed, and you are the change.:-)
(Mais je plussoie CABOS Alain : méfiez-vous des chausse-trappes et des coups tordus, le milieu universitaire est parfois aussi méchant que celui de la finance. Vous en avez l’expérience, vous saurez faire face, c’est certain).
Il y a une pétition sur le web actuellement pour réclamer justice
http://www.avaaz.org/fr/la_fin_de_limpunite_des_banquiers_fr/?bClfyab&v=15970
Ce dit, je n’ ai pas compris grand chose à ce que vous racontiez ce matin, pas très grave.
J’ espère que vos cours seront traduits simultanément, de préférence en français et en anglais.
Mais vous avez l’ air très enthousiasmé, ça c’ est bien, et j’ en suis heureux pour vous.
On ne vend pas son âme au Diable, c’ est lui qui vous l’ achète ; et il n’ achète que les belles âmes, c’ est connu. Je lui vendis la mienne il y a longtemps, mais je ne sais plus pourquoi étant de nature très distraite. Bien sur, je l’ avais roulé, lui filant une copie, il n’ y vit que du feu.
De toutes façons c’ est connu, quand le ciel ne répond pas, on s’ adresse à la terre (le Diable est le symbole des forces chtoniennes, ce qui est enfui, nous échappe et que nous ne contrôlons pas vraiment).
A ceux qui me trouveraient parfois trop poétique, je rappelle que ce blog à mes yeux est aussi celui d’ un anthropologue.Je me permets donc.
http://www.youtube.com/watch?v=c_F05hsTgn4
Enfin!
Quand je vous citerai et qu’on me demandera « mais qui est Paul Jorion? » je pourrai répondre: » il occupe une chaire d’économie à l’Université de Bruxelles ». Ça classe non?
Félicitations!
Heureux que vous ayez trouvé un job taillé sur mesure et une reconnaissance officielle de vos talents.
J’espère que vous aurez l’occasion d’inviter un néochartaliste comme Marc Lavoie ou Bill Mtchell, parce que cette analyse de l’économie produit quelques résultats surprenants et vérifiables, en particulier l‘asservissement des LIBOR et bons du trésor aux taux directeurs des banques centrales qui déjouent les analyses usuelles de l’inflation. Il me semble que malgré quelques errances qui ont pu être soulignées dans des discussions récentes avec PSDJ et JA, l’analyse néochartaliste fait partie des analyses systémiques concevant l’ensemble des conditions et des possibilités de régulation de l’économie (module de puissance=maîtrise de l’émission monétaire, module de dissipation=taxation) capable de faire face aux perturbations.
Je crois que le Bancor que vous prônez est compatible avec le néochartalisme (contrairement au point de vue que je crois hâtif de certains néochartalistes) et qu’il complèterait avantageusement leur panoplie opérationnelle. C’est un point que j’aimerais beaucoup voir approfondir.
Attention, bien qu’il s’en soit énormément rapproché, Marc Lavoie n’est pas un néochartaliste (en tout cas il se revendique comme distinct). Bill Mitchell, professeur à l’Université de Newcastle l’est, et les autres se situent à l’Université du Missouri à Kansas City à commencer par L. Randall Wray, dont je recommande la lecture de son Understanding Modern Money à tous ceux qui me demandent un ouvrage d’un des fondateurs du néochartalisme (sinon, il y a Full Employment Abandoned de Mitchell et Muysken mais qui est plus pour économistes encore, plus centré sur l’histoire de la pensée de la relation inflation-chômage depuis Keynes jusqu’au NAIRU actuel, en passant par la courbe de Philips, le NaRU de Friedman, et bien d’autres).
En voila une bonne nouvelle! sincerement je suis content pour vous.
C’est réjouissant, voilà tout. Je vous souhaite bon courage pour l’écriture de cette nouvelle page de votre parcours, en espérant pouvoir la suivre au mieux.
(On dirait que le modèle Black-Scholes va en prendre pour son grade :p)
Belle réussite. Y a-t-il une équipe en formation, c’est à dire des postes et des financements de thèse ?
Il est question de la « Vrij Universiteit Brussel » dans « Slow Science et désexcellence : quelques poches de résistance en Belgique », parce qu’un atelier « slow science » y avait été organisé en mars 2012.
Il avait déjà été question de slow science ici même.
désexcellence Ici-même reprids sur le blog de PJ plus précisément (à mon instigation).
J’avais apprécié qu’on y recommande les ouvrages de M. Crawford (Eloge du carburateur, Ed. La Découverte (?)) et R. Sennett (Ce que Sait La Main, Ed. Albin Michel (?)) …
Félicitations M Jorion , puisse votre chaire avoir une vaste audience et vous réconcilier avec le monde universitaire,bon courage!
Qui a dit que Jorion n’annonçait que des bad news ?? En voici une bonne !! Bravo !!
Bien sûr que si qu’il y aura des surprises et c’est pour cela que vous êtes invité partout ! Les « sans surprise » intéressent peu. Les surprises, ce sont les degrés de liberté de l’auteur et de l’acteur ! Votre parcours est une promesse de surprises et de liberté entretenue, pas une menace de silence ! Il reste aux esprits chagrins à lire vos livres pour savoir à quoi ils doivent s’attendre: une autre approche « scientifique » du paysage sociétal. Pour le biologiste que je suis, j’avais déjà apprécié la révolution Laborit, chirurgien spécialiste du stress oxydant, de la dissection de nos travers et d’une reconstruction culturelle.
Bonjour,
Pour ajouter à la bonne humeur et à l’enthousiasme de cette annonce, je remarque que vos futures activités à la Vrij reçoivent déjà la bénédiction de la lumière « divine » (ou du soleil pour les plus rationnels), puisque votre visage apparaît sur la partie gauche de la vidéo constamment illuminé : bel effet d’annonce !
Excellente continuation.
félicitations : en espérant que des vidéos de cours, de table rondes…seront disponible après « un certain temps » pour celles et ceux qui ne peuvent se déplacer.
Je m’inscrit déjà parmi les prochains acquéreurs de l’édition de ces conférences en anglais et de la traduction française.
Et pourquoi pas d’une souscription, en soutien ?
Toutes mes félicitations, Paul.
Ce sera sans doute pour vous l’occasion de réduire enfin à néant la pseudo-théorie de « l’efficience du marché des actions » dont l’enseignement nuisible a déformé toute une génération d’anciens élèves des plus prestigieuses écoles de commerce.
Je préfère ne pas citer les thuriféraires de cette « théorie » qui se reconnaîtont eux-mêmes et dont le silence devient assourdissant …
Tous mes voeux de réussite vous accompagnent.
Mes félicitations et bonne chance. Voilà enfin une reconnaissance officielle de votre niveau de compétences et de réflexion. J’envie vos futurs étudiants.
Par ce blog , d’une certaine façon , le verbe est ( était ?) chair , l’utopie se donnait (donne ?) une chance d’être réaliste .
Je forme le voeu que la chaire ne tue ni le verbe , ni la chair .
Bon vent à vous et aux cinq ou six contributeurs portés par leur qualités propres et leur désir de « servir » qui ont permis que s’agrège petit à petit , dans la langue de Molière ,une ferment de la poursuite heureuse de notre histoire.
Qu’ils essaiment , avec ou sans chaire, avec vous , rejoints par de plus en plus de soeurs et frères , dans toutes les langues , sur tous les continents , pour que , sous trente ans selon vous ( j’avais imaginé une génération de plus !),nous soyions un peu plus en harmonie avec notre planète et nous mêmes .
Ce jour là les américains auront moins de réticence à imaginer que les « chinois » avaient colonisé l’amérique avant eux ; lesquels « chinois » auront moins de réticence à imaginer qu’ils sont des africains d’origine ; lesquels africains auront moins de vanité pour reconnaître que tout ça n’a aucune importance .
De là à dire, le verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous!
http://www.youtube.com/watch?v=-qbCwUU3XD8&feature=related
He was dispised…
Habiter est un mot qui vaut le détour .
Il scellera un jour la réconciliation des nomades et des sédentaires
» Mais quelquefois l’avenir habite en nous sans que nous le sachions, et nos paroles qui croient mentir dessinent une réalité prochaine. »
Version Proustienne ( à la recherche du temps perdu ) de « comment la vérité et la réalité peuvent cohabiter « .
Cher Paul,
Robert Shiller (celui du Case-Shiller) vient également de sortir un livre intitulé « Finance and the Good Society » que je viens de commander. Auriez-vous un avis et trouvez-vous des points de convergences avec vos vues? Il serait intéressant de constater que ces idées se retrouvent aussi outre-Atlantique.
Merci,
Fyfy
Hello, il est est vrai que la question quand à l’avenir du blog se pose. Est-ce que ça va interférer ?
Hartelijk gefeliciteerd !!!
Ik hoop dat je je ziel niet zult verliezen….
@ Paul Jorion,
Dans le récit de vos tentatives infructueuses auprès des universités, vous avez oublié de mentionner un cours que vous avez commencé de donner à l’EHESS à l’automne 1988. C’était quelque temps après votre débat avec Dan Sperber à l’Ecole Polytechnique.
Une très bonne chose.
Félicitations pour cette chaire.
Je me suis demandé, depuis je participe de temps en temps à ce blog, ce qui a pu pousser Monsieur Jorion d’aller aux USA pour travailler dans le milieu financier. Miracle. Pour visiter l’Amérique, pour gagner de l’argent? Ou pour faire des études anthropologiques?
Je pense que cette opportunité lui va bien, en tout cas il l’a mérite. Le paysage universitaire francais est déplorable, en particulier en ce qui concerne la discipline économique et ses ramifications. La société francaise est pétrifiée, la fac reflète son image.
Pourvu en conséquence que la discipline économique ne devienne pas trop obligatoire partout,
Sans doute que cela doit venir des ignorants les paysages sont forcément mieux ailleurs,
Car si tout le monde était comme moi la société française serait moins ceci ou cela.
Ca touche graduellement le monde mais ça vient d’abord des gens plus ignorants,
Félicitations!
il faut rêver la vie pour qu’elle s’accomplisse
que la grâce accompagne la montée ou la descente( ça dépend des lieux) des quelques marches
vers la tribune de la parole.
j’aime bien l’idée du steward dans cet entendement
bien sur il y aura de la controverse, cela alimentera le moteur même de votre approfondissement
vraiment contente pour vous
et pour nous aussi…
Félicitations,la chaire ne sera pas faible,et sus aux démons pêcheurs d’âmes.
Toutes mes félicitations! 🙂
Merci,
Hélas plus la chair est mise en avant dans le monde,
Et plus cela ne semble pas trop les déranger le jour d’avant,
Car si ça se trouve à la prochaine ce sera moins évident pour la chair,
C’est pourquoi j’aurais préféré qu’on félicite pas trop la chair à travers moi,
Et encore ce n’est que le début pour la femme préfèrant être en cloque ou en chair,
En attendant vous verrez que c’est pas toujours ça pour les plus disciplinés à la chose,
Hum j’ai toujours eu un peu de mal à enseigner la discipline des gens mieux arrivés en chair,
Peut-être qu’un jour viendra ils en rechercheront pas moins alors à faire les casques à boulons,
Pour visiter des paysages plus rentables pour rendre leur monde plus vendable et mieux en chair,
Pour mieux essayer d’éviter l’orage qui vient on vous fécilite tout autant sur une tribune,
Depuis vous comprenez c’est partout la chair plus ou moins libérale qui enseigne la chair,
Je pense que cette opportunité leur irait tout aussi bien ils trouvent que je dérange,
Tu parles ils pensent pas moins à partir d’une certaine approbation dans la chair,
En fait jusqu’à la fin ce sera toujours la propre chair du monde sur ma vie,
C’est une bonne nouvelle, non seulement pour la personne de Jorion, mais pour l’avancée de la Vérité. J’espère qu’il sera correctement rétribué… Mais les cours seront-ils en français ?
Moi j’habite trop loin. J’ai quand même gardé une nostalgie de Bruxelles et de Laeken où j’ai résidé. J’allais à la même boulangerie que la reine Fabiola que je croisais souvent… Mais je disgresse….
Monsieur Jorion,
pour votre 5ième séminaire ou comme intervenant durant l’année, puis-je vous conseiller Christian Arnsperger . Pour l’avoir déjà entendu dans une conférence à l’UCL, je peux vous dire qu’il a une vision d’un « après-capitalisme » qui peut apporter de l’eau à nos moulins.
Bien à vous,
Axel
PS : @Nemo ; Les cours seront semble-t-il en anglais malheureusement.
Felicitations. Bonne Route. 😉
Pdbdm(putain de bordel de merde!), pardon plutôt sincères félicitations.Je trouve que ce n’est que justice et le résultat d’un travail de grande qualité, d’une vie au service de la compréhension, du savoir et de la connaissance, au service du plus grand nombre de surcroît, ce blog en est l’exemple.Puis aussi cette envie irrépressible de chercher la réalité et la vérité au service d’un équilibre qui on le voit bien aujourd’hui est de plus en plus menacé par les lois du plus fort -qui ont certes et trop souvent constitué la loi tout court- mais qui ne contribuent pas à mon sens à la libération des forces inouîes de créativité et de richesse que l’humanité pourrait enfin libérer afin de s’arracher des chaînes de la médiocrité, des a prioris, des préjugés et des dogmes qui mènent, on le voit bien notamment dans l’économie aujourd’hui, à un marasme destructeur.On voit bien que la prédation n’a plus de sens au niveau actuel de développement de l’humain et des civilisations, ou bien alors, c’est à désespérer.
Vive les « emmerdeurs »comme Paul Jorion, de toute manière au final, malgré les difficultés, ils triomphent avec leurs idées.Les forces du conformisme font trop de mal, seuls les défricheurs arrivent à sortir de la jungle, ceux qui ne s’y construisent que des clairières aménagées avec caméras video, service de sécurité, barbelés intégrés et mode de pensée standardisée sont mortifères.J’espère qu’ils disparaîtront enfin, ou bien qu’ils y restent, seuls et sans vie(suis-je trop naîf ?…).
Paul Jorion contribue à sortir du conformisme, qu’une université reconnaisse celà en la matière (n’est ce pas d’ailleurs son rôle prioritaire ?!…) est déjà un pas important vers celà.
Encore un fois, si je puis me permettre, très sincères félicitations !
Une petite interrogation toutefois, ce blog et son ton qui a contribué à améliorer mon éducation en matière financière notamment, va t’il continuer ? Perso, je pense qu’il doit continuer, car c’est de lui et par sa diffusion que vous avez tiré cette reconnaissance et le soutien pour vos idées.
Bonjour,
parmi toutes ces félicitations, il faut bien un trouble fête. Ce que j’en pense se résume en une phrase.
Je crois que je suis frappé par une gastro-entérite foudroyante. J’espère que cette chair vous sera confortable.
Tartuffe
C’est Tartuffe , ou le malade pas si imaginaire que ça ?
je rêve ou j’ai été censuré? Merci de me donner raison. Bonne continuation et félicitation vous avez un vrai talent hypnotique de gourou, à en juger par les réactions de vos fidèles.
tartuffe
Vous rêvez manifestement, mais allez vous soigner et revenez-nous quand vous irez mieux.
Permettez-moi quand même de vous poser la même question qu’à un pignouf qui sévit ici sous le nom de Pignouf 1er, quels sont les critères qui ont présidé au choix de votre pseudo ?
Bonjour,
Tout d’abord merci de ne pas avoir censuré mon premier message (ce qui rend caduque le deuxième).
Bien trêve de préliminaires, let’s talk!
Vous deviez bien vous douter que cette chair susciterait des mécontentements, des jalousies et des suspicions. Et comme vous semblez avoir une sensibilité un peu catho [1] je suis sur que l’absence de commentaire désobligeant met votre conscience sur le gril.
Voila ce que mon cerveau (malade sans doute) imagine sur ce à quoi nous venons d’assister:
Deux scénarios:
Scénario 1:
Notre saint homme, outré par les pratiques ignominieuses de ses employeurs, s’érige contre l’ordre établi tel un résistant des temps modernes.
Il quitte ses fonctions au sein du vile empire de la finance pour mener un combat chevaleresque. irréductible gaulois retranché et vaillant , il monte un blog. Il enchaîne les conférences, les plateaux télés, les émissions sur le speed trading, professe la fin de Sodome et Gomorrhe. Les fidèles affluent éblouis par ce pénitent (particulièrement talentueux), achètent ses livres, le blog devient un think tank. L’énergie est telle qu’au final notre héros se voit octroyer une chair dans une université Bruxelloise. De là, il pourra bénéficier des moyens lui permettant développer ses thèses et de-sauver-l’espèce-humaine. Les fidèles sont émerveillés à l’annonce de la nouvelle. On assiste à des scène de liesse numériques…
Scénario 2:
Notre petit malin bosse dans une boite bien juteuse mais aussi très concurrentielle. On ne fait pas de vieux os dans ce genre de boite surtout quand on est ingénieur. Généralement aller jusqu’a 45-50 ans c’est déjà une belle carrière. En plus notre petit malin n’aime pas trop les managers. Ce ramassis de blattes qui viennent vous casser les pieds et vous demander toujours plus de rendement et qui, de surcroît, pensent qu’un logarithme est un machin pour faire de la musique sur play-station. Et c’est vrai! Ces sales petits serpents auraient bien besoin de temps en temps qu’on leur rabaisse leur caquet. De plus notre petit malin, qui n’est pas un sociopathe, a sa morale un peut catho. Il est rongé par un sentiment intense de culpabilité. Mais il s’assied dessus tant les dollars agissent comme une douce pommade apaisante. Mais un jour ça clash avec le manager et il quitte la boite avec son baluchon sur le dos comme un hibou renfrogné.
Sincèrement outré par les pratiques qu’il a pu observer (voir auxquelles il s’est livré lui même), connaissant pas mal des petits secrets de la profession, il entend bien ne pas en rester là. Tout d’abord, il écrit un livre stupéfiant de prémonition (une part de talent une part de hasard la proportion reste à déterminer perso, aux vu des publications, 80% de talent 20% de hasard (valeur scientifique de ce que viens d’écrire = 0)). L’oracle est né. Il monte un blog qui remporte un énorme succès. La porté de ce qu’il sait est décuplée. Ce blog, de part son influence médiatique, devient un levier puissant. Et un jour, les éminences Bruxelloises viennent le voir pour lui proposer une chair. Oh! seigneur-dieu-jesu-marie-joseph! Ça y est notre petit malin a retrouvé du boulot.
Nous voici sur le fil du rasoir d’Ockham…
[1] Cela ne veut pas dire que vous êtes croyant. On dirait que vous êtes fasciné par cette religion et ses mythes ; très certainement sensible à sa morale mais surtout au magnétisme du pouvoir de persuasion.
Bel exercice d’ « archéologie spéculative » mais vous auriez pu vous éviter toute cette peine en lisant deux billets que j’ai consacrés au scénario tel que je l’ai vécu personnellement :
Comment on devient l’« anthropologue de la crise »
et
ANTHROPOLOGUE INCLASSABLE, Journal des Anthropologues, N°126-127 : 335-339.
@ tartuffe
Je ne suis pas habilité à prendre la défense de PJ qui est en totale capacité de le faire lui-même. Toutefois, je me permets d’intervenir, autant pour le défendre que pour défendre une conception de l’homme qui semble tout à fait vous échapper.
À vous lire, j’ai le sentiment que ses motivations reposeraient, depuis le début, uniquement sur la recherche et l’obtention d’une chaire universitaire. D’une part, bien malin serait celui qui pourrait affirmer avec certitude que ses travaux ont été intentionnellement dirigés vers cet objectif, seul PJ détient la réponse à cette question. D’autre part, je serai plutôt convaincu du contraire, partant du principe que contrairement à l’idéologie du « tout intérêt » (entendu dans son acception matérielle), beaucoup de nos actions – pas toutes – reposent en premier sur une motivation désintéressée, c’est à dire loin de la recherche d’un quelconque profit matériel ou financier. J’en suis d’autant plus convaincu que je pratique ce désintérêt au quotidien – je ne pense pas être un cas unique – et que la nombreuse littérature sur ce sujet (voir tous les ouvrages sur le paradigme du don) m’ont renforcé dans cette conviction, conviction encore renforcée quand j’ai étudié l’inventaire des valeurs de Schwartz, peu connu – à tort – en France, malgré sa quasi-universalité (inventaire validé dans plus de 70 pays appartenant aux 6 continents). Qu’y apprend t’on ? :
– les 10 valeurs (= expression des différents types de motivations) retenues sont : la tradition, la conformité, la réussite sociale, l’autonomie, l’hédonisme, le pouvoir, la bienveillance, l’universalisme, la stimulation (besoin de nouveauté) et la sécurité. Certaines comme la spiritualité n’ont pas été retenues parce que jugées trop instables d’un pays à l’autre, ie pouvant avoir un sens différent. Chaque être humain est traversé à différents degrés et en fonction des circonstances par tout ou partie de ces motivations.
– Toutefois et contrairement aux poncifs du modèle de l’homo oeconomicus, les valeurs qui arrivent en-tête sont la bienveillance et l’universalisme, en d’autres termes la recherche de relations sociales harmonieuses et positives basées sur la coopération, le besoin d’aider au bien-être, l’altruisme, et non pas la sacrosainte compétitivité, la compétition, la concurrence ou l’égoïsme que le modèle néolibéral cherche à nous vendre comme étant le primum movens de tous les comportements humains. Quant à la recherche de pouvoir et la réussite sociale, elles occupent respectivement les 8ème et dernière place.
Partant de cet inventaire, nous sommes en droit de supposer que PJ, bien avant son intérêt personnel, a été motivé par un désir d’apporter, à sa façon, son écot au bien-être des autres, l’obtention de la chaire n’étant alors que la conséquence d’un travail intentionnellement désintéressé et qui lui a été rendu par la suite sous la forme de cette chaire. Certains reconnaîtront ici les caractéristiques du paradigme du don (donner, recevoir, rendre), cher aux disciples de Marcel Mauss et ardemment défendu par le collectif du MAUSS auquel a participé et participe, peut-être encore Paul Jorion.
Quant à la question religieuse, je vous rappelle, mon cher tartuffe, que tout intellectuel digne de ce nom doit s’intéresser à cette question. Comme le rappelle Alain Caillé dans l’introduction de « Qu’est-ce que le religieux? » (introduction ici), « Il est possible de montrer que la découverte centrale de toutes les grandes sociologies classiques, c’est celle du « rôle décisif de la religion », pour reprendre la formule de Durkheim. Sur quoi repose au bout du compte la fabrique du lien de société, de quels fils est-il tressé? Qu’est-ce qui fait naître et tenir une société? Là où les économistes répondent en invoquant la nécessaire satisfaction des besoins (ou de l’utilité, ou des préférences individuelles), Saint-Simon, Tocqueville, Weber, Durkheim et même Marx, paradoxalement, tous les fondateurs de la tradition sociologique en sont venus tôt ou tard à la conclusion que le ciment premier, ou ultime, des sociétés était à chercher dans la croyance religieuse. ». La messe est dite.
En qualifiant Paul Jorion de gourou, vous attaquez ma personne.
Sachez mon bon monsieur que je n’ai besoin de personne pour savoir ce que je dois penser mais j’ai besoin de tous pour construire ma pensée.
Je n’ai pas de formation économique, il y a 3ans je n’y connaissais rien, mais le blog de Paul Jorion m’a appris les limites de la rente financière ( http://www.pauljorion.com/blog/?p=39427 à partir de la minute 26)
J’en conclus qu’il faut remplacer ce moteur du progrès qu »était la rente financière par un nouveau qui est la rente énergétique qui n’est rien d’autre que le fait d’investir massivement sans intérêts financiers dans un nouveau système permettant d’améliorer notre bien-être en consommant moins de ressources planétaires, les économies de ressources constituant l’intérêt avec lequel on fera autre chose.
On n’y échappera pas, j’en suis totalement convaincu.
D’autre part, j’espère que l’obtention de cette chaire fera comprendre à Paul Jorion que le savoir devient pouvoir à la place de l’argent et là je ne rêve pas.
A relire Les nouveaux Pouvoirs d’Alvin Toffler.
En tous les cas, toutes mes félicitations à Paul Jorion pour l’obtention de cette chaire.
@ michel lambotte 15 juillet 2012 à 10:39
Vous avez mille fois raison de soutenir Paul Jorion et de dénier le fait qu’il soit un gourou. C’est un humaniste, doué d’une grande culture, qu’il fait partager aux autres, tout en les incitant à réfléchir. Il a des convictions qu’il s’emploie à défendre, en les argumentant. Mais il n’est pas sectaire. Sans quoi certains, dont je fais partie, se seraient vus, depuis longtemps, empêchés de s’exprimer sur son blog, pour ne pas être 100% en phase avec toutes ses idées.
Quant à la notion de rente, qui finit toujours par être financière, c’est un point sur lequel je n’arrive pas à vous emboîter le pas. Pour moi le capital (quel que soit sa forme) est toujours capital, c’est-à-dire essentiel en ce sens qu’il permet de vivre.
Tout le monde en détient un qu’il exploite. Qu’il soit incorporé en lui, sous forme de patrimoine physique (vedettes des sports, forts des halles, travailleurs manuels, etc…) ou de patrimoine culturel (http://fr.wikipedia.org/wiki/Capital_culturel#Terme_sociologique), ou de capacité professionnelles diverses qui sont louées à des employeurs. Ils les considèrent alors comme du capital humain.
D’autres, ou les mêmes, détiennent aussi un patrimoine non incorporé (extérieur à eux-mêmes) sous diverses formes : financières, immobilières, mobilières, ou autres, dont ils tirent des revenus en fonction des services qu’ils rendent à ceux auxquels ils sont loués.
Certains, les anticapitalistes, s’emploient à combattre cette forme de capital et les capitalistes qui en détiennent. Ils ne voient pas que, d’une manière ou d’une autre, eux-mêmes en vivent en louant à ces capitalistes leur propre capital de savoir faire professionnel. En fait, ils s’emploient à scier la branche sur laquelle ils sont assis. C’est suicidaire.
Si certains pays ne se sont pas développés, ça n’est pas, bien souvent, parce qu’ils manquaient de richesses, mais parce qu’ils n’ont pas su initier un cycle de constitution et d’exploitation de capital matériel et humain.
http://www.pauljorion.com/blog/?p=39205#comment-341567
@ jducac
vous auriez pu écrire le discour de dakar pour sarkozi …….
quant à comparer le capital manule de l’OS de peugeot avec le capital financier de la famille peugeot alors là chapeau bas !
je suis allée faire un tour du coté des détracteurs…
p…t.. l’ambiance!
du plomb
de la bave
et un immense jeu de l’égo
yen a qui aiment s’amuser tristement
faut leur procurer de suite un exemplaire du grand livre des chaudoudoux
http://humanismepur.free.fr/contes_poemes/chaudoudous.php
Excellente nouvelle Paul ! Il était temps. Les universités et les écoles de commerce seront obligées de remettre en question l’enseignement traditionnel qui, par ailleurs, a contribué à former ceux qui participent aux dérapages (à voir si vous ne l’avez pas déjà vu le film de Charles Ferguson, INSIDE JOB) Inside Job http://www.imdb.com/title/tt1645089/.
Il y a un tel décalage. Je plains tous ces étudiants qui paient une fortune pour des cours qui ne les aideront pas beaucoup à affronter la tourmente. Les universités n’ont pas le choix que d’évoluer… et de se remettre en question.
Le 2 novembre dernier, à la Havard Business School, dix étudiants quittaient la classe d’Économie du professeur Greg Mankiw, lui reprochant d’enseigner les bases de l’économie qui contribuent à accentuer les inégalités, sources des troubles et des déséquilibres qui affligent la planète.
Ceux qui nient encore… et persistent risquent un réveil brutal.
Dommage que les universités françaises n’aient pas eu la clairvoyance de vous faire cette offre avant Bruxelles, elles en auraient eu bien besoin ! Chose certaine, l’aventure sera suivie par la compétition… Bravo pour le Stewardship de la finance, très bien trouvé. Quelle chance pour ces futurs étudiants…
Allez fieu, hé bien bravo.
La Flandre dite de droite plus adroite où moins maladroite que la wallonie.
La VUB plus ouverte que l’ULB, dommage….
Excellente nouvelle ! Félicitations !